« Arts, Idées, Vies, Pensées & Poésies »
- RENAISSANCE -
Prologue
Mon envie est l'écriture, la poésie.... les idées, une pensée vers la
Philosophie de l'esprit...
Le Poète
"Le poète, transcende ses émotions, voit plus grand que le simple quotidien, change d’échelle, pour un peintre, ses émotions deviennent des couleurs harmonieuses sensibles, l’écrivain transforme un quotidien banal en apparence, en une multitude de sentiments intérieurs plus ou moins forts ; sa réalité est transcendée. Il met son âme à nu. Le quotidien nourrit le poète qui se laisse aller à sa nature profonde, à ses aphorismes libérateurs…"
Le Rêve
"Le monde du rêve est le monde de l'irrationnel. On y rencontre ses fantômes du passé chargés d'énigmes où les clefs restent à découvrir, joue avec les réalités présentes."
------- Mon Art - " Le monde de mon Art" --------
La ROSE
"Mon emblème, est la Rose, sa délicatesse au caractère féminin, ses joyeux coloris aux couleurs de l’amour, rouges et roses, au doux parfum et aux senteurs subtiles, habillée d’une fraîche rosée matinale."
"Mon dessin est le dessin de l’émotion qui a pour finalité de mettre en forme ce qu'il y a de plus perfectible chez l’humain, ce qui le caractérise, le défini, ce qui est propre à la définition de celui-ci, un être sensible, un être poétique."
"Ma recherche dans le dessin serait une double quête, celle de la beauté et, de la recherche de l’être poétique et les deux réunis étant l’harmonie parfaite de l’être idéal, de l’être rêvé. Le désir d’un artiste inspiré par la beauté émanant des êtres."
"La pratique de mon art est une quête vers l’excellence, vers la perfection, sans fin, et pour seul objectif d’atteindre celle-ci."
...
Le Nu ou les courbes ou Désire artistique
Le nu ou dessin du vivant est une discipline ardue ou le hasard n’est pas conseillé.
Le nu demande d’être à l’écoute de soi et du modèle. Votre crayon suggère votre idéal, votre sensibilité, vos émotions ou le trait retranscrit ce que notre mentale synthétise, perçoit par une ligne émotion.
Alors les courbes qui se succèdent dont on évalue, mesure l’intensité ; le rendu vous suggère telle l’observation d’un paysage sur le motif l’accord parfait à mettre en place pour séduire ou étonner soi-même ou son publique et fervents admirateurs.
Matisse un art génial de simplicité et de grâce :
"L’Art de Matisse est un art sans fioriture, ce qui le définit est un art qui tend toujours vers la grâce, la force des coloris et la simplicité dans le langage Matissien."
"Je voudrais dessiner le sentiment, la délicatesse d’une coiffure l’attrait d’un visage radieux le sentiment qu’il dégage, la joie, la tristesse, la mélancolie, l’âme insaisissable d’un être unique, l’intériorité d’un être dans son intimité."
La femme éternelle, d'une éternelle jeunesse :
"La femme devrait être d'une éternelle jeunesse présentant ses meilleurs attraits, le visage éclatant de fraîcheur au doux contour, dessiné délicatement pour mieux voir de belles courbures qui dessinent le menton et le cou ainsi que le creux près des yeux qui continue pour dessiner un joli nez descendant avec des lèvres saillantes aux jolis coloris"
- "La Rêverie est indispensable à tout créateur, le peintre y accède en créant un monde poétique aux couleurs harmonieuses, un jeu de couleurs douces à l’image de certains tableaux de Balthus ; « Le rêve I & II », « La Tireuse de Cartes », « Jeune fille à la fenêtre » ; paysage, « Bouquet de Roses sur la fenêtre » ; nature morte, « Fruit sur le rebord d’une fenêtre » …"
"Mon Art me réconcilie avec le monde, l’art magnifie la beauté de la vie et son sens profond…"
"Dans mon Art, je fais apparaître une vérité extérieure pour mieux dévoiler, entrevoir, découvrir une vérité intérieure ou pour mieux y déceler l'intériorité des êtres."
"Corroborant les dits de Rodin sur ce que doit être l'Art, trouver la vérité qui doit être soit une vérité extérieure ou intérieure, moi je vise dans mon travail de réaliser à la fois une beauté extérieure et révéler en plus une richesse intérieure, la perfection serait de révéler les deux vérités avec un résultat les magnifiant de façon irréprochable.
Le but à atteindre serait de viser les deux, dans sa plénitude."
"L'approche du nu artistique, c'est-à-dire la pratique du dessin, est une science de l'émotion et une recherche de la vérité du modèle, la sienne qui est à découvrir, où l'instant présent reste à être révélé, pour trouver sa vérité, son moi intérieur..."
"L'Art doit être l'expression de la liberté : pour bien pratiquer un art, celui-ci dans sa réalisation doit être simple et offrir à l'artiste tous les chemins (Clefs) de la liberté, pour l'exercer de façon aboutie".
"La présence d’une chose et plus encore d’un être, une personne, est essentielle. L’Artiste face à son sujet, analyse son modèle le décortique pour en retirer, son harmonie, la légèreté des traits (Visage), sa douceur, sa générosité, ce qu’un instant de vie nous offre, immortaliser l’instant présent, l’éphémère, l’insaisissable, saisir la grâce d’un être, c’est s’approcher du domaine des dieux, lieux inaccessibles par les simples mortels, c'est-à-dire conquérir l’Olympe."
"Le plus grand des voyages est intérieur, parcourir le chemin de soi"
"Dans l'Art ou dans d'autres domaines, voir la vérité nue est troublant, mais essentiel pour celui qui la découvre, vital et nécessaire à l'accomplissement de soi."
"L'exercice de la vérité : Approcher de la vérité est un exercice difficile, un chemin tortueux ou l'on doit s'affranchir des obstacles, ceux identifiables dans un présent proche et les autres qui restent à vaincre dans la sphère de l'hypothèse, ou la vérité future peut-être révélée à force d'effort."
"Le vrai visage de la vérité découverte peut être riche en enseignement (même négative) ; La seule vérité est soi-même..."
"L'Art permet de se réapproprier son passé et de renouveler sa vision du présent et futur, une façon de révolutionner son image personnelle, sa vision de soi."
"Chacun a une approche différente de l'Art, mais il me semble pour qu'il soit véritable, il faut qu'il touche les choses les plus essentielles à son âme et non être une réalité quelconque qui n'a aucune importance pour soi ou pour autrui...
"Quel serait le grand art, il pourrait être le rapprochement de l'art pictural avec la grande musique, l'art musical et ont les appelleraient l'art total."
"Le Dessin est une vue de l'esprit qui n'a pas d'âges, l'esprit peut- être d'une jeunesse insolente..."
"L'Art pictural, la peinture, est un art, si on le maîtrise à la façon des grands maîtres, demande l'art de la composition qui est un art savant. Une composition réussie et élégante est un art d'une grande maîtrise et de sensibilité ; la position d'une main, d'un bras, d'un pied, d'un corps, le profil d'un visage peut-être d'un raffinement, d'une beauté sans égale."
"La peinture sauve l'âme du peintre."
"La peinture d'un peintre est le reflet de son âme intime."
"L'amour à ses secrets des domaines des dieux. (ou réserver aux domaines des dieux.)"
"Lorsque l'on a du génie, l'on peut avoir quelques fulgurances."
"Je crois détenir quelques talents cachés..."
"Dans la recherche de l'art, lorsqu'on le pratique on acquiert petit à petit, un 7e sens pour moi, car je crois détenir, un 6e sens qui est en moi ..."
"Un amour non transfiguré en art est un amour non rendu utile ou inutile ou tari des origines de son essence même, non révélé."
"Un ancien amour est un trésor à découvrir, à révéler, le mieux pour vous servir est l'art."
"Un amour de jeunesse ou un premier amour est un trésor insoupçonné."
"La femme et ses courbes à de ses délicieux atours une fleur ou une rose du matin n'en a pas moins de charmes."
"La perfection est peut-être faite femme où les courbes harmonieuses et savantes ainsi que les finesses du corps et de l'esprit défirent le caractère masculin."
"Saura t'ont un jour qualifié l'âme féminine et masculine dans sa vérité et son exactitude de l'être où ce qui les définies dans leur être profond dans leur moi intérieur."
"La féminité à des traits délicats, une harmonie musicale parfaite dont la douceur et la volupté à d'égale à de reconnaissables grands opéras lyriques."
"En amour, la jeunesse vous fait aimer l'âme et la beauté d'une jeune personne ; son apparence et le reflet de son âme vierge que le temps pourrait transformer, durcir ou enlaidir causé par les épreuves de la vie."
"La jeunesse à de supérieur que celle-ci est que tout est possible, envisageable, et ses attraits encore vierges des défauts des caractères intransigeants et rigides d'un caractère solidifié et figé par le temps."
"Eugène Fromentin par ses multiples talents cachés est un maître du romantisme comme il le dirait : 'un maître d'autrefois'."
"Le destin était apparemment tout tracé pour les héros de Charlie, la consécration, la gloire, mais une fin toute tragique les attendait ou la mort est aveugle exécuté par ses serviteurs de l'ombre."
"Un pays où tout est possible où les idées neuves et innovantes permettent à l'individu de se réaliser et de s'accomplir sans barrière dans un esprit de conquête et de pionnier est un pays d'avenir, en évolution, en croissance, riche de la valeur ajoutée des citoyens que forme cette nation.
C'est le sang d'une nation bien portante, dont sa jeunesse d'esprit peut vaincre et conquérir sans crainte tous les défis de l'avenir..."
"Un territoire, un espace a des frontières alors que l’esprit humain n’en a pas, son imagination est inépuisable, se renouvelle sans cesse. L’Esprit est rebelle et cherche à découvrir ce qu’il y a au bout d’un chemin, ce qui se cache derrière l’infini. La nouvelle frontière à explorer est l’esprit humain chaque milliard d’hommes sur notre planète est un Nouveau Monde à découvrir de par son esprit, il peut être très surprenant à la fois très proche de par son humanité et insaisissable par sa vitalité et sa logique surprenante de son esprit. L'homme ou l’humanité se distingue par son esprit, un esprit qui cherche sa liberté, son identité, son indépendance et peut faire preuve de compassion. L’homme est l’Homme/Esprit."
"Le peintre est le témoin du temps, au doux profil d’une jeune fille assise, aux couleurs chatoyantes, cheveux longs, mains croisées, le paysage défilant rapidement, aux instants pressés qui est notre époque aux allures saccadées d’un train filant sur l’horizon ensoleillé."
"La réserve et la timidité d’une jeune fille, au teint rougit de délicatesse, à la pureté des caractères sacrés des portraits des grands maîtres aux madones tout empreints de sainteté."
1er LIVRE
Un jour à Paris
- France, chère France.
- France, terre de liberté et d’expression.
- Paris, capitale de l’amour et de notre liberté chérie.
- Oh ! Toi Paris, ce Vendredi Noir enlaidi et meurtri…
- Paris, capitale des Artistes ; Chagall, Picasso, Manet, Pissaro, Cézanne, Sysley, Van gogh, Fromentin, Chasseriau, Rodin, Ingres, Matisse, Léger, Balthus, Balzac, Hugo, Zola, Proust…
- Toi, oh ! Capitale des arts et des lettres.
- Toi, belle demoiselle au goût raffiné ta robe blanc immaculé, rougie et frappée par la fureur monstrueuse.
- Non, France, la belle insoumise, fière de ses valeurs porteuses d’espoir et de liberté…
- La bête monstrueuse au dessein noir ne triomphera pas.
- Toi la belle outragée, malmenée, tu souriras, face à la bête hideuse.
- Les âmes emportées des innocents frappés en plein cœur brilleront au firmament.
- Toi, avec ton armée des ombres, tu ne nous assouviras pas. Les hommes et les femmes aux esprits épris de liberté ne te laisseront pas faire.
- La barbarie et la sauvagerie ne vaincront pas.
- Les esprits aveuglés, de rage, de sang, et de fureur ne verront pas la lumière, promis aux froides noirceurs des ténèbres.
- Les âmes douces meurtries iront illuminer les cieux tels d’innombrables champs d’étoiles éclairant notre chemin promis à un avenir rempli d’espoir…
L'auteur :
Philippe Rousseau.
Florence, ma belle amie.
- Ma chère amie, à votre sourire que tout embellit.
- J’irais courir près de votre souvenir.
- Votre sourire ou vos yeux rougis de larmes, de rires et de tristesse.
- Votre joie de vivre et votre cœur rempli de tendresse et de tristesse.
- Oui, vous, ma chère amie, je vous ai aimée follement.
- Toujours près de vous, dans nos tendres moments.
- Votre silhouette dans le vent, embellie par vos charmants habits.
- Toujours vêtue avec goût, tout en harmonie.
- Nous étions faits pour nous rencontrer, j’aurais dû vous demander en fiançailles.
- Nous avons souvent ri, vos beaux yeux sous le soleil dans les jardins du roi à Versailles.
- Par un triste jour, nous avons été surpris par les caprices de la vie.
- Loin de vos yeux, mon souvenir amoureux, je n’étais plus qu’un fantôme du passé.
- C’est alors que tout s’est bouleversé.
- J’espère que votre cœur ne s’est pas trop froissé.
- Votre cœur rempli d’espoir et de tristesse. Je suis toujours à vos côtés.
- Un jour venu nous le dira, quant à votre heureuse venue, j’irais dans vos bras vous embrasser.
Auteur : Philippe
À toi, cher Lionel,
Cher Compagnon,
Je suis attristé, nous sommes tous attristés ce jour, nous qui avons croisé ton chemin.
Toi qui avais ta propre philosophie dans l’existence.
Face à l’ombre, à l’ironie de la vie, tu savais prendre le détachement nécessaire.
Ton combat qui était le tien, je le partageais, nous sommes tous respectueux de ta force.
Ton souvenir me dit que tu as gagné cette bataille. J’aurais voulu te voir à la conquête, d’autres aventures et de la réussite qui t’attendait.
Tu seras pour moi un exemple.
Le chemin que tu as tracé avec force et détermination nous éclaire face à la difficulté, à l’envie de réussite à accomplir.
Toi qui avais le goût de la discrétion, de l’anonymat, j’aurais voulu te connaître un peu plus, malgré notre complicité dans le travail.
Ton sourire empreint de complicité et de générosité sera l’image de ton souvenir.
La vie devrait être toujours plus forte, toujours gagnante.
Il me reste maintenant les larmes face à ton évocation que j'aurai voulue encore réelle…
Ton Philou
L'être mélancolique
"La tristesse, la mélancolie est un sentiment difficile à réaliser sur un dessin, un sentiment indescriptible est une chose possible à retranscrire par le trait est presque inimaginable par d'autres moyens. L'on peut s'en approcher, mais pas faire la représentation fidèle, en dehors de celle par l'image qui vous met dans l'état de conscience de la personne."
Vaincre, un but à atteindre
"Viser un objectif dans le but de franchir tous les obstacles qui paraissent être un fossé incontournable et s'y maintenir obstinément sans relâche. Abattre une à une les difficultés, franchir ou déjouer les schémas perdants, retourner chaque échec en Victoire. C'est conjurer la loi de l'échec, logique fatale des "mauvais esprits" formatés et destructeurs qui pourraient se croire en état de supériorité de fait, par leur position dominante, tel l'oiseau de proie."
Qu'est-ce qu'une vérité, et les lois...
"Une vérité est faite pour se partager, se vérifier, elle est admise par tous, ceci, reconnue par les esprits adroits, elle est étudiée, vérifiée, validée...
Mais ceci n'en fait pas plus une vérité pour autant, la vérité est une affaire de point de vue, de culture, qui ne pourrait être régie par aucune loi, telles les lois de la physique qui régit notre monde, notre univers, sans qui tout s'écroulerait, comme les nouvelles théories à l'inverse du big bang, le big crunch...
Imaginé par un esprit des plus brillant et novateur Stephen Hawking très grand mathématicien et physicien de notre ère du 21e siècle débutant.
Un havre de paix
"Un havre de paix, un endroit retirer en dehors des grandes métropoles est un lieu d'apaisement, la propriété de quelque esprit libre, est indépendant. De nos jours, ceci est constaté une exception, qui se voudrait être partagé par un cercle d'homme d'exception à l'image des grandes demeures bourgeoises du 19e et antérieure..."
La Liberté
"La liberté, bannière et revendication affirmées par certains, est une valeur recherchée, est brandie de nos jours comme un étendard, un drapeau. Les étoiles de la liberté ou les esprits éclairés qui affirment avec forces et convictions par des écrits et des réflexions. Et non comme une idée publique et institutionnalisée est selon moi les meilleurs semeurs, et les lumières aux idées nouvelles pour l'émergence d'une nouvelle prise de position en faveur de l'indépendance d'esprit, et d'une liberté plus grande. Tel l'esprit des lumières des hommes restés libres du 18e siècle. Ou Jean-Jacques Rousseau qui fut l'inspirateur et l'idéologue de la Révolution française.
La femme être d'émotion
-"La femme qui se veut esprit libre, est indépendante. Aux originalités séduisantes et extravagantes, marque hissée vers le haut par l'industrie du luxe, et de la beauté. L'esprit féminin est imprévisible, sensible, et émotionnel qui fait son exception et sa valeur. L'imaginaire féminin est insondable tant il est chargé d'émotion, mais il peut-être aux antipodes et chargé d'une froideur des plus glaciale..."
L’enfance le temps romantique
Le temps de l’insouciance, ou ce passé doré des temps de jeunesse est un monde chargé de romantisme des premières découvertes. Le souvenir de l’enfance est une photo aux allures légèrement floutée, tant l’émotion de ce temps reste sensible, et idéalisée.
Ce monde perdu et rêvé au souvenir romantique est en chacun de nous. Nous recréons cet univers aux doux songes d’un temps où toutes choses paraissent immortalisées…
Le sourire des portraits de Jean-Marc Nattier
ou Adélaïde la fille de Louis XV
L’accent au doux sourire complice, inimitable des jeunes femmes aux tenues recherchées du peintre, des gens nobles de la cour de Louis XV.
Ces tableaux aux caractères et aux couleurs douces avec un fond léger paysagé, couleur 18e ou se détache des silhouettes où l’on devine une jolie bergère ou une jeune femme habillée d’un chapeau et d’une robe fleurie au joli corsage blanc près d’un hameau stylisé au goût de l’époque.
La touche du pinceau de Nattier est d’une délicatesse perdue soulignant les attitudes colorées d’un rose léger. L’atmosphère qui règne dans les tableaux ou le temps paraît s’arrêter, s’immobiliser pour mieux révéler un art de vivre, un doux temps aux ambiances tranquille et apaisé, ou les aiguilles du temps filant ne compte plus, le temps figé ne fait plus qu’un.
La sensibilité et l’émotion toute retenue de sa peinture évoquent une époque ou chaque chose avait son importance, le goût raffiné et le détail des jolies choses présentes ouvrent l’imaginaire vers le temps des lumières. Ce 18e siècle où la légèreté des choses et de l’esprit était un goût à la Française, l’Esprit français.
Balthus, le peintre à la douceur féminine, d’un temps perdu
Balthus peintre aux accents mystérieux, et intimistes.
Au doux portrait du teint d’une jeune fille alanguie. À la timidité et l’innocence d’une jeune fille rêveuse dévoilée. Aux douces harmonies pastel chatoyantes des portraits ou paysages et natures mortes.
La douceur, la fraîcheur de sa peinture est une recherche, d’un temps perdu, où se côtoie l’innocence, tel un profil d’une jeune fille, aux traits apaisés, où se dévoile la personnalité et la force de l’esprit contenu du jeune modèle.
Il faut que ce soit tout l’esprit d’un peintre d’un autre temps tel Balthus, pour retrouver le temps, d’un temps perdu.
À retrouver…
L’Être révélé ou l’inconscient
L’inconscient est notre moi profond.
Son être intérieur est le reflet de notre âme, le révéler met au grand jour la profondeur de son être, sa lumière jaillissante ou sa noirceur aux fins fonds des abîmes.
Toucher la lumière ou la révéler dans un espace d’un instant éternel aux accents poétiques, où la lumière vous irradie et inonde votre champ d’espace dans un jaillissement éclatant.
L’inconscient état révélateur met à votre portée votre champ de conscience à un niveau insoupçonné, vous dévoile vos désirs et vos peurs dans leur état initial de leurs émotions, dans toute sa force et sa pureté originale.
L’être est révélé dans sa beauté par l’inconscient, sans calcul ou préméditations d’aucune sorte.
Le miroir de notre âme, ou l’inconscient ou le moi révélé, est un champ puissant, sans notions de valeurs, accrochées à nos plus profonds désirs…
La Poésie ou « le Peintre de Vénus »
Alain Bonnefoit tel Matisse réincarné, nous transporte par ses dessins de nus dans la pure poésie ou les mots sont impuissants, les lignes dévoilées dans une douce harmonie de couleurs exaltent les corps et les esprits dans une innocence aux reflets apaisants.
Le sujet féminin, ses mystères, son innocence, sa sensualité exacerbée sans pudeur aux courbes affolantes, vous dévoilent, l’être féminin dans toute sa puissance.
Portrait d’une jeune femme
Une jeune femme, dans sa nature préserve sa timidité, son être est le reflet de son âme pure.
Sa curiosité, sa fraîcheur, sa quiétude, dans le regard de ses pensées lointaines, scrutant le paysage défilant à l'horizon.
Le souffle de sa respiration expiré, un regard affirmé soudain perdu, puis sa posture imposante affirment son jeune caractère.
Et dans un doux repos, ferme les yeux dans un sommeil envahissant apaisant.
Ma langue maternelle, le Français
Comme une douce comptine, on s'approprie sa langue, à son être, à son identité, à son moi propre. La langue et comme une petite voix intérieure qui reflète sa propre image.
La langue chante sa culture, ses distinctions qui font toutes ses appartenances à un esprit, l'esprit de ses valeurs ; en mesure et en subtilité reconnaissable à un air musical tout en finesse, l'esprit français.
MODIGLIANI ou le regard sacré
Dans ce Paris effervescent où tous les esprits créateurs bouillonnent.
Un artiste qui se prédestinait à la sculpture choisit la peinture par dépit, il se veut un aristocrate de l'art, un philosophe romantique de la bohème.
Chercheur de l'âme perdue, aux multiples portraits féministes. Jeanne icône aux accents de pureté. Muse éternelle, être absolu, être idéal rêvé désirent de l'idéal d'un artiste.
Yeux bleus, aux déformations picturales salvatrices, la sensibilité de l'artiste doit corriger la nature.
Être dévoilé dans sa vérité première, sans artifices, l'âme perdue transparaît, témoin de la vie d'une âme, regard désincarné, où la peinture est plus forte que la vie.
Le vide prend sa forme en un être révélé, seule l'apparence d'un corps subsiste, seule face au monde du peintre, unique maître d'un destin arraché aux injustices de la vie.
Seule la grâce, valeur intouchable, n'a yeux à son cœur.
L'amour et ses mystères sont l'objet unique de sa peinture. Sa peinture est une recherche absolue d'une quête amoureuse et cherche à dévoiler le mystère de l'amour.
La mort veut le séduire alors qu'il rêve à la vie, incapable de faire face aux obligations de l'existence.
Hubert Robert (1733-1808)
Peintre de l’ancien régime à la magnificence
Du goût à la française.
Hubert Robert au goût pittoresque de la nature, devenu membre de l’académie de France à Rome, l’art français des études sur le motif et l’un des principaux sujets de Robert avec l’un de ses condisciples Fragonard qui s’y adonne volontiers.
Peintre d’Architecture, il a la douce mélancolie des ruines, véritable poétique, la ruine témoin de l’achèvement de toutes civilisations humaines du regard aiguisé des temps à venir qui nous guette.
Peintre sensible « La Lingère » composition à l’huile à l’esprit 18e à l’instar de Fragonard avec un goût plus prononcé d’une poésie aux couleurs chatoyantes de brun et rouge de Venise aux décors orchestrés magistralement dans toute sa simplicité, la légèreté des tissus de la belle lingère, au délicat profil, à la nuque dégagée, aux cheveux relevés, ainsi que les manches retroussées, on y découvre un joli bras relevé tenant le drap de la main délicatement suggérée jusqu’aux doigts.
Scène mise en œuvre par de jolis feuillages de quelques vivaces végétaux disposés ici ou là de façon astucieuse ou l’on retrouve le goût de la nature chez Robert comme dans tous les tableaux de facture 18e.
Hubert Robert vit le déclin de la monarchie au temps perdu révolu des précieux, mis en contraste par la violence de la terreur révolutionnaire, sous le dictat d’un homme, Robespierre, ou il fut emprisonné, en attendant le tranchant angoissant de la guillotine et libéré après la fin somme toute tragique de l’homme de la terreur.
Le vandalisme révolutionnaire par les évocations répétées de Robert de ruines, traduit la mélancolie des jours d’un temps oublié à jamais….
Reste l’Esprit de l’époque sous son pinceau toujours vivant…
Le charme féminin
Être de passion à la présence évanescente, regard lointain, à la silhouette fine émanant la grâce.
Imperturbable, tout son être irradie le romantisme.
A la délicate attitude, tout en féminité. Être femme.
Résistance
Le politiquement correct est une forme de langage sans goût ni saveur, la Poésie ou le Poète doit être en embuscade.
Notre temps sous cette loi du silence insidieux rend l'époque et les esprits vides. Le Verbe doit être assassin tout comme l'Art sans aucun compromis d'aucune sorte.
Prenez le maquis... Le goût de la Liberté !
Le réveil ou la peur
On prend goût à la vie sous la joue incessante d'un pistolet sous la tempe. Le Temps est décuplé, les secondes sont des siècles à contempler...
Être soi
"Être Loup ou être Chien" ; le choix imposé, moderne de notre société et une sorte d'esclavage, fidèle à la promesse à tenir, pieds et mains liées, bouche bâillonner, emprisonnée.
Le Loup fier et conquérant à la recherche de nouveaux territoires guette sa proie, il est un seigneur à éliminer...
1860 Frédéric Bazille –
Source de l’impressionnisme aux portes de la peinture moderne
Peintre de l’école de batignolles révélé dans un tableau de Fantin Latour, il est l’ami doué de Renoir, Monet, Manet, dans l’atelier de la rue Furstenberg.
Rue au destin croisé d’un peintre de notre temps, Balthus où il peint le tableau « La Rue » (de furstemberg).
Manet, le leader qui révolutionne la façon de peindre et les codes établis, au parfum de scandale, sous la redingote, E Manet, ou dans le Salon on « s’encourage l’esprit de Révolte », l’instigateur du célèbre Salon des refusés.
Frédéric, élève consciencieux de l’atelier de Gleyre au dessin sûr, il se joue de la couleur avec une fraîcheur et une vérité de tons aux effets de lumières.
Peintre aux compositions audacieuses à la touche rapide avec une économie de moyen inspiré de son maître Manet, qu’il suit de ses pas, qu’il compare à Cimabue et Giotto pour l’Italie du Quattrocento.
L’Esprit est peuplé d’enfer
(ou le monde caché de nos incertitudes)
L’Esprit d’une personne est un monde inexploré.
Un monde sans limites ni frontières ou le réel et l’imaginaire s’affrontent.
Aux portes du Paradis ou de l’enfer…
L’esprit est une entité à part entière qui a une liberté et une vérité qui met notre moi à toutes épreuves.
Nos rêves tels des frêles navires voguent au grès des courants et vents, s’en vont au loin vers l’indescriptible infini.
L’Esprit peut-être d’une légèreté ou chargé d’un poids envahissant où notre esprit est peuplé d’enfer aux portes du paradis.
Prisonnier de notre esprit ou notre inconscient dérive, explorant les méandres de nos contradictions et vérités cachées pour mieux les extirper à notre insu.
L’esprit est conquérant, indépendant à l’assaut de nouveaux territoires ou nouvelles frontières.
L’esprit humain indompté est infini et sauvage.
2éme LIVRE
- L’Esprit est peuplé d'enfer.
- La beauté invite à la perfection.
- L'art est une douce violence.
Le Peintre du sentiment
Peindre ou dessiner le sentiment, voilà l’essentiel de ma démarche artistique, l’essence même de ma vision.
Pour moi, c’est l’unique raison et justification de l’ensemble de mon travail.
La Vérité des Êtres
L’alchimie de l’âme ou le peintre du Sentiment
Un sentiment est une chose fugace d’un être. Ce qui distingue les êtres est leurs intériorités ou leurs états d’âme.
Révélé par cette chose insaisissable qu’est le sentiment ou ce que l’on éprouve intérieurement résultat de l’alchimie d’un être.
Communiqué par la parole ou plutôt celui qui est imperceptible que l’on perçoit chez l’être aimé, sans mots ni bruits. Il est là présent en la personne révélée par sa présence, son authenticité naturelle.
Cette chose invisible qui transparaît dans l’intériorité de l’être, dans les passions humaines. Qui échappe à la communication est une vérité nue, pure dans son état, sans calculs.
Je crois être à la recherche de cet état, de révéler cette vérité indescriptible par des moyens qui fait appel à ses sensations, son ressenti, à son vécu, à la recherche de la vérité des êtres.
Trouver l’âme d’un être ou la pureté des sentiments ou saisir l’insondable, l’indicible vérité.
L’imaginaire
Le monde de mon Imaginaire ou une réalité présente réel qui s’impose à moi par mon dessin et ma peinture. Voilà le miracle de l’art ou d’une démarche artistique qui s’impose à vous.
L’imaginaire et une force plus forte, plus vrais que la présence du réel.
Le miraculeux précieux.
La Vérité est dans la Perfection
En ce qui concerne l’Art, il y a une vérité, une vérité de l’œuvre, l’Art met à nu la vérité de celui qui l’emploie. Est l’Artiste et à la quête de la perfection, il doit façonner la perfection ou tendre vers celle-ci pour atteindre sa vérité.
La perfection permet de se rapprocher de la vérité de l’œuvre ou du but à atteindre.
Atteindre la perfection ou sa perception de celle-ci est découvrir la vérité dans son accomplissement et dans sa nature la plus pure des forces qui la soutiennent du sentiment, de la beauté, dans sa force ou état originel.
Accomplir cette perfection et découvrir sa vérité, son sens, un état de révélation, une transcendance accomplie.
C’est le parcours qui mène à la vérité de l’artiste à sa quête d’absolu.
Vérité et Perfection.
La beauté invite à la perfection
Toute beauté est le signe de la perfection, elle est son essence, son élixir, son condensé, son algorithme mathématique. La beauté est la résultante d’une perfection accomplie présente.
Toute beauté et la résultante d’un mécanisme qui sont une pureté d’un savant équilibre d’une précision d’orfèvre, d’une loi universelle.
La beauté est un cheminement qui exclue toutes approximations, hasard, mais le résultat d’une recherche approfondie, calculée, évaluée, résultat d’une minutie, d’une loi naturelle.
Cette recherche est le parcours vers la perfection ou l’on trouve un équilibre parfait. Résultat de la beauté éternelle ou universelle, immortalisé dans l’œuvre d’un artiste ou l’accomplissement de son œuvre ultime.
Avec l’inconscient
vers de nouveaux horizons
Ouvrir son champ de conscience à des champs inexplorés.
L’inconscient vous fait voyager, transporter vers des possibles inexplorés, vers un ou des ailleurs, des autres possibles, vers un meilleur avec soi et les autres, un partage possible.
La possibilité de réaliser une réussite, un accomplissement de soi.
L’inconscient cette chose incomprise, cet autre possible rejeté, occulté.
Il est une source de renouvellement, un moteur insoupçonné d’un autre équilibre, être en paix avec son inconscient ou aller vers la voie de la réalisation de soi…
La beauté des femmes, elles marchent
comme des Chefs d’œuvres
La femme ou le modèle féminin à la séduction angélique telle des madones Italienne, Raphaëllienne ou des nus ingresques, vous enivre par leur beauté naturelle telle un diamant d’une pureté insoupçonnée, inégalable, unique, le corps de la femme a été fabriqué par des maîtres d’orfèvres qui raisonnent tels des chefs d’œuvres de grands maîtres de la peinture classique ou de la renaissance.
Le Chef d’œuvre est faite femme ou le corps féminin rivalise avec le génie de l’Artiste, son créateur…
Le Langage des Fleurs ou
« Les Boréades » ou Alphise et Borée
Les sentiments sont parfumés, aux élixirs du langage du cœur, les Fleurs sont leurs attribués.
Au Pays des Boréades, où le cœur et les Vapeurs des Sentiments sont en rivalités avec la reconnaissance de son rang, de sa position où il n’y a pas de place pour les prétendants sans reconnaissances ; ou sans force par sa position ou sans le respect des gens de biens et de valeurs acquis sont un préalable à sa condition d’homme.
Le Langage coloré et parfumé qui parle aux instances du cœur de l’être aimé. Est une langue aux accents empreinte de pureté loin des lois intransigeantes des Boréades injustes, féroces, cruels et lâches.
La Vérité des êtres
Un être passionné est pur, tel un ange dans son royaume à la blancheur éclatante.
Où règne la lumière, elle foudroie l’être sans Vérités ou mensonges.
La vérité est transparente comme un cristal parfait où nul n’ombre où impureté serait s’y loger.
L’être féminin
Attentif, sensible, sous une apparence de fragilité assumée, est un être à l’apparence douce ou l’âme respire la tendresse et la générosité du cœur
Les Femmes douces ou
les cheveux triomphants
La beauté d’une femme et d’une chevelure est au Féminin.
Les enchevêtrements, les mises en plis, les coiffures savantes rivalisent aux splendides et magnifiques crinières chevalines.
La coiffure sauvage aux mille boucles ou plis ordonnant, structurant ce trophée triomphant à la gloire du chef-d’œuvre féminin.
Attribut racé tel un félin dans sa robe brillante de tous feux.
Objet tant convoité des artistes à la réalisation d’une œuvre empreints de poésie, d’harmonie, à la beauté rêveuse tout Balthusienne.
Le Luxe à la Française
Le raffinement est français dans sa langue, dans l’art de recevoir, dans les grandes marques de la haute couture et de la parfumerie, ses arts musicaux, ses grands maîtres de la peinture et même dans les domaines des sciences.
Le goût à la Française est courtisé, recherché partout dans le monde, empreinte indélébile de notre esprit et de notre culture.
Dans le grand bouleversement de la mondialisation où tout tend à s’uniformiser sans goût, ni saveur, ni distinction…
L’identité française est une marque de fabrique en elle-même tel Paris la capitale du romantisme et de l’amour chanté par nos poètes…
Paris dans l’Ère du 21e siècle est la capital de la « Cop 21 » sera peut-être notre dernier salut face au monde.
Le miroir vide aux idoles
La désespérance des esprits ou leurs pauvretés ou le mal être, sont à la recherche des idoles qui seraient comblé leur vide ou manque, combler leur idéal accessible prêt à consommer.
La société actuelle aux miroirs des idoles et un leurre fugace aux esprits légers, indigents et pauvres. Notre société moderne ou l’intériorité des êtres est amoindri paupérisé où le savoir n’a d’égale à un vide incalculable.
La culture objet de notre patrimoine national et une façade ou seuls quelques esprits aventureux s’égarent, l’économie du travail ou notre modèle de vie de l’immédiateté du prêt à consommer dans l’urgence ou le temps coure, où nous devons vivre dans l’instantané, nous vide de notre richesse.
Le temps, le temps retrouvé doit être notre allié, doit s’immobiliser s’arrêter pour une recherche plus riche, un temps approfondi à l’acquisition de la connaissance dont l’aboutissement de notre identité est seul à ce prix.
Création et génie
Les génies des premiers siècles, au ceux moderne de la peinture rivalisant entre Van Dyck, Michel Ange, Léonard de Vinci, Raphaël, le Titien, Rubens, Poussin, Ingres, Delacroix, Picasso, Matisse raisonnent encore à travers les siècles par un éblouissant palmarès de créateurs touchés par la grâce et la beauté.
Nul ne peut rivaliser avec autant d’impertinences que ces génies de la création, rivalisant avec les miracles d’un seul créateur, d’un ordre universel, divin…
Monsieur D ou la peinture resurgit
ou Degas danse Dessin
Fervent admirateur Paul Valery a le projet d’écrire sur Edgar Degas, mais pense que celui-ci ne le verra pas d’un bon œil, renonce.
Puis il écrit pour se concentre sur la question de la créativité et du génie. Et écrit sur « l’introduction à la méthode de Léonard de Vinci » et « La Soirée avec Mr Teste ».
Paul Valery sur son écrit sur Degas a pour projet de comprendre les enjeux d’une vie de création. Son ouvrage est kaléidoscopique et surprenant, avec des réflexions sur la création, des anecdotes, des souvenirs ; tels ceux de Berthe Morisot…
L’ouvrage est un mouvement sur les sensations et les sentiments, toujours guidé sur sa réflexion sur la création avec cœur et moins avec l’esprit, et fait preuve d’un témoignage de l’un de ceux qui ont connu l’artiste.
Tout est dessin chez Degas, jusqu’à la sculpture, car il est son essence, la Ligne.
La pensée de Valery comme le dessin de Degas où tout est interrogation de ce siècle postrévolutionnaire où la ligne est mouvante comme la modernité abandonne les certitudes.
Degas révolutionne son art et cherche autre chose, ne plus concevoir un Chef-d’œuvre comme aboutissement d’un processus.
Mais plutôt dans la réalisation de Variations. Dans l’idée d’un processus de répétition de motifs, d’observations.
Et le Dessin est un vecteur de rapidité d’exécution pour l’artiste, qui l’intéresse plus particulièrement.
Degas est à la croisé des chemins est bascule entre le 19e siècle et le 20e siècle du cercle des impressionnistes où naît une autre modernité.
Les avant-gardes se croisent où le Jeune Picasso admirateur de Degas et Premier acheteur…
Rêve d’une jeune fille
Le doux rêve emportant les jeunes filles est sacré.
Tel un ange au paradis où son monde chimérique est inatteignable, ou seul réside un univers immaculé pur à l’image du paradis ou côtoie seul le créateur tout puissant.
Ne pas céder à la médiocrité toujours aller de l’avant.
La vie est un chemin où il faut trouver sa voie, et choisir à force de volonté les bifurcations qui mènent à la réalisation de soi, pour un meilleur, prouver ses aptitudes ses moyens de se réaliser.
L’esprit peut être plus fort que les chemins de la destinée qui peuvent vous dérouter de votre idéal, de votre quant-à-soi, de votre individualité, de soi.
Ne pas se laisser à la médiocrité que l’on vous contraint, mais éclairer son chemin vers des ailleurs possibles, son territoire à conquérir, à l’égale, de ses champs de ses idéaux et raisonnements et capacités intellectuelles développés, intériorisés en soi, dont la valeur n’attendait son accomplissement révélé.
Le Nu ou les courbes ou Désire artistique
Le nu ou dessin du vivant est une discipline ardue ou le hasard n’est pas conseillé.
Le nu demande d’être à l’écoute de soi et du modèle. Votre crayon suggère votre idéal, votre sensibilité, vos émotions ou le trait retranscrit ce que notre mentale synthétise, perçoit par une ligne émotion.
Alors les courbes qui se succèdent dont on évalue, mesure l’intensité ; le rendu vous suggère telle l’observation d’un paysage sur le motif l’accord parfait à mettre en place pour séduire ou étonner soi-même ou son publique et fervents admirateurs.
Le Sentiment des mots
La couleur des mots, puissance évocatrice, la dérive poétique des mots, nous transporte aux rivages d’un monde inexploré.
La dérive des mots abandonnés au large est un appel des états d’âme où se mêlent sentiments profonds exacerbés qui résonnent aux volutes poétiques.
Le langage des mots a le sentiment du cœur où la raison échappe aux vagues à l’âme, courir à la dérive des sentiments.
L’effet papillon
Vole au grès du vent.
De ses ailes blanchâtres, vole dans le bleu du ciel.
Être papillon et s’envoler vers le fil d’un destin prometteur, d’un destin à la reconquête d’un ailleurs.
Bataille interminable où sans cesse à la recherche de votre idéale.
La couleur ou
la poésie des sens
La poétique des couleurs est un langage sensoriel d’un monde chimérique, au ciel cotonneux aux couleurs pastel.
Le sens poétique aux harmonies sensible et légère vous élève dans un monde rêvé, un idéal poétique ou l’imaginaire est roi où tout est impressions, émotions.
Le Songe d’Ossian, Poème ou
l’œuvre peinte d’Ingres
L’œuvre d’Ingres est d’une poésie rare, illustrant les combats et les amours d’un barde écossais du 3e siècle
Où une mise en scène du héros et de sa femme, de son fils, de sa promise enlacée, entourés des anges et valeureux soldats portés dans un nuage fantomatique.
En premier plan le barde Ossian est assis, appuyé sur sa harpe et rêve.
L’Absolu du Romantisme par Girodet ou
« Atala au tombeau » - 1808
Toile où l’érotisme vibrant romantique est une icône.
L’exposition du tableau du Salon 1814 ravive les passions où le sentimentalisme est la marque de ces temps…
Et représente l’expression même du romantisme Girodet à la sensibilité mélancolique s’impose depuis l’après de l’atelier de David comme le peintre des amours tourmentés respire une poésie nouvelle.
La belle Atala romantique expire dans les bras de son bien-aimé Chactas.
La raison en est qu’ils décidèrent de s’unir dans le mariage, lorsqu’Atala se rappeler de la promesse faite à sa mère de rester vierge et chrétienne et choisir le suicide et d’échapper ainsi à sa passion.
Le silence du recueillement dans le tableau autour du corps gracile enveloppé dans un linceul virginal et l’ultime étreinte passionnée qui accompagne la figure aimée vers la tombe, la douleur contenue et pourtant si perceptible de l’amant est la représentation érigée de la gloire du romantisme naissant.
Être Poétique Pure
L’Être féminin est toute poésie.
La sensibilité féminine est de la poésie pure.
L’attitude, le geste de la chevelure, le profil perdu d’une jeune femme à la chevelure tombante sur les épaules sont pure poésie.
Rêve au féminin
Le Désir d’une jolie femme au sourire charmeur vous enchante, vous transporte vers un ailleurs, un idéal rêvé, au charme de la délicatesse des parfums envoûtants aux nectars des attraits enivrants de l’être féminin et de ses splendeurs voluptueuses, aux courbes idéalisées qui raisonnent aux charmes de l’amour.
Femme être de passions au cœur généreux.
Tendre amour
À mon cher tendre amour.
Ma belle du jour, enchanteresse de ma vie.
Cher amour, mon tendre amour, ma chère amoureuse au regard enchanteur plein d’espiègleries touchantes, cher amour.
Trésor, ma muse de mes rêves, aux désirs infinis, ma belle amoureuse, mon tendre amour.
Ma belle, Oh amour, tendre amour, la femme de ma vie.
Le jardin de ton amour
Mon amoureuse, j’aimerais gagner ton amour.
La pureté de tes sentiments, j’aimerais les cultiver dans ton jardin secret, être le jardinier modeste de ton amour, entretenir la rose de ton cœur.
Qu’elle s’épanouisse d’un rouge parme amour aux senteurs subtiles d’un parfum recherché qui exalte les senteurs du bonheur.
J’aimerais conquérir le chemin de ton amour.
Et t’aimer, et partager le fruit de ton amour, être le jardinier attentif de ton cœur, mon amour.
L’œil du Destin
Parcours chantant comme Monsieur Trenet Charles qui tutoie les succès.
Le Destin vous attend pour vous surprendre, vous tendre des occasions, des rencontres qui vous révèlent, vous change.
La chrysalide un jour deviendra papillon pour voler de fleur en fleur.
Faire de sa vie un cheminement de soi à la conquête de la réussite, un possible à réaliser.
L’Envie à l’esprit de ton être
Être et esprit, l’amour inexplicable des êtres attirés comme des étoiles d’un ciel d’été.
L’esprit de ton être insaisissable, libre et léger comme une aile de papillon.
L’essence de ton esprit charmeur, joyeux et bienveillant.
Mon amour pour toi grandissant jour après jour.
Amour, tu irradies dans mon cœur comme un soleil.
Qu’est-ce l’amour ?
Toi oh amour, âme pure à la beauté insaisissable aux mille facettes, tu brilles et éclaires des feux éblouissants de tes hautes valeurs sont égales aux idéaux universels.
La Littérature
La Littérature est Volupté et Sensualité, un pied de nez à l’inéluctable…
Une ode à la vie, au désir, à l’amour.
Doux amour, douce amoureuse.
Mon cœur se balade, que l’amour est doux.
La douceur des sentiments aux gestes amoureux, tout est désir et attente.
Le temps est notre pygmalion qui sait nous piquer à l’instant tant désiré, rêvé.
L'amour poésie colorée aux saveurs inattendues ou l’intensité amoureuse culmine à l’intention de l’être aimé, courtisé, adoré, est révélé.
L’amour est révélation de l'autre, de soi, du désir partagé ou espéré.
L’amour révèle le désir, la douceur des sentiments, aux voluptés des êtres, des passions.
Genève la séductrice cachée aux rivages dorés
La Somptueuse se laisse découvrir au gré de ses humeurs, toi la Genevoise.
Et toi, ma bien-aimée, nous nous promenons dans les quartiers chics ou nous nous émerveillons.
Dans tes yeux, je m’évade et voyage vers des horizons enchanteurs.
Ma bien-aimée au café du centre, sur notre table d’un tissu à la blancheur genevoise, nous nous délectons.
Tes yeux et ton sourire rieurs illuminent mon cœur.
Tu es ma princesse enchantée, ton cœur et ton regard sont mille soleils au bleu d’azur.
Tes pensées, ton esprit m’accompagnent vers un pays enchanteur.
Les mariés de l’an II ou mon amour
Les amours passionnées de Charlotte qui alternent entre jubilations et passions
inassouvies sont le romantisme piquant des passions amoureuses à l’esprit français.
Cher amour et tendre aimé, je t’aime follement tel ses aventures pleines de charmes
et de sentimentalismes ou l’amour est roi.
Je t’aime, mon amour
Ma Passion le Dessin
L’art du dessin du modèle vivant nous-élève tout devient poésie, matière à émerveillements.
L’art du nu est un art abouti à la recherche de la perfection et de la poésie.
Les voyageurs du Temps
Aux futurs voyages dans l’univers, vers des lointains inconnus au-delà des sciences humaines futuristes et avant-gardistes vers l’impossible, l’inimaginable, vers un monde sans fin, au-delà des frontières connut.
Telle Agostinelli et Proust voyageurs de leur Temps.
Ou Agostinelli veut traverser la manche à bord d’un coucou dénommé le Swann.
Où Agostinelli parti ne s’en revint pas ou Proust eut les remords de sa vie, d’avoir financé avantageusement son Valet et ami de cœur vers la mort.
Proust à ses frais fit rapatrier le corps à terre pour le repos de son âme.
Ses êtres de passions et de cœurs sont nos voyageurs d’un temps passé et oublié de notre future avant-gardiste à l’ère de l’information sans âmes, ou la logique et l’intelligence synthétique sont l’avenir annoncé de l’humanité…
L’être aimé
L’être aimé est une lumière dans l’ombre.
Cette lumière vous accompagne, vous guide vers un chemin qui vous illumine, vers un meilleur, un idéal.
L’amour vous grandit.
Mon amour ton sourire, et tes moments de joie resplendissent dans mon cœur qui bat pour toi mon amour.
Au bord du gouffre,
Les fêtes de la lumière à Lyon
Le métro devient l’Enfer, la foule innombrable.
Le temps devient étroit, à la poursuite d’un départ de train pour arriver à temps, les obstacles s’enchaînent.
On vous malmène, met vos nerfs à l’épreuve, sur la corde raide. C’est la course, arrivée juste à l’heure sur le quai de la gare, arrivé juste au bon moment, à temps.
Ce train devient vite bondé, l’atmosphère est oppressant les gens se pressent, s’agglutinent, s’énervent juste à la recherche d’un espace viable.
Puis, c’est l’angoisse qui monte ne sachant pourquoi, dans l’attente d’un apaisement, d’un moment d’accalmie après tout ce tumulte. Vous fermez les yeux à la recherche, d’un calme apaisant, tout ce mélange, se bouleverse puis peu à peu la sérénité pointe, pour peu à peu retrouver la confiance, reprendre ses esprits. Les gens sont plus apaisés, le calme s’installe peu à peu vers la sérénité, enfin…
Moi, retrouvé…
L’Amour retrouvé ou
à la recherche de l'être aimé
Mon amour, je t'ai trouvé et tant espéré.
Tu es mon horizon, ma lumière, mon espérance.
Je t’aime sincèrement, d’un amour profond.
Tu as su me trouver, m’apprivoiser, je te remercie pour ça.
Ton esprit, ton être, tes yeux tout me plaît.
Sans toi, je suis incomplet.
Tu es mon amour tant désiré.
À toi mon amour chéri
Philippe
L’Être et le Néant
Un jour, je suis.
La vie est ainsi, on est à la découverte de soi et du monde.
La découverte est sans fin, notre monde est un univers plein de surprise, et de nouveauté, il est sans fin.
Notre soif d’apprendre est infinie tout comme la vie.
Cette vie que l’on s’approprie, devine, découvre et redécouvre.
Qu’avait-il avant notre monde, le Néant ?
Qu’en est-il après nous, le Néant ?
L’être et le néant, voilà notre questionnement, il est sans fin.
Tout comme notre univers.
L’Esprit quantique
à la différence de la « conscience » dite « quantique »
Qu’est-ce que l’esprit quantique ? Qui décombres de la physique quantique dans mon esprit.
Qu’est-ce la physique quantique ?
Elle échappe à notre raison toute cartésienne, même Albert Einstein grand physicien ne voulais s’y résoudre !
La physique quantique est multiple surprenant, unique en son genre, confus et logique à la fois comme si « un » est seulement « un » ne suffisait pas, divers, et a le don d’ubiquité ou l’omniprésence.
Alors l’esprit quantique serait un être supranaturel, un esprit infini, divers, à la fois ici et nul par et partout, incompréhensible pour notre esprit humain et instinctif.
Serait-il inhumain, suprahumain, incommensurable, une logique démultipliée à l’infini, inconcevable humainement parlant.
Est-il notre futur lointain ? Pour l’accomplissement et le développement de notre humanité ?
Amour et Désolation
- Toi, chère et tendre.
- Être aimé, les terres arides et désolées pointent au bout du jour.
- Ni tumulte, ni désordre orchestré, mais un silence assourdissant rempli de complaintes.
- Seule face au désordre, seul rescapé d’un flot de calamités près de l’abîme.
- Puis-je survivre à ce flot qui m’envahit, j’essaye d’entrevoir la lumière ?
- Le terrible mal être m’accable, me déchire de l’intérieure, que faire…
Le Spleen et la Poésie
Le mal être m’envahit, me surprend, me saisit sur l’instant infini, sur l’étendue d’un océan.
Pourrais-je m’en défaire qui déchirent les chairs et l’âme ?
L’Âme dérive, se perd, s’éternise pour ne plus en finir.
La malédiction vous poursuit sans relâche et fait corps.
Cette sensation vous irradie de tout feu, vous brûle l’âme.
L’instant Noir
Dans l’ombre de vous-même, à l’orée du réel.
Le temps nous rattrape, envahi par le néant qui nous accable l’âme à la dérive.
L’éclair jaillit pour vous frapper dans votre lente dérive, vers des lieux brumeux et désertés.
Vous soulève et vous hante, violente et soudaine tel un ange déchu.
Vous attire vers les abîmes du fond des ténèbres pour vous y engouffrer dans l’espace d’un instant éternel et terrible.
D’un coup, sortir de la torpeur, d’un lourd sommeil, éveillé, le temps s’arrête.
Tout s’agite autour de vous, immobilisé, acteur impuissant, mortifié, pétrifié à jamais.
La vie défile tel un voile obscurci par l’ombre.
Pris d’un rêve Noir à l’orée de l’enfer.
Sorti des ténèbres, vous échouez groggy.
Une rencontre idéale
Au détour d’un chemin, d’un court voyage, une rencontre fortuite peut vous séduire.
Rencontrer un être égal à soi-même intellectuellement est séduisant, inattendu, simple et agréable.
Le long du trajet livre à la main d’une philosophie de vie d’un des auteurs à succès reconnus pour ses pensées philosophiques zen, elle parcourt celui-ci détendu, curieuse.
Elle saisit après une courte pause de sommeil, un carnet, c’est alors que le crayon parcours rapidement et avec élan la surface du papier du carnet. Écriture fine, petite, dense, le carnet sans ligne, les mots défilent rapidement pour remplir la page puis le verso, dans un plaisir insoupçonné, une gourmandise.
Après avoir couché sur le papier l’articulation de sa pensée filante et tout à fait heureuse d’avoir accompli sa tâche, ferme son carnet d’écriture, avec un soulagement et un plaisir non dissimulé.
Nous échangeâmes alors quelques mots prompts à la découverte de ses passions personnelles et l’écriture que nous partageons ainsi que le dessin.
Ravi d’avoir approché un esprit curieux et brillant, d’une simplicité agréable, prompt à l’échange.
L’ Amour
- L’on chérit l’être aimé.
- Un être désirable, adoré.
- Toi si désiré et aimé.
- Tu nous fais tourner la tête.
- Ton rire et tes colères sont mille émotions.
- Nos désirs et nos peurs sont nos pygmalions
- Le temps tisse notre histoire.
- Je rêve d’un idéal, d’amour et de partage.
- Toi, femme être de douceur et de passions, j’espère ton bien être.
- L’amour est une bataille, une victoire à conquérir.
La vie
Un jour triste, sans soleil, le paysage, les arbres défilent.
Le train roule sur le fil de la vie.
Soudain un rayon de soleil fait jour.
Que dire de cette triste vie ?
Amour et espoir à l’envie.
Que ronge mon âme, aux déboires de la vie ?
Un jour peut-être viendra l’apaisement.
Notre vie telle un chemin cabossé trouvera un jour ses champs élyséens.
Je t'aime
Je t'aime.
Tu es plus belle qu'une Fleur.
Tu es la Rose de mon Cœur.
Le Mystère de l’être féminin
Jolie femme aux formes féminines, est de toutes grâces.
Les cheveux tombant sur les épaules qui dévoilent un joli visage, le buste élégant, de jolies mains aux doigts effilés jusqu’au bout des ongles.
La grâce est féminine, mystérieuse, douce.
L’attitude féminine empreinte de légèreté, de charmes, d’une candeur attirante inspirant la confiance de l’être aimé.
L’Art et la Vie
Vivre sa vie, l’exigence de la vie.
La vie à ses tumultes et priorités, ne laisse rien au hasard, ainsi va la vie.
Rencontre avec une artiste qui aussi a fait face aux exigences de la vie, du monde du travail.
Épanoui dans son art, aucun souci ne transparaît.
L'envie est là, le partage et la simplicité, d'un art exigeant, parfait, irréprochable…
Disponible pour son art, l’art pour sa vie, l’art une de ses priorités.
Le regard rayonnant, accessible à son monde, donne l’envie, l’envie d’un art rayonnant.
J’aimerais trouver sa voie, vers un accomplissement, une découverte, une affirmation de soi.
L’art donne envie…
Rêve de toi
Ton sourire m’enchante, tes yeux séduisants m’envahissent, je rêve de toi…
Ta douceur de peau, telle une fleur parfumée, exalte la passion et l’amour.
Tes lignes féminines aux courbes délicieuses m’enivrent, révélées mon imaginaire passionnel, un rêve sentimental, un désir onirique.
Je rêve de toi, mon amour.
Gérard GAROUSTE ou la Peinture retrouvée
La peinture est un langage, une pensée, une énigme et ses clefs à déchiffrer.
Gérard Garouste se joue de la folie pour déchiffrer ses propres énigmes.
Sa peinture pleine de code donc la famille, la religion, ses peurs, ses secrets de famille, la psychologie freudienne, sa psyché, ses angoisses, son histoire personnelle…
Le Temps de l’enfance,
souvenir ou temps présent
L’enfance est une période formidable et heureuse que l'on voudrait immortelle et que l'on quitte avec l’adolescence.
Ce temps privilégié, ce temps d’insouciance, ses instants précieux intemporels, on peut les revivre avec ses propres enfants ou neveux ou nièces qui nous rappellent à nous même ce temps joyeux, ce temps de liberté, ce temps de découverte des choses et du monde que l’on devrait ne pas avoir quitté.
Vivre le temps des vacances, des voyages, de la famille.
Ange ou Démon
Le doux ciel sous ses anges protecteurs est séduisant. Les ailes vous poussent tel Icare pour se rapprocher du Zénith voir la félicité.
Icare a eu un sort peu enviable à se rapprocher trop près du soleil grisé par l’altitude.
L’homme et la femme deux êtres pour s’aimer, se comprendre, se soutenir sont identiques dans leurs désirs de la féliciter.
Le Démon peut surgir, se dévoiler, apparaître sous des traits séduisants, vous accaparer, vous dévorer.
On peut se surprendre à côtoyer le démon qui sournoisement fait surface pour mieux vous apprivoiser et être sous son emprise, à sa merci, sous son aile attendant la fin.
Les amants maudits
ou les amants magnifiques
Tels Modigliani et Jeanne Hébuterne qui rêvaient d’une vie accomplie, de couple, le malheur les avait rattrapés.
Impétueuse, volontaire, courant après un rêve, une chimère, dépassée, hors de contrôle, ne maîtrisant plus ses actes, fuyant la réalité, la vie, débordée pas ses émotions, ses pensées, elle part à la dérive telle un fleuve en cru, ne sachant dans quelle direction aller.
La vie vous rattrape, avec ses contradictions, ses illusions tel un théâtre ou la vie ou les personnages ne seraient qu’un jeu d’ombres et de lumières.
L’Impossibilité du Cœur
Amour impossible, Amour interdit.
Le Cœur à ses raisons que les sentiments ignorent.
Les yeux de l’amour sont aveugles, ne voient ce que le cœur ou la raison imagine.
L’Amour est impuissant à trouver la voie de la raison, seules les passions ardentes sont présentes.
Ou la malédiction du Cœur des amants.
Le Jardin des déplaisirs
Mon amour, mon amie qu’as-tu fais ?
Au plaisir de la vie arrivent les chemins arides, des lieux désolés et inhospitaliers.
Les paradis tant espérés sont des ferments de la haine et de la jalousie, du mensonge, qu’as-tu fait ?
Toi, mon amour, mon jardin d’abondance ou les fruits sont amour, qu’as-tu fait ?
Au plaisir s’accompagne la litanie des déplaisirs.
Un paradis pour un enfer, qu’as-tu fait ?
Les anges espérés sont en puissance les forces du déplaisir et de la haine et de l’incompréhension.
Toi et ton unique foie au désir, dévore, avale les montagnes des horizons de l’amour, du bonheur, du plaisir d’être deux, qu’as-tu fait ?
Le voyageur imaginaire
Aux horizons nouveaux, la curiosité est exacerbée, peurs et envies sont mêlées.
Le voyageur insouciant et non préparé à l’imprévu et aux désagréments est vite désorienté, victime choisie, désignée par avance.
Le malheur n’arrive jamais seul, c’est un amoncellement, une suite continue.
Malgré vos efforts face à l’adversité, l’être aimé et choyé par vous, est agacé, énervé, indispose, prompt à la vengeance.
Peut-être l'objet de votre malheur, de votre infortune.
Votre amie des tout premiers jours, par les tourments et vicissitudes de la vie, peut décider d’être l’instrument de votre chemin de croix.
En ces cieux inhospitaliers, envoyés au purgatoire, victime choisie, à la merci de l’adversité.
Chanceux les gens bien heureux, la vie les a choyés.
L’Ivresse des Plaisirs
Joie et amour, l’espérance des êtres.
La vie triomphe des malheurs, la source des bonheurs coule à qui sait la découvrir, l’imaginer.
L’esprit est plus fort que la vie. Tumultes et fureurs s’effacent à la volonté de l’esprit.
L’esprit est un horizon sans frontière, infini, sans limites, indomptable.
La vie est ivresse des plaisirs.
Le Langage des Fleurs,
Aux Étoiles de Cocteau
La poétique des fleurs, aux couleurs et senteurs parfumées vous enchante, l’envie de rêver.
Les fleurs sont des mots, aux accents poétiques où leurs langages fleuris appel à l’amour, la grâce et l’envie de beauté.
Tout est merveilles à qui sait regarder, découvrir.
Le monde est un enchantement aux mille facettes telles les étoiles éclatantes d’un ciel de nuit d’été, aux étoiles poétiques de Cocteau.
Femme
Femme, qui êtes-vous ?
L’ingénue Natalie Wood au corps et regard ravageurs.
Vous êtes désirable et attirante telle une étoile filante dans la nuit étoilée.
Vous êtes la douceur ou tout feu et flamme, rien ne vous résiste, accrochés à vos désirs et à vos rêves.
Vous chère femme au caractère imprévisible tel un volcan endormi prêt à la fureur sous les feux ardents.
Femme aux mille visages vous êtes une et multiple.
Femme l’amour vous guide et vous nourrit.
Vous dévorez la vie et les hommes avec passions.
L’envie vous submerge attiré par un ange protecteur qui sera combler vos mille désirs et rêves.
L’envie d’être femme.
La Poétique du beau
Aller vers la beauté, c’est aller à la poésie.
Seul le chemin de la poésie vous guide vers la grâce, la beauté et l’amour du désespoir de la vie.
Un être de passion est toute poésie.
La pure poésie est un état de grâce.
Seuls la beauté et l’art vous mettent dans un état de conscience qu’est la poésie.
Chaque être aspire au beau, seule la poésie vous mènera vers ce chemin de grâce et d’apaisement.
Aux origines de la peinture
ou Pieter Bruegel l’Ancien
Peintre dans les anciens Pays-Bas et navigue entre Anvers en qualité de Maître, longtemps, et exerça par la suite à Bruxelles ou il s’établit de manière définitive en 1563.
Pieter Bruegel l’Ancien est célébré d’Anvers à Bruxelles, son œuvre rayonne, pilier du patrimoine flamand, encore vif de nos jours.
Les chefs-d’œuvre dont Dull Griet (« Margot la folle » dit aussi « Margot l’enragée ») peinture très singulière, dont le genre est une rareté pour son époque et l’une des œuvres les plus fascinantes de la renaissance septentrionale.
« La chute des anges rebelles » œuvre significative qui marquent les esprits entres anges, le grand dragon, le serpent ancien appelé le diable et Satan, une véritable bataille apocalyptique « Malheur à vous, car le diable est descendu vers vous d’une grande colère sachant qu’il lui reste peu de temps… »
Et ainsi un grand Saint-Michel au corps élancé, désarticulé, mène les légions célestes contre le dragon satanique qui a converti une partie des anges et les a décidées à se rebeller contre Dieu.
« Le remembrement de Bethléem » fait référence à un passage de l’évangile de Saint-Luc, le point de vue du tableau dominant tout le paysage par sa hauteur s’inscrit dans la tradition du « Paysage monde » ou « Paysage cosmique » qui est la marque du style flamand dès le début du siècle.
« Paysage d’hiver avec patineurs et trappe des oiseaux » œuvre majeurs d’une période des années 1565-1567 particulièrement froide au sein de ce que l’on a coutume d’appeler le « petit âge glaciaire » les hivers mémorable ont permis d’installer un genre pictural privilégié par les peintres flamands et hollandais dès la seconde moitié du XVIe siècle.
Pour Bruegel, cet état de fait confrontant la population à la rigueur du temps dominé par la nature envers ces exigences à la condition humaine et autres énigmes dont la trappe aux oiseaux donnant le nom au tableau est inexpliquée quant au message ou significations face aux rigueurs de l’hiver qui n’altère en rien les hommes dans leurs quotidiens.
« Les proverbes flamands » œuvre qui fait partie des plus populaires depuis son retour en grâce au XX siècle. Œuvre comprenant un foisonnement de personnages savoureux aux détails cocasses qui compromettent inévitablement l’unité de la composition.
« La tour de Babel » Bruegel l’Ancien revint à plusieurs reprises sur le thème de la tour de Babel. Ses représentations de l’insolent édifice biblique, qui compte sans doute parmi les sujets les plus fascinants de son œuvre.
« La moisson » pour ne considérer que l’Été et le temps crucial de la fauchaison, le présent tableau montre des moissonneurs qui ont cessé de travailler pour se restaurer et prendre du repos à l’ombre d’un arbre grêle. La Moisson est d’abord remarquable par son caractère entièrement profane. Le sujet est la nature ou plus exactement le rapport quasi symbiotique, rythmé par les grandes phases calendaires, d’une humanité et d’une nature majestueuse qui l’abrite, le nourrit, la contient.
L’artiste tend à s’émanciper des stéréotypes fantastiques, caractéristiques des initiateurs du paysage dans les Anciens Pays-Bas pour atteindre une forme de poésie naturaliste d’une intensité peut-être sans précédent, depuis la littérature classique et les géorgiques de Virgile. L’articulation de la masse dorée ondoyante des blés interrompue par un paysage verdoyant, qui se prolonge, dans une admirable brume de chaleur estivale, jusqu’à un littoral d’où s’élancent quelques bateaux constitue une source d’émerveillement perpétuel.
La Rose ou l'amour des femmes
Oui, vous êtes aimées, nous vous courtisons.
Espérant gagner votre intérêt.
Vos yeux et votre sourire nous attirent, prêts à vous séduire.
Tout reste à faire, pour gagner votre cœur.
Un mot de vous et le monde resplendissent.
Un jour vos yeux, tout émerveille, un autre jour tout est tristesse.
Vous sensible comme une fleur, nous cueillons les roses du bonheur, pour trouver l’amour de notre vie
Une âme en peine
Tout est joyeux quand tout resplendit.
L’amour, le baume du bonheur aux âmes en peine.
Cœur à la dérive, vous errez en peine.
Aveuglé par vos désirs, vos envies intarissables.
Vous luttez pour gagner un possible désirable, l’être idéal, sans imperfections notables.
À tout cœur, bonheur est bon.
Amour
Immatériel, sans odeur ou parfum du cœur. Rose ou Jasmin.
Sans prix à la valeur inestimable à qui sait gagner les cœurs.
Bonheur ou malheur sans notions de valeurs, aux cœurs chanceux.
Quête éternelle, des êtres amoureux
3éme LIVRE
Écologie, notre chère TERRE, « Un Crime » ou
l’Homme Assassin et la nature…
- L’homme une utopie de la nature…
- Cette Terre, notre Terre, Planète bleue oasis de notre univers étoilé.
- L’homme ou la fin…
- L’homme ou le suicide de la vie, de notre monde.
- L’homme ou la sincérité honnêtes, criminels.
- L’homme ou le génocide ou la folie irraisonnée ou le génocide intellectuel ou le révisionnisme du crime de la nature ou la tragédie annoncée, de notre terre nourricière assassinée…
- Nazisme crime de l’humanité, l’homme ou le crime de la nature, du vivant, du monde animal, de notre humanité vacillante ou la fin d’un monde, la fin de notre monde…
- Pauvres hommes, pauvre humanité qui à tout gagner va tout perdre pour tout gagner, et perdre jusqu’à la vie…
Le tumulte
- Pris dans la tempête, les éléments se déchaînent autour de vous.
- Votre esprit erre , flotte dans les éléments. Emporté par une vague destructrice,
vous résistez à ce déchaînement envahissant.
- Mais aucun tumulte ne saurait vous détourner de votre être profond.
- Vous êtes là, sur un frêle esquif ballotté de tous côtés, rien ne peut vous atteindre.
- Vous résistez, telle une citadelle imprenable, inviolée…
Hors cadre – À la recherche de soi…
Se défaire du réel ou de ses attachements, du matériel ou immatériel, moral, ou social…
Ou la raison de l’être débarrassée de toutes consciences.
Serait-il un lieu idéal, parfait, un paradis libre de toutes contraintes ?
Ou faut-il pour se forger, être un être construit ? Soumis à la contrainte, la liberté intellectuelle serait acquise dans un processus fermé, dictatorial à l’image d’une société humaine avec ses tragédies et renaissances heureuses confrontée aux malheurs et souffrances…
Qu’est-ce que l’amour ?
L’amour est acte de compassion, de don de soi, envers autrui, un acte altruiste, dans l’idée des religions accomplies.
L’homme peut en avoir un autre sens celui-ci plus fantasmagorique ou biologique, mais pourtant pas sans sens initial d’acte de don ou de partage ou fusionne lorsqu’il s’agit des passions humaines.
Le monde est pétri de cette matière de cohésion ou trahison douce ou violente ainsi es fait l’homme et ses contradictions depuis la nuit des temps depuis que l’homme est l’homme. C’est sa partie tragique ou celle du bonheur partagé.
L’acte d’amour est humain que l’on partage aussi avec les animaux de façon moins instinctive par les lois du naturel.
L’Amour nous nous en sommes fait une philosophie, une littérature, serait-ce une invention de l’homme ?
Existe-t-il cette chose que nous nommons l’Amour ?
L’homme en a fait une religion, un dogme.
L’homme à t il trahit cette chose ? L’a-t-il pervertie à jamais ?
Avant Adam et Eve ? Une histoire d’amour…
Le droit au bonheur
A-t-on tous droit au bonheur ou à ses vertus que mille richesses ne pourraient pas acquérir par le fait de l’argent ?
Celui-ci inconsistant nous dépasserait et nous méprenions sa valeur après que celui-ci ne ferait plus fonction, par défaut.
C’est alors qu’il prendrait toute sa valeur, sa perception sera ressentie furtive, insaisissable, sans acquisition contractuelle, non négociable, immatérielle, imprévisible.
Cette chose tant désirée, assouvie avec fureur, envie irrésistible.
Alors comme le bonheur sait attendre et donner ses bienfaits, à qui sait le mériter, le désirer, l’initier envers les autres et fatalement ou finalité vers soi…
Fruit d’un verger longuement maturé…
Le sexe des anges ou les anges ont-ils un sexe
Les choses de l’esprit n’ont pas de sexe fût-elle sorti d’un cerveau masculin ou féminin.
Les anges être neutre dans la couleur admise est d’un blanc maculé virginal dans l’esprit admis populaire.
Pourtant faut-il penser que les anges ont un sexe et auraient de facto une sensibilité particulière et des dons particuliers ? Que l’homme ou la femme pourrait intrinsèquement admit un rang de sainteté malgré leurs défauts et différences en prenant en compte le sexe.
Ou dans l’absolue un Saint en sainteté serait obséquieux par nature et perdrait ainsi leur statue d’hommes ou de femmes le critère n’étant pas déterminant.
La religion chrétienne accepte mal ce qui est de l’ordre du sexe, ou se réfugie vers l’ignorance, ou le refus de cet état, tout en considérant comme l’acte de procréer un enfant, « L’enfant de Jésus » comme un a postula divin…
Tout ceci serait alors l’ordre ou l’affaire du divin.
Les affectent de l’homme ne serait pas déterminant la création est du domaine des cieux, du divin créateur sans lui l’homme ne serait pas et même pour justifier la place de l’homme il serait dans les mystères de Dieu, lui seul juge de sa créature, l’Homme ou la Femme…
Les anges eux en seraient exclus, leur nature imparfaite ne serait pas remise en cause, étant par excellence les serviteurs du divin éternellement, l’affaire du sexe ici n’étant plus du monde des vivants et de leurs assujettissements à celui-ci, ne faisant plus fonction, ou œuvre d’utilités biologique d’une espèce vivante.
Élevé ainsi dans les sphères du divin protecteur…
Femmes
Votre douceur vous caractérise, vous avez l’intelligence du cœur.
Être de complicité, une fragilité sensible, vous recherché l’homme qui saura vous aimer, vous comprendre.
Votre instinct vous guide, à l’attente, prête à recevoir, votre complicité sensible émotionnelle est d’une vraie richesse humaine, vous êtes femme…
Femme être de partage, vous aimez tendrement.
Françoise Blanc Dupasquier
Femme artiste peintre
Artiste d’exception, professeur attentionné, j’ai votre souvenir heureux.
Vos œuvres, une ode à la vie, vous suit, heureusement, elles sont là, vous qui n’êtes plus là, j’ai craint ce moment redoutable, espérais qu’il ne soit pas…
Jusqu’au sublime
La beauté de la vie est poétique.
Le réel nous échappe et se dégage une vision poétique à qui sait regarder. C'est une sensation légère qui a contrario se détache de la dureté, de la violence du réel, de son immédiateté.
Seul l’esprit humain va plus loin que le réel.
La poésie est notre part d’innocence, notre part d'enfance retrouvée.
Les choses simples de la vie nous réconcilient avec nous, notre être sensible, le regard poétique et l’instant cher de nous-mêmes, notre part inconnue, d’innocence à apprivoiser, le double de notre miroir.
L’instant poétique et cette part d’humanité que nous avons tous en nous même, nous être de tout horizon, homme ou femme confondus, sans distinction.
La poésie est un langage commun sans frontière. L'art est son joyau.
La poésie est un sens sublimé de l’être qui confine au divin, à la pureté des sens, une élévation de l’être et de l’esprit.
La beauté est en nous, dans toutes choses, les horizons poétiques se dévoilent à nos yeux, ils ont la couleur de notre innocence retrouvée, aux bleus intenses gouachés de Dufy.
La poésie et la beauté sont au sublime de la vie.
L’Ennemi intérieur
L’homme, nos sociétés, l’humanité sont complexes, remplis de paradoxes avec la part positive, qui réconcilie avec notre humanité, nous-mêmes et ses dérives nocives, destructrices sans cesse croissantes.
En des temps passés troublés, occupés par des envahisseurs, ennemi déclaré, vainqueur du moment, règne sans partage sur l’Europe et les esprits, idéologie mortifère, avec ses crimes en tous genres…
Nous même atteint par les idées et le pouvoir régnant contagieux, avions notre ennemi intérieur plus insidieux encore, plus contagieux et nauséabond que notre occupant de l’époque, totalitaire à l’insigne de mort.
Cette ennemie intérieure part de nous-mêmes aussi pour la plupart dans le pays sauf exécré par ceux ayant rejoint la résistance ou ses maquis…
Aujourd’hui, l’ennemi intérieur est là sous diverses formes et pouvoirs politique ou économique ou mondial…
L’humanité n’assume pas sa part mortelle pour elle-même, et son monde.
Il y a un combat incessant des forces qui s’opposent part positive et négative de notre humanité, le gouffre en est plus vertigineux de ses ravages encore pour notre humanité.
L’ennemi intérieur est proche de nous et en nous-mêmes contaminé. La société est livrée à ses forces, économiques et politiques, travestie la société, combat incessant entre les êtres ou chacun cherche sa part de protection…
Une femme à aimer
La douceur de ses cheveux, son innocence, sa tranquillité, son regard aimant.
Un être à aimer tendrement, passionnément.
La femme être à l’écoute, sensible, généreuse de ses passions et envies.
Femme être d’amour.
Écologie ? Ou la vie ou l’homme pris de folie,
surpuissant, la voie sans retour... et nous ?
Terre berceau de l’humanité, des êtres vivants, du végétal et animal nos égaux en droit de vie…
L’homme super prédateur, à l’apogée des civilisations, hors de contrôle, sans aucune limite, aucune… Déraisonnable pour la vie…
Siècle à l’orée « d’une ère nouvelle », supra technologique et celle de la destruction totale finale programmée, sans retour, ni pour l’humanité et ni pour notre monde à l’anéantissement irréversible pour la diversité de la vie, ceci sans aucune mesure, aucune… Inédit dans l’histoire de notre planète… ???
La nature se vengera !!! La raison humaine a franchi la ligne rouge ou la raison humaine qui s’affole, l’avenir prochain est mortel… pour nous… et la vie…
L’homme à lui seul sera la seule espèce à avoir programmé l’anéantissement total, le réchauffement planétaire étant une infime conséquence irrémédiable dramatique des agissements de l’homme… et lui seul est le seul responsable funeste…
Anéantissement de toutes les formes de vie, total sur Terre, ceci dans un rythme effréné fou, aveuglé par notre égocentrisme, notre individualisme, notre pensée aux goûts rationaliste, déraisonnable pour ce qui doit être l’essentiel, la vie…
La nature, la vie devenue un bien, une marchandise possible négociable à prix fort ou le meurtre programmé, génocide total de la vie sur Terre, de notre Planète, de notre héritage de vie ?
L’humanité, la vie à crédit, aux visées financières à court terme ou le paradoxe, la vie à court terme, aux profits déraisonnables exponentiels, l’homme ou la déraison déraisonnable, mort à crédit, la fin d’un monde luxuriant de diversité, de beauté et de vie.
Laideur, puissance financière aveugle meurtrière, malédiction, mort sont les maux de notre humanité finissante à la raison décadente aux visées financières folles et de toutes puissances irrésistibles sans limites… Aucune…
Un sursaut de l’homme, de l’humanité, des consciences ??? Vite…
La part du Rêve ou le génie de l’artiste.
Le rêve, génie des artistes, des peintres, Balthus, Dufy et bien d’autres, Matisse…
Ont leurs parts de Rêves.
Les couleurs pastel de Balthus illustrent une nature morte ou un paysage, à la Caséine, médium de prédilection de l’artiste, aux couleurs douces évanescentes, qui irradie les couleurs dans un léger dégradé multiple complexe, qui vous accompagne doucement vers cette rêverie entre visions fantasmagoriques et réalité, comme un souffle léger d'une brise au bord de mer.
Le temps est suspendu là, immortalisé, intemporel, une fenêtre ouverte vers d’autres horizons, vers l’infini, le lointain, vaste inconnu plongé là, seul à cette douce rêverie, vous vous abandonné.
Tel l’esprit de l'œuvre mis en place, dans une subtile composition très élaborée de Balthus, un monde nouveau s’ouvre à vous…
Une perception sensible des jeux de couleurs est mise en place, le rêve est là, le génie de l’artiste fait son œuvre, tout est dit…
Poésie du rêve
Un kaléidoscope de couleurs, aux rêveries poétiques, vous enchante, les douceurs de l’âme, du poète vous transporte.
Lumière étoilée du soir, aux mille facettes, brille à l’horizon.
La nuit vous accompagne, vous habille dans sa douceur enveloppante.
La rêverie du poète, coloré et sensible est une étoile qui illumine au firmament.
L’étoile du poète dans les cieux irradie de tout feu.
Elle est là, bienveillante et chaleureuse, bon esprit, telle une fée des merveilles.
Tel est l’âme du poète, au bleu d'azur du ciel étoilé.
Où son esprit voyage au gré des aurores tout là-haut, aux vastes horizons dorés, ou seuls errent les esprits libres de beautés en quête, d’une innocence retrouvée, la poésie et le rêve.
Le monde rêvé, insoupçonné, des âmes pures, ou l’âme du poète.
Le jour d'après....
La vie à tout prix…
Un jour d’un autre monde, la vie cesse à l’horloge du temps....
La fin annoncée où tout s’est arrêté, d’un coup nette.
Le temps nouveau est arrivé, la mort rôde, tapie sournoisement on ne sait où, ennemie invisible…
Les plus fragiles ou ceux exposés sont frappés d’une mystérieuse agonie foudroyante, d’un mal terrible, une malédiction annoncée, notre civilisation est mortel, foudroyé tel le colosse de Rhodes aux pieds d’argile, brisée, nos sociétés sont frappées très durement…
Fin des civilisations aux flux tendus mondialistes effrénés, aveugles…, terrassés par la fatalité aux fléaux aux bruits mortellement sourds agonisants, hommes… Aux vanités futiles, c’est un avertissement de la destinée, aux antiques disparus…
Ou viendra un jour nouveau qui succédera du jour d’après… du ravage, de la désolation de nos vies, de la mort terrible…
Et après quoi ? Un jour de nos vies suspendu là, fétu de paille… fragile.
Au rêve étrange, revenu vivant d’un monde surnaturel, de l’au-delà, où les hommes ne sont plus que des ombres dans l’obscurité sinistre.
Là scrutant apparemment mort parmi les morts, de l’autre côté du monde des hommes, nul ne parle, ils errent là… Là la peur au ventre parmi les siens peut-être disparu des vivants, ici avec eux, hagard, ou les mots sont impuissants, un silence d’ailleurs, d’un autre monde, ou les mots ne veulent plus rien dire… vidés, anéanties.
Le silence mortel, rêve noir, ou l’humanité souffrante, affolée terrassé, le cri des hommes balayés, emporté par des vagues, les ténèbres lointaines, mon âme agonisante, sourde des hurlements stridents d’immenses populations gisante et agonisante, vous hante, vous tyrannises, tapi là, impuissant, dans la brume du sinistre noir cauchemar…
Revenu là d’entre les morts, le souffle coupé.
La préciosité du temps des marquises ou le temps des précieux, Madame de La Pommeraye, Monsieur le Marquis des Arcis et Mademoiselle…
Ce fabuleux 18e siècle pour son goût et son langage.
Ce temps des perruques, des poudres, et des bas de soie des gentilshommes ou Rousseau et aux révolutionnaires, esprits éclairés de ces temps des lumières ou nos penseurs de notre modernité.
L'esprit français des lumières, ou l'âme élevée au sublime de la beauté d'un temps perdu à notre modernité froide est sauvage.
Goût des Lettres, de la musique, de l'opéra, des idées novatrices humaines, tout fait de cette époque oubliée, un temps d'un passé, aux subtilités raffinées des esprits des aventuriers séducteurs rompus à tous les plaisirs tels que Casanova et du Don Giovanni du divin extravagant démesuré Mozart .
Le Marquis : « Le soleil est si tendre… Goûtez l’amitié… »
La Marquise à son amie : « L’opulence invite aux péchés… »
« L’amour est une offense à ceux qui ont en sont dépourvu… »
La Marquise à son amie : « Je ne veux point à cause de mon bonheur dissimuler à mon âme les malheurs qui tourmentent notre monde… »
La Marquise au Marquis : « N’avez-vous jamais observé que l’amour grandit quand l’objet de nos vœux nous échappe ? »
Le Marquis : « Je n’ai que faire de toutes ces âmes qui sont bien nées pour bien mourir… »
La Marquise à son amie : « Je ne vois en moi que le genre féminin et en lui le genre masculin… »
La Marquise à son amie : « Ouvrez, les yeux mon amie, sur le genre humain, seule la douleur peut aider l’esprit à retrouver ses erreurs… Oui, je veux éclairer son esprit…»
La Marquise au Marquis : « Il faut toujours que l’un aime trop que l’autre pas assez… La nature n’aime pas l’égalité, qu’elle se plaît à nous tracasser, il faut toujours que l’un aime plus, l’autre aime moins dans tous les sujets et toutes les matières… même celle du plaisir. »
Le Marquis : « Je ne sais ce que je dirai, je ne sais ce que je ferai, mais vous avez tout à craindre dans l’état de violence dans lequel je suis… »
Le Marquis : « Pourquoi moi ? Non, vous voir tromper ? La philosophie de tous ses libertins… Elle rendrait l’homme plus heureux…
Eh bien, oui, le plaisir, la quête du plaisir et la source de tous nos tourments, les libertins sont des enfants, qui cherchent la satisfaction immédiate, moins pour un instant de plaisir, combien de larmes et de Cries… »
La Marquise : « Éternellement inconstant, non ? Éternellement triste, éternellement égaré par le désir… »
Madame de Joncquières : « Si la recherche du sublime était une passion, qu'il fallait combattre ? »
Le Marquis
: « Tout ce qui est sublime se rapproche de notre créateur. Le sublime n’est pas une passion, c’est une émotion, une émotion qui traverse notre âme, et qui dans l’espace d’un instant, donne un
vertige, nous rapproche de l’indicible
vérité… »
Madame de Joncquières : « Vous entendez toutes les subtilités de l’amour divin comme si vous n’aviez que les écritures pour toutes nourritures ? »
Le Marquis à Mademoiselle : « Mademoiselle, comprenez que les âmes qui s’intéressent au sublime sont les plus belles… »
Le Marquis à la Marquise : « Il faut que j’aie cette fille-là ou que j’en périsse… »
La Marquise : « Je vous conseille de chasser cette idée… »
Le Marquis : « Jamais un visage ne m’a inspiré tant de bonté… »
Le Marquis à la Marquise : « Madame Pardon, je vous en supplie ? »
La Marquise : « Faut-il parce que cette fille est belle et veut rester vertueuse que vous en deveniez le persécuteur ? Par où, ai-je mérité, moi d’être votre complice ? Allons Marquis, jetez-vous à mes pieds et demandez-moi pardon ! Et faite sermon de laisser mes tristes amies au repos ! »
Le Marquis : »Pardon ! Mille pardons, aidez-moi, je vous en supplie. L’Amour est un fléau, change votre nature, il faut que j’aie cette fille, Madame, il faut que je l’aie, voyez ce que je suis devenu ? Par pitié, aidez votre ami ! »
La Marquise : « Je vous l’ai déjà dit, il n’y a rien à faire ! Oubliez-la ! »
Le Marquis à Mademoiselle : « Faites ! Que Dieu nous fasse revoir très vite… »
L’amie de la Marquise à la Marquise: « Marquise vous l’avez rendu cet homme fou ! Vous pouvez maintenant, vous féliciter de votre vengeance ! «
La Marquise : « Me féliciter maintenant si près de mon but ? »
L’amie de la Marquise à la Marquise : « Que voulez-vous de plus ? Méfiez-vous ! Savourez cette victoire sur le Marquis, croyez-moi ! Combien de rois ont péri de trop d’assurance ! »
La Marquise : « Madame, je suis déjà morte que craindre davantage ? »
Le Marquis : « Je suis déterminé, la plus haute sottise et qu’un homme de mon âge et de mon état et de ma condition, puisse faire… Madame, j’épouse ! »
La Marquise : « Considérez que les attraits de cette jeune femme se faneront… »
Le Marquis à la Marquise : « Voudriez arracher de cette malheureuse passion de mon cœur, mais pour ça, il faudra m’arracher le cœur. »
Madame de Joncquières à Mademoiselle sa fille : « Tout mariage est un arrangement… Il a des arrangements qui avec le temps dont naître des sentiments… »
Mademoiselle au Marquis : « Mon destin n’en serait plus douloureux. S’il est cruel de tromper un homme innocent, alors plus de tromper un homme que l’on aime… Peut-on aimer quelqu’un et de lui mentir ? »
La Marquise : « Il semblerait donc que la pureté soit contagieuse… »
La Marquise : « Vous ne voyez rien au-delà du voile qui nous sépare de la douleur… »
La Marquise : « Si toutes les femmes agissaient, l’honneur d’être femme serait grandi… »
Des courtisans au Marquis : « Retrouvez l’éclat de votre légèreté ! »
Mademoiselle au Marquis : »Non Monsieur, je ne peux… »
Mademoiselle : « Je ne serais vraiment libre que lorsque que vous pourrez juger de ma conduite… que lorsque que vous pourrez lire au fond de mon cœur et voir combien, je déteste le mensonge… Je serais libre, le jour où vous verrez combien mes fautes passées sont loin de moi… »
Le Marquis à Mademoiselle : « Madame, je vous crois sincère… «
Mademoiselle : « Votre bonheur n’est point perdu, vous pouvez m’oublier ! »
Le Marquis à Mademoiselle : « Madame, je vous ai pardonné, je vous l’ai dit, je crois que vous n’en croyez rien, Madame, Madame, je vous en supplie, Madame La Marquise, allons, Madame relevez-vous, Madame des Arcis »
La Marquise à son amie : « Mon cœur est en paix… »
Mon
Amour Kennedy, force, violence et fureur…
Le destin des Kennedy, Mythe, destin brisé de l’Amérique
ou le don des Kennedy…
L’Amérique, pays de la démocratie moderne, Lincoln, Roosevelt, Kennedy, Trump…
La désinvolture, la perversion familiale des Kennedy, le revanchard Nixon…
Roosevelt le mal aimé, le New Deal… idée novatrice d’alors…
Joseph l’ambassadeur mort en 1969, la fin du Klan Kennedy, Ted battu par Carter… Fin de l’espoir politique de la famille, et le début des rivalités familiales des Kennedy, frères, cousins, David, héroïne, LSD, Rose Mary la sacrifié au conservatisme et conventions régnants de l’époque…
Boby espoir déçu de la famille, de la continuité de John… Jacquy veuve, Ethel veuve devant l’histoire du destin de l’Amérique à son rêve américain et de sa modernité du temps d’alors…
L’histoire de l’Amérique s’écrit dans le sang… Violence et fureur… La chair des Kennedy… Les Kennedy ne peuvent être heureux, ou l’heureux désespoir des Kennedy…
Franck Sinatra, Las Vegas, ennemie des Kennedy… Las Vegas, la Gloire des Casinos et de l’argent du crime… ou Trump l’héritier milliardaire aux Casinos… L’Anti-Roosevelt du New Deal…
Mon Amour Kennedy, de l’Amérique du programme lunaire, un pas pour l’humanité, du progrès social et de ses idées nouvelles d’alors ; de l’anticonformisme face au relent d’une société très conservatrice à l’excès, inégalitaire… des hommes, du social, des droits… Ou Boby le réformateur déchu, en avance sur son temps, l’homme à abattre… assassiné… Son frère John le premier… ou le don des Kennedy, allez de l’avant, ne jamais reculer face à la difficulté, face à la malédiction de l’Amérique, des Kennedy…
La Politesse du Chat
L’homme-chat, le chat botté, mi-homme, mi - animal, le poète est un chat doué d’un langage imagé au goût raffiné… Le superflue, l’inimaginable, un léger nuage à la rose poésie flotte dans l’air, vaporeux, aux flocons virevoltants ouateux, saupoudrent une poésie rafraîchissante, soulage la lourdeur ambiante, des êtres aux esprits vides…
La Politesse est un goût délicat aux ombrages… Le chat à ses manières instinctives douées de ses congénères à vous rendre la politesse, ses moustaches de maître chat, snobisme d’être, il écoute, extrapole, miaule à qui sait entendre, réfléchie à ses ruses… Homme être malhabile aux sens émoussés, le chat volubile d’esprit surpasse sans peine notre médiocrité pataude…
La poésie du Chat, parole énigmatique aux humains, verbiages chaloupés qui va et vient tout en équilibre et souplesse, au corps élancé du félin, aux griffes acérées, rugit au imprudent, miaule de plaisir à ses heures de farnientes.
Chat, la vie du chat, aux vies démultipliées, nous fait concurrence, avance à pas masqués assourdis, tout en légèreté, pour vous souffler aux creux de l’oreille les mots, la poétique du chat, poésie ciselée, orfèvre en la matière, maître artisan, vous susurre une douce mélodie, aux accords subtils, harmonies parfaites, élèvent le sens poétique, à la note pastel bleuâtre teintée d’un léger rose clair… Chat harmonie, Chat doué, Chat poétique…
Christopher contre Enigma, le calculateur numérique –
Allan Turing le mal-aimé
Enigma le Code Nazi et la réussite d’un homme, d’une nouvelle machine à calculer ou le calcul gorgé de sang…
Allan Turing, le paradoxe de l’intelligence, la machine faite homme. L’accomplissement supérieur de l’intelligence du cryptage par la machine au service du pire, de l’horreur Nazi ou Enigma…
Seule l’intelligence de l’homme ou le destin d’un homme peut déjouer la barbarie ou accomplir des miracles, accomplir l’inimaginable, l’impossible. Seul contre tous…
L’esprit humain est une énigme à elle seule, qui est sans limites, au-delà du commun… de l’homme ordinaire.
L’esprit différent de la machine ou une pensée non humaine, synthétique, le jeu de l’imitation, un test, homme ou machine, aimez résoudre des problèmes, l’énigme la plus difficile au monde, la main de la mort…
« Je pense que parfois ce sont les personnes que l’on n’imagine capables de rien qui font des choses que personne n’a imaginées… »
Christopher le Calculateur, la création de Turing, au calcul gorgé de sang, a aidé à des victoires, personnes l’avait su, la liberté contre la tyrannie, à la fin du dénouement de la guerre, balayer les cendres, effacer tous, personnes ne doit savoir…
Matrix, Léo le combattant du mal
Le combat incessant face à face, en opposition directe au mal, contre le génie humain, l’humanité entière face à l’illusion de la matrice, le mal face au réel, à la vérité libératrice du mal.
L’opposition entre l’architecte, la matrice, et l’oracle l’espoir de l’humanité, de la paix des machines.
L’oracle espoir de l’humain qui a la foi en l’humain à l’humanité face aux machines, face au mal de l’humain.
Walt Disney, l’art en mouvement, le miracle de l’esprit
ou Disney, une nouvelle Amérique rêvée…
La création de l’esprit humain, de l’imaginaire ou l’art mis en mouvement.
La recherche de la perfection, l’esprit créatif, une obsession d’un homme d’un
« projet « au service, d’une vision artistique, des studios, d’une œuvre, réaliser les nouvelles idées…
Arthur Harold Babitsky dit « Art Babbitt », animateur important de Disney, qui créa de nombreux personnages comme le célèbre « Dingo »…
À Burbank, studios ressemblant à une multinationale, Babbit lança le mouvement de la grève par l’intermédiaire de la Screen Cartoonists Guild (syndicat américain des animateurs), les animateurs veulent leurs indépendances contre Walt… Alors l’Utopie Disney, chère à Walt se brise, sa passion, sa création c’est rebellé…
Utopie brisée, il fait front prêt à aller de l’avant.
Grand innovateur de la féérie de son monde imaginaire, mièvre et en détestation pour certain, il a l’idée géniale, tel le penseur de l’Amérique, du goût de l’américain moyen, il crée le premier parc d’attractions en Californie, Disneyland ou Disneyland Park dans la ville d'Anaheim, nommé le « royaume enchanté » réalisé et imaginé selon la volonté unique de Walt, inauguré le 17 juillet 1955.
Puis vint à l’aube de sa vie luttant contre la maladie, proposa son nouveau projet EPCOT ( Experimental Project Community of Tomorrow) voulu par Walt comme un prototype expérimental d'une communauté du futur. L’idée novatrice de sa vision fut expliquée par Walt en octobre 1966 par un film nommé EPCOT.
Situé à Orlando projet cher à Walt, il était l’aboutissement de son rêve, fidèle à
« l'esprit visionnaire de Walt Disney », de la société américaine selon sa vision, ses principes de l’idéal américain, d’une communauté, ses valeurs sociales, morales, esthétiques et aussi de la
famille, d’une société futuriste selon les critères de l’époque, totalement révolu aujourd’hui…
Walt décède avant peu l’inauguration du début du premier parc thématique, le Magic Kingdom, puis vint par la suite la réalisation de la ville, projet qui se veut éducatif à l’instar de la série EPCOT Educationnal Media Collection.
Initialement le projet se voulait en une zone internationale d’exposition qui se devait permanente placée au milieu de la ville pensée par Walt et du « royaume enchanté » l’un des premiers parcs à thème qui fut créé…
Un certain rêve, les idées d’innovations de Walt ou le rêve féérique d’une certaine Amérique…
Libre, Liberté
Homme de toutes conditions, la liberté n’a pas de prix.
Brisons nos chaînes, physique, mentale ou sociale.
Homme de toutes conditions brandissez le bras de la liberté, homme moderne nous avons d’autres tyrannies, qui nous emprisonnent, nous interdit.
Voyez ce qui nous empêche, nous brise, nous asservi.
La vie nous oblige, la révolte ou la révolution poétique et le seul combat qui prévaut face aux injonctions de la vie, des pouvoirs qui nous asservissent, nous aveuglent, monnaye notre existence, jusqu’à tous sacrifier, la vie, les êtres vivants, notre avenir à l’environnement gravement dégradé, moribonds, nous avons sacrifié notre âme, oubliant le divin, ou l’esprit du divin, l’essence de notre nature…
Tatischeff ou Jaques Tati -
L’Illusionniste, film d’animation, la place au dessin,
à l’imaginaire visuel, un magicien
Sylvain CHOMET réalise et présente au festival de Berlin en 2010 un monde foisonnant par l’imagerie du dessin, des couleurs...
Le sérieux au service, du pittoresque, du grotesque, de la poésie.
Un dessin riche et épuré dans son style, vers la vie au service de l’art, Londres, le chic anglais en plus…
Un mode à la Tati sans dialogue, juste l’émotion et une pointe d’originalité tout en intelligence et sensibilité… Avec une apparition d’un court passage de Jacques Tati en hommage, à l’homme et à son œuvre…
La légèreté de l’être, la vie Romantique
ou le choix de l’art…
Les esprits libres à la légèreté de l’être est un désir de romantisme, se détacher du quotidien de chacun, à la recherche d’une richesse intérieure, d’un état d’esprit où l’art s’invite à la beauté du monde.
Toute beauté est la recherche d'une esthétique, d’un esprit vers l’art, à la gloire d’un romantisme idéalisé…
La vie ou faire le choix de l’art, pour un ailleurs, un meilleur, la beauté et la grâce, embellir sa vie. L’art ou la vie idéale, la beauté est en vous…
Un parti pris pour le meilleur, l’esprit de la légèreté…
Ou la poésie pour la vie…
La « couleur du handicap » -
Violence brutal ou la Blessure
Violence sociétale – La « couleur du handicap », nouveau racisme gratuit ou le mépris, aux relents de l’antisémitisme d’un monde au nouvel ordre…
Le handicap qui vous colle jusqu’à la peau, un tatouage indélébile distinctif, une blessure à la plaie ouverte.
La différence ou atouts vis-à-vis des autres, le handicap, des capacités supplémentaires, une force, une force de renouvellement sans cesse développé, l’exception qui peut vous hisser vers des hauteurs intellectuellement, vitales, un souffle de vie supérieure, ou un être revitalisé intérieurement…
La marque du mépris, violence gratuite, affiché sans cesse renouvelé, comme un avertissement, asservissement, un nouvel esclavagisme moderne à la couleur du handicap, statut ; social, professionnel.
Nouvel étendard de notre époque soi-disant apaisé, civilisé, manque d’égalité manifeste, sous la contrainte, rappel d’un nouvel ordre...
Le mot handicap relatif à d’autres temps troublés, à l’effigie de la marque jaune, étoile de la souffrance faite homme, d’un temps de notre histoire douloureuse, celle de l’occupation, d’un nouvel ordre établi.
Faite attention que le handicap devienne un territoire ou les êtres ne soient pas stigmatisés, différencier, sous-classe, sous-payée, sous…, une humanité restreinte, une sous-classe d’homme et de femme ou la loi de l’ignominie règne sous bonne forme, contrôlée, maîtrisé, ou le régime de la honte.
Alors, quel pourrait être une chance nouvelle pour la société des hommes et des femmes, d’une société aux accents égalitaires, ou régnerai cette fois-ci une discrimination positive.
Une différence, un autre point de vue, un point fort, une capacité supplémentaire, une qualité positive, un 6e sens de la diversité, une réconciliation de l’humain, un nouvel humanisme…
Un nouveau pacte social, un nouvel élan pour un monde plus juste, meilleur en la faveur d’une diversité accomplie…
L'Arcadie vu par Poussin ou le mythe des philosophes Grecque vu par le maître du Classicisme...
L'Arcadie, mythe de l'antiquité repris par les peintres du 17e, l'Arcadie représente
« l'âge d'or »
ou l'état de nature originale de l'homme ou la représentation du début de la civilisation ou Adam et Eve....
L’Arcadie est le paradis perdu de l'homme ou l'idée d'un monde préservé, une nature originale faite pour l'homme... Le 17e siècle sous l'égide du courant de peinture du classicisme courant pilier pour la peinture européenne... représentée à l'époque par le peintre Poussin qui pour retrouver le pays originel parti des intrigues de la cour à Paris pour Rome source d'inspiration et de contemplation importante pour Poussin. Rome où il trouvera des appuis de mécènes importants à l'époque et trouva une riche clientèle de connaisseur...
Lui qui commença sur le tard la peinture et délaissé par la cour à Paris qui tenta pour reprendre le pouvoir d'attraction culturel Français influé par le Roi, demanda que Poussin revienne en ses terres à Paris et fit mine de revenir puis sous prétexte de rejoindre sa femme resta à Rome ou il avait une grande influence et reconnaissance et devint le maître du Classicisme français à Rome...
Sa peinture était décriée par les critiques de l'époque, peinture figée, goût de l'antiquité ou de la Romanité antique, mais au contraire sa peinture et une peinture intellectualisées et tend vers la philosophie, au goût raffiné, à l'esprit de noblesse, d'une grande sensibilité et un esprit philosophique marqué... C'est une peinture pensée, philosophique...
Je cultive
mon âme romanesque
L’art, la poésie dans toutes choses permet d’élever son âme romanesque.
Cultiver son romanesque vers la beauté de l’âme, une poésie totale, l’âme humaine à la recherche de l’imperceptible beauté, d’une poésie vers l’amour du romanesque ou l’art du divin.
Ré-enchanté le monde ou l’écologie –
« Recentrer l’humanité « pour une recréation d’une « Nature Sauvage »
50 %, la moitié de la surface terrestre pour la préservation de la biodiversité –
« Ré-ensauvagent de la Planète »
Le
Projet de consacrer la moitié de la surface terrestre à la préservation de la biodiversité ou
« L’Ecologie Profonde »
;
La 6e extinction massive d’espèces est aujourd’hui en marche… » ;
« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs, Cruelle Vérité ! » - Jacques CHIRAC ;
Edward Osborne Wilson – Star mondiale des sciences naturelles, défenseur de l’idée que les humains sont en lien avec les autres espèces (Biophilie) – Auteur de : « La moitié de la terre : notre planète se bat pour vivre » - Edward Osborne Wilson.
Ré-inventer la nature, recréer la nature sauvage, de nos espaces domestiqués contrôlés, ré-ensauvager nos espaces naturels, voilà une idée nouvelle, d’une nouvelle voie de l’écologie nouvelle, des expériences nouvelles aux Pays-Bas… En Angleterre (les Landes mortifères ou les paysages ont été transformé par l’homme amoindri en diversité biologique, appauvri biologiquement), recrée un écosystème avec au final, réintroduire les lois de la nature, les prédateurs écologiques, tels que le Loup et les Rapaces, les nettoyeurs biologique et régulateur écologiques, d’une nature recyclée, rééquilibrer les lois du cycle naturel, de la vie écologique, une nature sauvage, naturelle avec la contradiction que l’homme peut-être un facteur d’une réintroduction de la vie sauvage.
Défi
éthique et pas seulement ; sauvegarder la biodiversité planétaire,
« l’Ecologie Profonde » a pour
but d’initiative pour promouvoir la protection et la restauration des habitats à l’échelle continentale ainsi que des corridors écologiques pour garantir la faune et la flore. L’idée d’une
demie-terre à ré ensauvager, la solution des 50 % (Reed NOSS, Allen COOPERRIDER, Auteurs de « Saving Nature’s legacy » – 1994)
préserver les écosystèmes entre 30 % et 70 % de l’habitat terrestre est une nécessité, la solution des 50 % … La moitié de la surface terrestre pour la préservation de la biodiversité.
Les partisans du mouvement de l'écologie profonde ne sont pas antihumains, comme on le prétend parfois. Les partisans du mouvement pour l'écologie profonde déplorent les déclarations et les actions antihumaines.
Pour une solution éthique, le projet pour l’humanité de se recentrer... Le projet de ré-ensauvagent est un parti-pris pour une dimension morale capitale pour l’humanité de développer une éthique soucieuse de la vie sur Terre, en recentrant l’humanité vers une idée des lois de la nature qui place les autres espèces que le parti-pris de « l’homo sapiens » qui se soucis que de ses désirs et ses besoins pour sa seule espèce, ses désirs au-dessus du bien-être de toutes les autres espèces au détriment d’une biodiversité préservée, d’un équilibre des lois de la nature, de la vie , naturel… de la création originel… Est-il possible de développer des compréhensions communes qui nous permettent de travailler avec civilité vers l'harmonie avec d'autres créatures et êtres ?
Abba Eban, ministre des Affaires étrangères d’Israël pendant la guerre de 68 avec l’Égypte, au milieu de toute cette folie, il a dit : « Quand tout le reste échoue, les hommes se tournent vers la raison. »
Quand
tout va continuer à échouer, quand nous serons recouverts par les eaux, que le nombre d’espèces chute au point de ne plus être ignoré, quand nous voyons à quel point nous déstabilisons le monde,
alors
« les hommes se tourneront vers la raison. »
« L’homme a une mission pour arrêter de détruire et veiller à rétablir la biodiversité sur terre, sinon le futur de la vie est compromis, non seulement pour les espèces, mais aussi pour les humains qui sont liés à la biodiversité » - Edward Osborne Wilson.
L’homme ou la raison pour notre mère Nature, notre destin pour une humanité réconcilié avec soi-même et son environnement et la diversité de la vie, d’une vie préservée, d’une loi de la nature maîtrisée, vers l’esprit du naturel, d’une vraie philosophie au bénéfice de tous les êtres vivants, par la reconnaissance de la valeur inhérente de tous les êtres, y compris les humains, pour notre planète. Aucune philosophie et aucune technologie ne sont applicables à l'ensemble de la planète. « Plus il y a de diversité, mieux c'est ».
La difficulté, les impossibilités du cœur,
le malheur nourrissent l’œuvre de l’artiste
L’Artiste se révèle dans ses malheurs et se dépasse dans le bonheur, la légèreté de l’être, la vie sensible, le cœur est l’œuvre de toute chose. La poésie du sentiment guide l’artiste, nourrit ses créations, crée son panthéon à la gloire de l’amour.
Les amours déçus son créatrice, inspire l’artiste, le poète, rêve de l’inimaginable réalité, celle du cœur, la vie et l’amour.
À Wilmington, HOPE, « le rêve américain », pour l’âme de l’Amérique ou les ailes des Anges…
À Wilmington, un espoir est né pour tous les Américains, garder tout le monde sur le chemin, allez vers la guérison, des Américains, de l’Amérique…
Une promesse de Joe, unir, réparé les relations sociales, la COVID, un hommage à la démocratie, l’Amérique est le phare aux yeux du monde.
Réconciliation pour tous les Américains, réconcilier le rêve américain, le pays de tous les possibles… Pas de rouge et bleu, mais l’Amérique, son peuple…
L’Amérique, un pays de l’égalité des chances, de l’immigration, croire en Dieu, pour une Amérique meilleure…
Les ailes des anges protecteurs pour l’Amérique, apaiser les esprits, la colère est là.
Le sourire de Joe, pour un espoir, pour le peuple, l’environnement, unir les Américains, montrer ses défaites… En Caroline du Sud lors des primaires démocrates, grâce aux Afro-Américains, mettre fin au racisme systématique.
Faire la transition pour l’investiture, mette en place un corps scientifique médical contre la pandémie. Le courage, la résilience, la vie, notre planète, l’Amérique à envoyer un message clair, la science, la liberté…
La nation va retrouver son âme. Garder une fois profonde en l’Amérique, les femmes de couleur, on tout sacrifier pour la justice, les femmes sont la colonne vertébrale de la démocratie américaine, une nouvelle génération de femmes, pour elle, leurs forces, leurs visions et Joe à choisie, une femme pour vice-présidente, l’Amérique est un pays où tout est possible. Les femmes peuvent rêver…
Le combat pour sauver les vies combattre la COVID, la crise, sauver l’âme de notre nation. Un président pour tous les Américains.
Le peuple à parler, une victoire, pour le peuple américain, un climat d’espoir pour des lendemains meilleur, pas la division, mais unir, pas de rouge et bleu, gagner la confiance, l’Amérique est son peuple, réparer l’âme de l’Amérique, que l’Amérique soit respectée, cette vision doit devenir réalité.
Ne dites pas que les choses ne sont pas possibles, l’Amérique est le fer de lance, pour la justice. Une coalition de tous les hommes, l’Amérique, les Américains se sont dressé, se donner une chance, se recentrer, s’écouter, la bible, nous dit qu’il y a une saison pour tout, pour construire, une saison pour les récoltes, et une saison pour la guérison, c’est le temps de guérir les États-Unis…
Retrouver la prospérité, protéger notre planète pour le climat, une chance équitable pour les Américains.
La compassion, l’empathie, faire le choix de la coopération, coopérer, le choix des Américains.
L’héritage de l’immigration, ouvrir le pays pour tous…, croire en un pays, une nouvelle frontière, yes we can. Lutter contre les désespoirs, construire une nation pour la prospérité, la bataille pour l’âme de l’Amérique, pour l’âme de notre nation, le combat des aspirations sombre et noble, notre bataille pour que les bons côtés gagnent…
Une Amérique qui n’abandonne jamais, tous est possible lorsque l’Amérique est unie.
Rassembler l’Amérique la réconciliation, la guérison, une ode, un hommage à la démocratie, les États-Unis peuvent être une flamme qui guide le monde, le rêve américain. Le pays de tous les possibles… Le pays de l’égalité des chances.
La croyance pour réconcilier les Américains, réparer l’Amérique, les fractures, les plaies béantes, apaiser les esprits, l’amertume, le refus de la défaite, nos adversaires ne sont pas nos ennemis, ce sont des Américains…
Lincoln, Kennedy, Obama, l’héritage de l’Amérique, les USA ont mis fin à un pouvoir nationaliste et laid. Kamala HARRIS, les passions des Américains, Kamala vers l’espoir d’une future première femme Présidente des États-Unis…
Mon goût des choses…
Mon univers « La féminité ou la femme ou le sentiment, les poèmes amoureux... »
Artiste amoureux des choses et des mots, du sentiment des choses, de l'insaisissable, du sentiment amoureux, des êtres.
Dessinateur et peintre, peut-être le dernier romantique.
Un romantique qui aime le langage fleuri, pour atteindre la poésie du sentiment, la plus belle chose est la poésie, les fleurs en témoignent, par leurs beautés et leurs fragrances, pour séduire, une beauté poétique subtile, au langage de fleurs, celle de l'amour, de la vie, une perfection toute féminine, la grâce et la beauté...
Le cœur d’une femme
Femme être au cœur sensible, à l’intelligence du sentiment développé et à l’affection émotionnelle, être de passions, dévorante de vie ou les flammes d’un cœur ardent, aux amours passionnelles.
L’amour d’une femme un trésor inestimable à conquérir, à choyer avec soin, aux prévenances et attentions de tous les instants, délicates, d’une fragilité assumée toute féminine.
Cœur de femme, amour dévorant fusionnel, aux émois du cœur débordant à l’instar des roses anglaises, fleurs généreuses aux passions exaltant les sens amoureux, la richesse des effluves des sentiments des amants fous.
Amour toujours, Amour des cœurs enivré, femme passion, femme aux sensualités des êtres et aux atermoiements du cœur… À la déraison des passions, de l’amour, une femme et un homme.
Passions de cœur, l’autre, la diversité
des cultures, l’ultra-chic, l’amour suprême…
L’amour de l’autre, le partage d’une culture différente, une richesse supplémentaire, en compréhension de l’autre avec sa diversité, ses croyances, son point de vue sur les choses, sa sensibilité, sa langue, finesse de l’esprit, ses subtilités d’une grande sensibilité, une grande modernité des êtres, une civilisation raffinée, délicate, à la pointe de la distinction de l’élégance, du goût, de la sophistication, l’ultra-chic, distingué, d’une noblesse aristocratique.
L’amour de l’être chéri, la candeur de l’être aimé, son attirance, sa sensibilité partagée, son goût des choses et des êtres, sa richesse intérieure, aussi ses doutes, la vie… Un point de vue à partager avec goût et choix esthétique assumé, l’élégance de l’être, l’amour, sentiment noble, à l’épreuve de la vie et de ses rigueurs, l’amour gagnant, toujours gagnant, l’amour l’héritage suprême des êtres en partage…
L’idéale, belle chose, une idée ancienne ; travestie, incomprise, honnie par certains, encouragé par d’autres, l’amour idéal n’existe pas, l’amour est un révélateur de soi et des autres, idée noble en perpétuelle confrontation à chaque instant, la noblesse vient du cœur, seule cette idée et uniquement celle-ci importent, à une valeur intrinsèque, le reste n’est que duplicité, égarement de soi et de l’esprit, n’est que trahison de soi et d’autrui.
Le cœur ou la raison, deux valeurs qui peuvent s’égarer, s’évanouir, s’opposer…
L’amour n’a qu’une seule raison, celle de l’être aimé, chérie… Une force, un chemin à parcourir, celui du cœur, l’horizon éclairé, et joyeux, l’avenir souriant vous fait face, évanouie le doute, les incertitudes, gagner le cœur, gagner l’amour. Cœur vaillant à qui sait prendre. Femme être d’accomplissement, maternel, aimant, à l’amour passionnel.
Au jardin du Roi,
amour Versaillais
Amour versaillais, la poésie de l’amour, l’art du sentiment amoureux, les amants déchus, tels les amours contrariés de Marie-Antoinette avec le comte de Fersen à Trianon, lieux de tous les goûts, de tous les plaisirs.
Versailles au jour de la magnificence d’une époque dorée, lieux de tous les possibles, des héros tragiques, le théâtre de la vie des gens de la noblesse, au précieux des goûts raffinés de la cour.
Nous nous sommes aimés au jardin du Roi, lieux de tous les romantismes, de tous les espoirs, la vie romantique commence là, lieux de tous les désirs, et surtout ceux du roi du grand siècle à l’effigie de sa démesure royale. Lieux des arts, de tous les arts et amours, de la poésie incarnée, joyaux, par la richesse de ses bosquets et jardins, à la nature domestiquée, lieux de tous les pouvoirs incarnés par les nombreuses sculptures, lieux de personnalisation du désir royale, de la monarchie, de l’absolutisme total, son écrin l’opéra Royale, représenté par Lully roi des arts lyriques et de la foi, à la musique sacrée au service unique d’une personne, Dieu ici-bas parmi les hommes métamorphosés, le sacré art majeur à l’instar du « miserere mei Deus », perfection stylistique crée pour un homme, sa Majesté le roi de France. L’obscurantisme du pouvoir, sa noirceur et son éclat royal déifié, éclairant l’univers, le Dieu du Soleil, rayonne en tous points, en tous lieux… Nul ne doit l’oublier.
Au jardin du Roi, les amours naissent, femme amoureuse au cœur pur et aux sentiments radieux, sublime d’amour, d’un amour inconditionnel, l’éclat de sa jeunesse au teint magnifié de fraîcheur, va à ravir, amour parfait. Femme amoureuse, être d’amour, douceur et tendresse des sentiments, éclaire un monde, le monde d’un amour unique, déchu par les lois de la vie, de ses intransigeances, de ses trahisons, du cours de la vie et de ses rigueurs, la poésie est là, salvatrice, réincarne les êtres, au cœur de ceux-ci, amour immortel, les cœurs purs sont réunis à jamais en un temps éternel.
Yeux d’Amour, Perle d’amour
Tes yeux de rêve, ou l’immensité profonde de l’océan touchent le cœur.
Tu es mon trésor, mon bijou, ma perle d’amour, ma perle d’orient, fait chanter les cœurs.
Tes yeux océans, m’envahit, me touche l’esprit et la passion du cœur, raisonne l’amour, la tendresse, la douceur, une sensibilité toute féminine très sensuelle, au parfum d’amour, mon cœur, mon amour.
La vie vous dit l’amour, le cœur à sa raison, la tendresse d’une femme est un trésor inestimable, son amour est un jardin florissant aux mille couleurs et senteurs envoûtantes qui ravit le cœur et l’esprit.
Femme création divine, l’accomplissement de la beauté et du sentiment du cœur, tout en sensibilité, passion, amour, larme, et rire… Amour-passion…
Femme douceur de l’âme et du cœur, univers de l’amour roi, toi, mon amour, je t’aime.
L’élégance poétique de l’amour,
l’amour Galland aux portes du romantisme
Le rêve amoureux de Fragonard « le peintre amoureux de la beauté » guidé par F. Boucher « Mon cher Frago, tu vas voir à Rome, des Michel-Ange, des Raphaëlle, je te le dis en confidence et bien bas… Si tu prends au sérieux ces gens-là, tu es un homme perdu… »
Le discourt amoureux, l’esprit mélancolique et rêveur, l’amour, mon cher Frago, élève attentionné de Chardin et surtout par la suite de F. Boucher, Fragonard ou le maître de l’élégance de la poésie de l’amour à la française…
Génie français annoncé à l’Académie Royal, il renonce pour son goût plus prononcé personnel et de sa clientèle aux dépens d’une carrière à l’académie, reconnu par le Roi.
Auteur des célèbres tableaux « Psyché montrant à ses soeurs les présents de l'amour » ; « L’escarpolette » ; « L’instant désiré » ; « L’Enjeu perdu ou Le Baiser gagné » ; « Le verrou » ; « La célébration dans le parc de Saint-Cloud ».
L’amour Galland ou l’amour sincère, sujet fort du début de sa carrière à l’instar de F. Boucher héritier du 17e siècle, amour Galland ludique, tout en discrétion, sentiment amoureux sensuel, au Bergé utopiste enrubanné dans une Arcadie rêvée au mouton shampouiné, amour fidèle, sincère, à la sophistication d’une civilisation au goût de précieux forts au 18e siècle ou les sexes sont à égalités, révolution des idées à cette époque.
Vivant Denon par « Point de lendemain », créateur du célèbre muséum « Le Louvre », à la philosophie, vivre dans l’instant, sans se soucier du lendemain, voilà le nouvel idéal de ce 18 siècles dérangeants, aux mœurs plus libérées.
« L’Heureux Moment, ou La Résistance inutile » ; « La Culbute » ; « Les pétards » ; « Les jets d’eau » ; « Ma chemise brûle » ; « La résistance inutile» ; « Deux femmes sur un lit jouant avec deux chiens, ou le lever», les dessins et peintures sont l’apogée de son esprit libertin, de l’amour heureux…
Fait place à la fin de sa vie un changement de cap dans l’esprit de l’époque, de son évolution ; « l’amour romantique », qui est dans le rêve, le ressenti, à la jonction de l’image et son évanouissement, dans la nuit, une fulgurance, une couleur volatile, l’estompe a contrario de couleur vive, l’esprit ludique des débuts de l’amour galant…
Il séjourne à Grâce, et fait installer le Salon de la du Barry à sa manière, il peint aussi dans la Villa Maubert. Alexandre Maubert, riche négociant en parfumerie, en fut un temps propriétaire. Il reçut la visite de son cousin, le peintre grassois Jean-Honoré Fragonard, pendant la tourmente révolutionnaire. Le fils du peintre, Alexandre-Évariste Fragonard, décora la cage d'escalier de peintures en camaïeu de gris. Des allégories de la jeune république y voisinent avec des personnages antiques et des symboles maçonniques. Ce décor remarquable se prolonge sous forme de trompe-l’œil architectural jusqu’au rez-de-jardin. Là il effectue ses dernières peintures de son œuvre.
Lui en tant que chantre des plaisirs de l’ancien régime, il ne fut pas inquiété par les révolutionnaires… La protection de Fragonard par son ami David, ami de Robespierre et grand timonier des arts, où il put garder son appartement dans le Louvre et d’être aussi l’un de ses conservateurs, dans le musée que la révolution institue dans les palais des rois déchus…
Inventeur de l’esquisse, il peint comme la nouvelle peinture annoncée des impressionnistes, il représente l’esprit français le peintre amoureux de l’amour, inspira le grand maître Renoir, fut vite débusquer le génie sous la légèreté des sourires…
« Parce que Fragonard riait, on eut vite fait de dire qu’il était un petit peintre » - Auguste RENOIR
L’autre,
l’autre soi…
L’autre soi, parti de vous et d’un autre envisagé, conscience projetée d’un autre soi, d’un soi réévalué, augmenté, amélioré, transfiguré, réinventé, reconstruit, cultivé, découvert, travaillé, accompli, révolutionné…
La révolution de soi, s’imaginer autrement se compléter, se multiplier en possible envisageable, multiplier son être, sa façon d’être, ses savoirs, ses aptitudes, ses apprentissages, ses évolutions sans cesse renouvelées…
Suivre le chemin de soi, aller au bout de ses possibles, franchir de nouvelles frontières, un autre possible, envisageable, au-delà de soi…
Augmenter ses champs de possible, évolué dans un champ sans limites, explorer son monde intérieur, dans toutes ses diversités, et champs d’améliorations. Aller vers l’autre soi… un soi augmenté à ses ambitions, rêves, son soi évalué au pluriel, décuplé…
Hors champ du visible, rendre réel son potentiel, sa perfection envisagée, calculé, prémédité, souhaité, vérifié par l’expérience, par l’évaluation, la réussite mise en œuvre de façon incessante…
Moi ou Céline, la part de l’ombre,
le bien et le mal…
Un grand écrivain controversé en France, il s'agit de Ferdinand Céline Destouche ou CELINE...
J'ai une passion pour le personnage qui peut être obscure de premier abord, mais si on gratte le vernis, il s'agit d'un homme révolté par les hommes, par le monde, par l'absurdité du monde et de ses rendez-vous de l'histoire...
Lui il est tombé dans le gouffre d'un moment important de l'histoire de l'Europe et de la France en filigrane, celle de la peur, de l'injustice des hommes, de leur cruauté, de leurs bêtises, de leur aveuglement dans la justice irréprochable aux yeux d'une bien-pensante, de la marche de l'histoire, alors que lui il a vécu, des histoires des caractères des hommes et de leur double facette, le bien et le mal confondu, lui il aime les animaux ou à de l'empathie pour eux, pour les personnes souffrantes, ou laissées de côté de la marche des hommes, et de la société, de leur injustice qu'il a lui aussi subie avec la plus grande rigueur, et violence, la violence des guerres, des sociétés déchues, en contrepartie il dresse des portraits truculents des hommes et des femmes qu'il a croisées dans son parcours de vie, il a une férocité à décrire notre monde, celui des hommes...
Malgré tout, avec amusement et humour, là où le drame se dessine cruellement, ce sont les objets de tous ces romans, qui furent ceux de sa vie...
Devenir comme Céline, avoir son œil perçant, à la fût des cruautés du monde et de ses bonheurs, voilà mon ambition, celle de l'écrivain pensant et philosophant... sur la vie...
Mon ambition démesurée, celle d'un homme qui, stylo à la main, dénonce et va l'inspiration de la beauté de la vie et de ses ressenties....
Belle ambition dont il s'agit là, non ??
« Un Dimanche à la Campagne »
ou un dimanche de la fin d’été 1912 –
L’arrivée d’une nouvelle Ère du 21e siècle
La représentation fidèle de la scène d’un dimanche à la campagne de cette époque est un tableau impressionniste d’Auguste RENOIR sous le titre « Au jardin – sous la tonnelle au moulin de la galette » - 1876.
Là dans une nature généreuse sous l’ombre des branchages en un lieu aménagé, en un bel après-midi, aux rayons d’été joyeux, égaye ce rassemblement familial, des journées d’été. Rendez-vous complice des gens de bonne famille, d’une vie sans anicroche, d’une vie bourgeoise, rythmé par de paisibles rituels de cette vie rangée, histoire adaptée d’un roman de Pierre Bost « Monsieur Ladmiral va bientôt mourir».
Film français de Bertrand TAVERNIER au costume d’époque choisi, d’une vie du 19e siècle aux codes bourgeois de l’époque, d’une vie tranquille, sans remous, tout ce passe ici, comme si rien ne devait changer, immuable.
Monsieur Ladmiral est un peintre quelconque au goût sûr de son époque, sans réel génie vit seul avec son domestique. Son fils Gonzague est son digne représentant est là avec toute sa famille accompagné de son épouse Marie-thérése et de ses trois enfants, Emile, Lucien, Mireille. Gonzague fils à la vie bien rangée, épris d’ordre et de bienséance.
Ce dimanche est présente Iréne la fille de Ladmiral, jeune femme à la toilette irréprochable, est la femme libérée de cette époque, énergique et anticonformiste remet en cause ou bouscule ce doux et paisible rituel de ce moment consacré de la famille bourgeoise. Et va jusqu’avec son père échanger sur les choix de sa vie, celle artistique et interroge sur son chemin d’artiste, ses choix, son goût remis en question par Iréne.
Tout est dit là dans ce moment d’une vie française d’une bourgeoise du 19e, tout est en place, à l’aiguille du temps, qui n’est plus celui du notre ère ou de rares privilégiés ou classes de notre époque moderne qui ne savoure plus le temps qui passe paisiblement sous le joug et les menaces de temps incessants, aux flots d’informations et de nouvelles catastrophiques d’un temps qui se meure et va la déchéance future annoncée.
Terrible époque que la nôtre, aux portes de bouleversement technologique impensable, il y a peu, nouvelles énergies, révolutions de l’information, de l’intelligence artificielle, et là à notre porte la révolution des techniques de la physique quantique qui va tout changer, notre monde, en profondeur les révolutions technologiques frappes à notre porte pour en saisir telles qu’une vieille photo toutes les décennies passées et radicalement imposer un autre monde qui nous est inconnu, dont on dessine et imagine difficilement les contours…
L’âme poétique
Son être intérieur, sensibilité développé, goût des choses et des êtres à la poésie exacerbée.
La culture patrimoine d’une société, des diverses époques qui enrichissent la vie poétique, au goût de l’âme des êtres, résonne cette musique aux accents libre et indépendant des êtres de fuites, ou les esprits novateurs aiguisent leurs sens, à tous risques, aux bénéfices d’une vie poétique, d’une vraie vie, réintellectualisée, aux saveurs subtiles, pleines de sens…
De merveilleux…
Mon cœur des Îles,
La couleur exotique de la passion,
fruit d’amour, Yasmina
Mon ange, tout esprit à l’âme pur, cœur sensible, être à l’âme élevée. Tout ton être est là, je vois ton âme douce et fragile, ton visage immaculé de ton être respire.
Mon cœur des Îles, perroquets, palmiers, ananas, papayes, goyaves, figues de barbarie, ton cœur pirate, ma femme au couleur généreuse du cœur, ta couleur douce ambrée aux îles corsaires, tu as arraisonné, accosté mon cœur, touché en plein mille, j’ai gagné ta bannière.
Ta douceur de ta voix enchanteresse, tu es tout esprit, intelligence d’être, ton intellect élevée en action, franchise des sentiments, aux valeurs fortes, ton esprit éclairant.
Ta grande diversité de ton être, tes racines variées raisonnent, ta personnalité unique, ta richesse, ton altérité, ta distinction, ta force d’esprit et d’âme, embarque au cœur courageux, esprit fin au sourire joyeux du cœur, indépendance d’esprit, ouvrent les îles de ton cœur à qui sait faire ta conquête, te mériter.
Notre temps, aujourd’hui ou la vie…
Notre temps contraste de façon immédiate face à nos vies de citadins de grandes métropoles ou pour une partie importante des gens n'ont pas le confort d'esprit de quelques-uns... surtout en ces temps troublés... ou une porte éclairée s’ouvre à nous, avec espoir et réconfort espérés...
La vie est là, forte, un état sans cesse en renouvellement, imperturbable, toujours là pour gagner… Hubert REEVES célèbre astrophysicien énonce à une de ses conférences sur « l’origine de la vie » ne peut définir ce qui est l’étincelle de la vie, elle est inexpliquée et inexplicable actuellement…
A contrario, le berceau de la vie sont les étoiles, dans les Hamas des galaxies qui en s’entrechoquant créer de la matière bleue, molécule d’oxygène, source de la vie de toutes choses…
Dans un halo au bleu poétique des jeux de couleurs, particule de vie, mystère des dieux, secret de l’être tout puissant, qui ensemence, à la poésie de l’univers, la vie, toute-puissance d’un dieu créateur qui s’impose là, poussière de vie divine…
L’être est là, la vie, les hommes, les animaux, les plantes sans cesse en concurrence, une course à la vie…
L’homme être fragile, dans un environnement fragile ou la perte de la vie est incessante par l’activité humaine, qui dévore à la vie, nouvel ogre… ou un virus le fait basculer, reculer, trembler, effrayer de sa propre fragilité.
L’ordre, La loi du Silence, le didact…
La soumission totale
Le peuple à genoux, la soumission totale, le didact d’état, l’assouvissement par la loi de la peur…
La loi d’exception, nouveau régime d’état…
Loi d’exception, nul mot, nul ne contredit, imposer par la force démesurée d’état, le silence sourd de la soumission totale, pieds et mains liées, bouche bâillonnée, baïonnettes aux fusils, nous rentrons dans des temps oubliés depuis longtemps au mauvais souvenir fut une époque lointaine, d’un nouvel ordre en Europe, ou la force brutale anéantissait les peuples assouvis, par l’objet de la peur, les hommes n’étaient plus, plus rien…
L’Anéantissement total des peuples assujettis, aux lois d’exceptions d’alors à cette période troublée, nauséabonde, ou le meurtre violent était la loi, ou une certaine catégorie de gens devait subir l’ignominie, anéantissement total, la déportation aux lois de l’inhumain, du crime contre l’humanité, au nom d’une loi supérieure, du nouvel ordre européen qui ne dit pas son nom !!! …
Attention au relent de l’histoire qui bégaie tragiquement ! Ceci ne vous résonne pas aux oreilles ? Aux événements actuels nauséabonds…
L’ordre et la loi, celle du tragique… Pauvre de nous, pauvres hommes et femmes…
« La loi » des hommes « belles idées », à celle de la trahison des peuples, au régime d’état au relent totalitaire, nul mot, ordre au silence maintenant et à l’obéissance aveugle enfantine… Force au régime…
Les passions et l’âme…
Les êtres de sang et de chair se nourrissent de passions, les passions sont faites hommes, la vie nourrit les êtres de la flamme de vie, nourri le feu des êtres.
La musique est passion, les arts sont des supports remplis de nos bonheurs, de nos joies, de la haine, de nos colères, la vie est un mélange de sentiments, notre être est sensible, et complexe, exacerbé de nos passions, le vie est rempli du sel d’une douce violence, de nos états d’âme…
L’âme est pure, ne transige pas, notre inconscient en est chargé, notre volonté est gouvernée en profondeur par notre inconscient, qui gouverne nos choix et désir, nous sommes prisonniers de nous-mêmes, de notre être intérieur de surcroît, de ses intransigeances…
Gouverne tout notre être, nos amours, nous sommes que le reflet de ce monde inconnu, qu’est notre inconscient, ne se libère difficilement totalement empêché par notre conscience en éveil…
L’âme est un univers complexe de notre être, univers insondable, ou seules quelques personnes d’exception sont à l’écoute de leur âme, au tourment de leur esprit en éveille aux capacités à nul autre pareil, qui ont sondé leur tréfonds de leur âme et de leur inconscient, non sans douleurs ou violences, résister au tréfonds d’une peur ancestrale, incontrôlable, d’une intensité extrême.
J’ai volé ton cœur…
J’ai volé ton cœur…
Oui, mon amour, cœur sensible, tu es amour.
Mon amour, j’ai volé ton cœur, âme sensible au cœur généreux rempli d’amour.
Ma bien aimé, j’ai volé ton cœur, symphonie lyrique, tu irradies, ton cœur sensible est beauté, toute en féminité.
Cœur sensible, belle âme, au cœur pur, tu remplis ma vie.
Ta joie, tes émotions, sont un bel amour de femme.
Ton être rayonne, libre et sans far, tu vis tes envies de vivre, cries d’amour.
Douceur d’âme, tu murmures, je t’écoute, mélodie du cœur, tu respires.
Ton cœur est un papillon aux mille couleurs qui virevolte à tout vent.
S’accroche aux fleurs d’amour, au pollen enivrant, d’un rose bleuet, au nectar précieux.
Perle d’amour, à jamais, amour, j’ai volé ton cœur pour toujours… mon amour.
Aujourd’hui et la Rome antique –
Maximus, le gladiateur, l’homme de combat…
Le film... Ceci pour tous les citoyens Romains… Et peut-être nous aussi…
Et aussi comme le reflet d’un miroir de vérité, à nous autres contemporains de notre époque sophistiquée, technologique et aux diverses sociétés humaines de notre monde… Au gladiateur qui à défier le grand Empereur lui-même dans l’arène…
Marc Aurèle (Marcus Aurelius) Ami et père spirituel de Maximus.
Empereur romain et philosophe, son règne voit la grandeur de Rome s'étendre grâce aux différentes guerres. Il meurt étouffé par son fils Commode, alors qu'il souhaitait rendre le pouvoir au Sénat afin que Rome redevienne une république :
« Tes fautes de fils sont mes défaillances de père. »
L’Empereur père : « La mort nous sourit à tous, tout ce que l’on peut faire, c’est sourire à la mort… »
Gracchus sénateur (Intriguant comme tous les sénateurs et conspirant plus particulièrement avec Lucillia), il est de ceux qui s'opposent le plus à l'autorité de Commode :
« Je ne prétends pas être un homme du peuple, j'essaie d'être un homme pour le peuple. »
Hagen, (Colosse germain servant d'instructeur aux nouveaux esclaves dont Maximus et Juba) de Proximo, qui les destine à devenir gladiateurs comme leur frère d'armes. Devenant l'ami de Maximus et Juba, il est un guerrier dans l'âme qui n'a pas peur de la mort et démontre un grand sens de l'humour face à leur condition :
« Nous attendrons ton retour, Maximus. »
Maximus à Quintus : « le sénateur Gracchus, il avait un rêve qui s’appelait Rome, il doit être réalisé… Selon les vœux de Marc Aurèle»
Lucillia – Lucilla (Fille de l'empereur Marc Aurèle et sœur de Commode) :
« Marc Aurèle est retrouvé… Tu es chez toi… »
«Est-ce que Rome vaut la vie d’un homme de bien ?…
Nous l’avons cru autrefois… Il faut le croire à nouveau…
Il était un soldat de Rome… Honoré le… »
Juste après la mort violente de Maximus dans l’arène, Juba le Gladiateur (Chasseur numide enlevé à sa tribu par des marchands d'esclaves comme Maximus) Maximus hero de l’histoire, Juba le Gladiateur dit :
« Maintenant nous sommes libres, et nous nous reverrons… Mais pas encore, pas encore…»
J’ai choisi la Poésie à la guerre… Osez dire non… !
Aux idées révolutionnaires
des Sieurs Voltaire et Rousseau…
À moi Voltaire François-Marie et Rousseau Jean-Jacques, libres penseurs, osent dire non… !
La pensée, la poésie plus forte que tout par leurs vertus seules... que les injonctions autoritaires de notre monde, la bêtise, la laideur, la cupidité, la pollution, la destruction… sans limites règnent sur notre monde ou la loi des puissants, des prédateurs…
Osez dire non… ! Osez pour nous et notre monde en devenir incertain au bord du gouffre… Non, pour nous sauver, la pensée, la poésie pour seules armes face à la brutalité, et l’ignorance…
La cécité bêtifiante de notre époque, de nos technologies qui nous aveugle dangereusement ceci aux dépits d’un seul vrai bon sens commun qui raisonne juste, dire non… ! Osez l’affirmer au plus haut !
L’injustice, la destruction de notre environnement, les voix autoritaires de ces temps présents immédiats nauséabonds de l’ordre à tout prix, imposer pas la force d’état… les lois d’exception pour toutes seuls réponse, confiscations des libertés, simulacre de démocratie, tels les fourberies de Scapin ou le théâtre des libertés, jeu de dupe de nos démocraties chancelantes, d’extinction de la pensée…
La pensée libre et la poésie pour dire non… Plus fort par l’intelligence de l’esprit… ou la pensée de la critique, la critique par la seule force des mots…
Rousseau J-J ou « le contrat social » ou par l’esprit de Rousseau, le début de la pensée des idées démocratiques ou celles des idées révolutionnaires pour l’émergence d’une nouvelle société aux idéaux plus juste pour les hommes…
Voltaire le Libéral aux idées nouvelles veut réformer, transformer, la société de son époque. La Révolution française voit en lui comme en Rousseau un précurseur…
Et un beau jour de 1789 née, la Révolution française et les idéaux des temps des lumières, le président de la constituante Mounier va à nouveau demander que Louis XVI promulgue la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 et les lois du 4 et du 26 août abolissant la société d'ordres et des privilèges…
Le début de l’Esprit français, des idéaux libertaires, d’une société plus juste, de la libération des hommes des oppressions d’où ils viennent, gardons en tête ces principes fondamentaux.
Notre époque nous enchaîne et foule sous les pieds, écrase violemment toute velléité d’esprit de libertés et de progrès social et humains…
À quand une nouvelle révolution salutaire des esprits et des lois d’une société en marche pour une humanité libérée avec une écologie dans un monde réconcilié...
Une rencontre, l’art révélé, un monde à part,
La Peinture…
Une artiste peintre Laure GRAGEZ
La peinture art du sensible, du sens original, une émotion puissante, une émotion de la beauté, du vivant...
L’art est une charge émotionnelle intense, l’art est une essence du profond de l’humain.
L’art est la chose la plus perfectible, une utilité indispensable à notre monde, et surtout à nous même.
La peinture est émotionnelle, vous séduit par sa seule présence, un instant du présent en toute puissance, avec force et délicatesse…
L’écrivain, son attachement, l’amoureux
de la Littérature…
Il y a les amours de jeunesses et l’amour de la littérature, ce sont des sentiments partagés du même ordre, le rapport à ce qui est des choses vitales, incontournables, de l’esprit de l’auteur, de son envie, de son monde intérieur, du rapport à vivre, comme on respire, l’air et le vent…
L’engagement d’un auteur, le rapport à l’écriture, c’est l’engagement aux idées de l’écriture de ce que peut être un auteur, et de ses difficultés supplémentaires qu’est l’écriture est un milieu excessivement élitiste ou exigent, avec que peu d’élus, et de peu de reconnaissance en retour...
Mais c’est à ce prix-là, l’audace de l’écrivain face au monde, pour essayer d’être authentique, d’être soi-même, faire valoir ce que l’on est et pourquoi on le fait... Sa propre vérité en œuvre...
Par rapport au lecteur, je suis très intéressé par son ressenti des choses, sa compréhension de l’auteur, de sa vérité, de la justesse à dire, à communiquer, l’essentiel pour vérité de l’auteur, sa nature profonde...
La découverte d’un auteur, vous ouvre vers un Nouveau Monde sensible, à découvrir, une vision particulière, une pensée en ordre qui va jusqu’au cœur.
La littérature, sa valeur est indispensable, une œuvre humaine d’une richesse attachée à son époque, l’écrit chose primordiale à soi et aux autres, ouvert au monde, des idées, des sentiments à partager, de l’intime qui fait œuvre.
Versailles
Lieux de pouvoir, des arts, d’une société, d’un monde oublié à jamais ou la représentation de toutes les luxuriances, la langue française ou l’esprit français au-delà de tous les raffinements, ici-bas et dans les cieux, ou le roi la représentation divine des hommes en charge de toutes choses sur terre…
L’esprit divin est fait d’exception et de tous les luxes, de tous les aboutissements des arts comme ceux de la guerre, pour régner, c’est le roi.
À Versailles, à la cour, la valeur la plus recherchée était l’esprit, avoir de l’esprit, vous étiez alors élevé au grade d’homme d’esprit, valeur plus importante que quelques bijoux ou autres biens…
C’était l’époque des grands esprits, l’esprit des lumières, des arts d’une bonne société, aux goûts et valeurs partagées pour nourrir l’esprit et le divin et à défaut les réminiscences des contingences de tous les jours, du corps, en sommes nourrir le corps et l’esprit ou s’enquérir des merveilles du monde où s’afférent cette société de gens de noblesse…
Toutes les distinctions étaient importantes, le soin du détail était là, dans toutes choses, les choses devaient révéler l’esprit de ce siècle doré…
Tout y participait.
Désir d’écrire
Mon envie d’écrire…
Cette envie, est pour moi, jouissif, irrépressible, très valorisant pour soi et les autres, un besoin indispensable à son intellect, à sa vie, à la mesure de ses ambitions, celle de dire, de raconter, de partager, d’émouvoir, de donner un sens aux choses, aux sentiments humains, lancer une bouteille à la mer, pour aller vers d’autre rivage, lointain…
Un lointain imaginaire, donner de l’espoir par l’écrit et ces engagements, convaincre, vaincre par les idées, par la raison, avec la poésie, de la sensibilité exacerbée, de l’amour, du charme, et enfin du cœur…
Voilà mon ambition, celle de l’auteur amoureux de l’écrit et des mots qui ont un sens, et même au-delà celle de rallier, de rassembler et non diviser, à sa cause les êtres…
Une sorte de philosophie de la pensée, de l’âme, doublé d’un sens poétique élevé intimiste…
La littérature devrait être tout et un à la fois rassemblé, condensé, à mon goût, et doit donner du sens à la vie, la valoriser et aux choses, une pensée de l’intime…
À l’instar d’une œuvre peinte ou dessiner avec cœur en un seul trait sur l’instant des idées qui vous envahissent, vous submergent, dire soi et les autres…
Artiste et poète, auteur et écrivain, je l'espère être, écrivain du sentiment des choses.
Auteur : Philippe ROUSSEAU
Libre, Liberté…
Liberté chérie France
Sans attendre, enfin libérons-nous…
Sans attendre libérons-nous, prison imposée, mensonges, tyrannies, aux violences mentales ! Non à la soumission ! Vivre enfin la Liberté ! Liberté chérie France !
Désobéissance, prisonnier mentalement, physiquement…
Les confinements jusqu’à la déraison, prison mentale.
Vivre, vivre ou mourir, non à la peur, marchant de peur…
Un hymne à la vie, nous sous cellophane, nous sommes enchaînés, ou sont-ils les jours heureux, de notre belle France, libre, liberté chérie…
Osez la résistance, osez la désobéissance, dire non, non à nos chaînes, non à nos prisons imposées, mauvais rêve, dire non !
Les étoiles libres étincelantes dans le ciel au chant de la délivrance, libre, liberté.
Vivons comme les soleils qui brillent au plus haut, brillons ensemble libre, l’esprit dégagé, léger, vivons et respirons la liberté, enfin vivons libres…
Le désespoir, la peur, l’enfermement, le mensonge, la tyrannie, non à ses gens de la désespérance, de l’oubli de soi, de vivre, l’oubli de liberté, bafouée, maltraitée, trahie…… dire non ! Enfin libre aux étoiles des espérances !
J’ai un rêve aux étoiles du ciel, bleu du ciel, rose d’amour, enfin libre, au chant d’amour.
Aux mélodies d’amour, les oiseaux eux sifflent à tue-tête, libres d’espoir et d’amour, chanter la liberté, enfin libre… Douce mélodie de nos libertés chéries, enchaînée, volons au plus haut, libre de dire et de vivre, osez la vie sans chaînes… dire non !
Sous l’œil de Vichy, la résistance ou la trahison…
Le didact des hommes de l’ombre, Covid oblige…
Le nouvel ordre implacable impose ses lois antidémocratiques comme sous le régime d’un autre temps celui de Vichy, et de ses crimes odieux inavouables à la cruauté aveugle violente, les hommes de pouvoir non pas de sentiments, force est à la loi, celui du régime imposé par la force… Nul ne doit s’opposer à l’instar des lois de Vichy, d’une autre époque à l’horreur du trouble de notre temps moderne…
La propagande est là, logique implacable, inexorable… Covid 19 ou trahison du peuple, de ses droits et libertés… Point d’arrestation arbitraire pour qui n’obéit, mais la loi de l’amende au forfait autoritariste, à la dérive policière, d’ordre pénal, on ne transige plus, voici le nouvel ordre… Résistance…
Point de démocrate, point de démocratie, les temps ne sont pas au dialogue démocratique, le propos n’est pas là, cette idée est inepte… Contre nature… À l’heure de vérité, des premières nécessitées, achat imposé, nouvel ordre, injonctions d’état… la loi du Covid 19.
Le virus telle une malédiction qui nous hante cruellement et tragiquement, le virus est là, il frappe, on ne sait… on ne sait où, on ne sait qui, le virus est là, il nous guette… le moment fatal, tel un monstre de l’ombre, il frappe, des cas graves en réanimation, la mort est là, jeune ou vieux… C’est une tragédie sous nos yeux impuissants… Le régime impose le didact sous la loi de la peur… La peur une arme comme une autre, efficace, tragique.
Covid 19 le virus tueur incontrôlable, sans aucun préjugé, il frappe indifféremment, égale dans sa peine, il tue a son passage, nul n’est à l’abri peu importe, la mort peut être au rendez-vous, sans distinctions quel qu’elles soient… La mort ne transige pas, implacable, la sentence arbitrale est fatale… Pour qui sa destinée est tragique…
La loi du Covid d’état impose sans discussion, nous oblige urgemment, nous sommes sous les injonctions d’un nouvel ordre, de l’urgence qui fait loi, pas d’assemblé national, le nouvel ordre des lois d’exception, nous sommes sous les didacts des injonctions, nul vote démocratique à la représentation des députés du peuple, la loi de l’ordre prévaux, nulle opposition, balayée…tout est sous contrôle, la raison du pouvoir, non du peuple souverain, nous, orphelin de la démocratie violenté, brutalisé, assassiné au nom d’un didact d’état, le virus ouvre la voie au pire… un nouvel ordre, un nouveau régime d’ordre…
Nul autre, n’aurait mieux réussi d’imposer cet état de fait par la loi des hommes de la trahison de notre démocratie qui n’est plus, vidée de sa substance fondamentale.
Notre liberté chérie, nos idées libertaires, à celle du destin de notre capital Paris, tels celle de sa Libération, celle de Paris, d’un temps sombre, d’une occupation triste et absolue, au visage de la noirceur de ces temps, celle de la trahison et du crime d’État…
À quand notre liberté recouvrée, l’honneur des hommes et femmes libres libérés des odieux didacts, sous la loi de l’ignominie, du régime de la peur, d’un régime antidémocratique, liberticide, policier…
Un bonheur simple
Les jours heureux sont des moments uniques de l’histoire d’une vie, son accomplissement.
Un bonheur simple, chose essentielle, un amour heureux, une vie de plénitude, une vie heureuse, une finitude simple.
La vie belle, la vie d’un bonheur simple.
Aux amours d’un bonheur poétique, au rose pastel, d’une touche légère évanescente de pureté.
Joie, le soleil irradie d’un bonheur au plaisir d’un paradis interdit.
Une vie réussie, son aboutissement, une vie véritable, au bonheur inassouvi, une vie véritable, aux imperfections de la vie, bonheur d’une vie.
Amour interdit, au bonheur libérateur, une joie élevée jusqu’au divin, est un plaisir rare, d’une vie précieuse.
Aux amours accomplis, le bonheur est là au bout du chemin, vous sourit, vous attend, là, au bout de l’horizon infini.
J’irai là au bout du chemin, voir le bonheur simple…
Lettre d’amour
La poésie des mots s’envole sur les feuilles des livres, pour dire aux amants les mots d’amour…
Les mots d’amour pour toujours…
Le temps qui passe, à la mort qui sépare les amants, les gens qui s’aiment…
Au destin tragique, qui nous interdit, nous sépare à jamais… aux amours déchus par le malheur qui frappe… la mort.
Les amours du patient anglais, une lettre d’amour écrite, là, la dernière lettre d’amour… La plus véritable, d’un amour profond, d’un amour perdu.
L’amour est là présent, au pire…
La lettre écrite jusqu’au dernier souffle, jusqu’au dernier instant, dans la pénombre, et le froid, puis les derniers mots coucher là dans le noir, pour dire son amour avant la fin inéluctable la promesse des amants, terribles moments…
Se retrouver malgré la mort qui fait obstacle, accomplir sa parole d’amour donnée pour se retrouver malgré le destin accompli, le trépas…
Les amours impossibles sont au panthéon des êtres d’amours de cœurs et d’esprit.
Rien n’arrête l’amour, même pas la mort.
Les mots s’envolent à la légèreté des esprits évanescents, les cœurs gagnent les cieux pour ne jamais revenir, tel des oiseaux amoureux s’envolent là aux firmaments des amants immortels illuminent les astres étoilés… De mot d’amour…
La déchirure
Algérie pour toujours.
France, la faute devant l’histoire de cette sale guerre…
Ou Maurice PAPON d’odieuse triste mémoire sous Vichy…
Rappelé aux affaires, PAPON sévit en Algérie (préfet régional pour l'est de l'Algérie à Constantine) déploie des « détachements opérationnels de protection » (DOP) spécialisés dans les interrogatoires, la torture… Papon l'adaptera aussi à Paris, à partir de 1958, sous la forme du « Service de coordination des affaires algériennes ».
Algérie, terre d’homme et de femme en espérance.
La colonisation, la souffrance, la guerre, l’indépendance, la trahison…
Terre de Camus, Camus prix Nobel, l’étranger.
Terre d’espérance.
Hommes de pouvoirs, au détriment des hommes et des femmes, du peuple trahi, assouvi par la terreur.
Aujourd’hui, pays au lourd et terrible destin, pouvoir aveugle, au mépris simple de la vie…
Entente entre les pouvoirs économiques entre la France et l’Algérie, trahison, duplicité de l’économie ou des intérêts, l’argent sans frontière au détriment des hommes et des femmes, l’argent au cœur du pouvoir militaire du pays, des pouvoirs politiques, militaires, économiques…
L’argent de la compromission pour seul politique, pour seul horizon, parodie de démocratie, trahison et soumission par la terreur des hommes et des femmes…
Un espoir encore… un espoir en sommeil, rêvé, des intellectuels dissidents, les chaînes se briseront un jour, à l’oubli des peuples… né une force, pour la liberté des peuples, qui un jour prendront en main leur destin…
Elisabeth-Louise Vigée-Lebrun - Ce 18e siècle du raffinement, au cercle des beaux-Esprits ou l’apprentissage de l’académie de St-Luc…
Fille de Louis Vigée, pastelliste, membre de l’Académie de Saint-Luc, et de Jeanne Maissin, d’origine paysanne, Élisabeth Louise Vigée entre, à l’âge de six ans, comme pensionnaire à l’école du couvent de la Trinité, dans le faubourg Saint-Antoine.
Peintre de la cour aux 660 peintures de portraits, peintre professionnel à 14 ans, elle s’enfuit clandestinement aux portes de la révolution en exile au début de la période révolutionnaire, elle voyagera croyait-elle pendant six mois, et durera 13 ans auprès des plus grandes cours d’Europe, elle séjournera en Italie, en Autriche, en Angleterre et en Russie…
Femme au destin talentueuse et libre qui a su allier réussite et fortune, dans ses mémoires elle dira « avant la Révolution les femmes avaient le pouvoir, la révolution les a détrônées… »
Née à Paris en avril 1755 juste quelques mois avant Marie-Antoinette…
En 1761 son père la récupère pour vivre avec lui et pour son enseignement. Louis Vigée son père pratiquait le portrait de pastel, il l’encourage, il lui dit « tu seras peintre ou jamais il n’en sera… » a 11 ans elle quitte le couvent, sa mère Jeanne l’emmène voire les expositions, elle est autodidacte, elle se marie à Jacques François le sèvre, une clientèle de bourgeois et de noble et commence d’avoir des cachets importants… Des portraits préromantiques pour les portraits d’homme agissent avec ruse dans son travail…
Elles croisent deux femmes importantes pour son destin d’alors dans les jardins, lors des loisirs de tout à chacun, la promenade, Noblesse, Grande Bourgeoise, Artisans, commerçant et mauvais sujets se croisent dans les jardins des tuileries, aux champs Élysées, au Luxembourg, et au Palais Royale ou Élisabeth et sa famille se sont installées…
À la promenade, il faut voir et surtout être vu, par exemple les endroits à la mode se créent et ne durent qu’un instant comme le Colisée situé sur les champs Élysée et éclairé par 2 000 bougies, il pouvait accueillir quarante mille personnes… On y trouvés des cafés, des cirques, des boutiques de bibelots et des curiosités, une salle de spectacle, un bal, on y tirait des feux d’artifice…
Lors de ces promenades, Élisabeth est remarquée…
Ces deux femmes importantes pour sa destinée croisent son chemin…
La Duchesse de châtres future Duchesse d’Orléans protège les artistes, pratiquement sa voisine parce qu’elle loge au Palais Royal, lui demande alors de la portraiturer ainsi que ses amis…
La seconde rencontre qui décidera de ses triomphes futurs se fera aussi lors d’une de ces promenades dans un parc… « Nous allâmes à Marly-le-Roi, et là pour la première fois, je pris l’idée d’un séjour enchanteur, un matin, j’y ai rencontré la reine qui se promenait dans le parc avec plusieurs dames de sa cour… Toutes étaient en robes blanches et si jeunes qu’elle me fit l’effet d’une apparition… ».
« La reine m'engage à continuer ma promenade, partout où il me plairait. »
Marie-Antoinette arrivée en France en mai 1770 à l’âge de 15 ans pour épouser Louis Auguste Dauphin de France et fils de Louis XIV.
Élisabeth travaille librement et en marge de toutes institutions, la jurande l’organisme qui régit les institutions, vient saisir ces instruments dans son atelier et la contraint à inscrire son activité à l’intérieur d’un cadre professionnel. Elle est obligée de rejoindre une maîtrise pour la profession de peintre, c’est l’académie de Saint-Luc où membre de l’académie Royale de sculpture et de peinture… Et se présentera ainsi à l’académie de Saint-Luc ou elle sera assez brillamment reçue…
En 1775 Jacques François le Sèvre déménage et prendra un appartement dans un bel hôtel particulier dans Paris, rue de Clairie, presque en face de l’appartement de son père Louis Vigée… Cet appartement dans un très bel hôtel nommé l’Hôtel Duber où habite Jean-Baptiste Pierre Le Brun mène une carrière de peintre, de restaurateur de tableaux et de marchand d’art, il possède dans son appartement un véritable musée… qui permettra à Élisabeth de parfaire ses connaissances picturales…
Il possède la collection du comte joseph Jacinthe de Baudreuil qui est proche de la cour, père de France, gouverneur du Louvre, et membre de l’académie des beaux-arts et deviendra le premier collectionneur des portraits d’Élisabeth…
Elle fera un voyage en Flandre après qu’elle épouse en 1776 avec Jean-Baptiste Pierre Le Brun, elle découvrit à envers, le génie de Rubens et s’en inspirera de la technique du maître pour réaliser un autoportrait sur chêne. Chez un marchand anversois découvre un tableau de Rubens le Chapeau de paille ou plutôt d’un chapeau de feutre et permet un jeu d’ombres portées et d’effet de lumières dorées, un jeu sur le visage et sur le front… qui sera l’œuvre maîtresse, de ses futurs propres chefs d’œuvres…
Rentrée en France, elle peindra un autoportrait, son chef-d’œuvre… Avec des glacis extraordinaires, au sommet de son art… L’un de ses plus beaux tableaux, le premier peint sur bois. Le succès de son tableau est tellement important qu’elle réutilisera cette composition à plusieurs reprises pour de grandes commandes pour des personnages des plus hauts rangs, la première d’elle, Madame du Barry, puis la plus prestigieuse sera Marie-Antoinette et bien d’autres encore…
Élisabeth ambitieuse, elle désire s’élever au plus haut du pouvoir et c’est par l’intermédiaire de la Duchesse de châtre qu’elle atteint Marie-Antoinette. En 1778, elle accède officiellement aux ordres de Versailles… Marie-Antoinette est toujours déçue de ces portraits que l’on fait d’elle. La lettre qu’elle envoie à sa mère en novembre 1774, elle dit « Les peintres me tuent et me désespèrent… »
Si Élisabeth possède un véritable talent, c’est celui de s’adapter à la personnalité de ces modèles… Son art et d’exprimer la grâce des jeunes filles de la noblesse, la légèreté piquante de la comédienne de Madame Mollet Rémond, ou sensualité de Madame Grant, future princesse de Tallerand…
La particularité essentielle des peintures de Vigée Le Brun est la grâce de ces portraits, et habitée de beaucoup de sentiments, une empathie avec le modèle, par son écoute et son observation…
Marie-Antoinette avait trouvé sa portraitiste et se tisse une relation régulière familière et amicale… Élisabeth souhaite rentré à l’académie Royale de Peinture, mais on lui refuse, le fait de la production de tableaux et que son mari soit marchand de tableaux… Et elle finit par l’obtenir en cachette en faisant intervenir par l’intermédiaire de Marie-Antoinette qui à demander au Roi de la faire accepter à l’académie Royale de Peinture. Les femmes ne sont peu acceptées à l’académie, seules quatre d’entre elles furent reçues en 1783…
À l’académie Royale de peinture d’histoire, la hiérarchie supérieure des artistes, le maître incontesté était Jean Louis David amie d’Élisabeth, la peinture d’histoire était au sommet, le portrait était bien inférieur… Madame Vigée Le Brun se permet l’impertinence de flirté avec la peinture d’histoire, par la toile qu’elle présente pour la réception à l’académie « La paire amenant l’abondance » …
Peu après son retour à Paris le 18 janvier 1802, Vigée Le Brun fréquente Laure Regnaud de Saint-Jean d’Angely et Joséphine Bonaparte. Très vite, elle retrouve certains de ses amis d'avant 1789 comme Geuze, Hubert Robert, Bongniart ou Ménageot.
L’artiste continue de peindre au service de l’Empire et de l’aristocratie européenne, et entame, entre 1803 et 1805, de nombreux voyages en Angleterre.
L’Angleterre compte parmi 800 portraitiste et la concurrence est rude, Vigée Le Brun prend du recul avec la société Anglaise qu’elle trouve profondément monotone et ennuyeuse, et dit « je ne suis pas étonnée que le spleen soit née ici, vous vous amusés comme nous nous ennuyons… »
Elle rentrera définitivement en France en 1805, et poursuivra l'œuvre délicate et sensible qui avait fait son succès avant la Révolution.
C’est le 30 mars 1842 qu’Elisabeth Louis Vigée Le Brun décède, à Paris. Elle rentrera définitivement en France en 1805, et poursuivra l'œuvre délicate et sensible qui avait fait son succès avant la Révolution.
Vigée Le Brun s’éteint doucement le 30 mars 1842 à coté de ses nièces. Elle s’éteint après avoir connu la gloire et les critiques, le luxe et l’exile, les monarchies et les révolutions, les plus grands artistes et les puissant Européens de son temps, parcourue l’Europe entière, âgée de 87 ans fera inscrire sur sa tombe son Epitaphe à Louveciennes « Ici, enfin, je repose… »
« Les amoureux sont seuls au monde »,
à ceux des grands esprits…
Au grand amour des amants aux désirs subjugués par le désir des sentiments amoureux, aux épris en manque de cupidon et l’amante d’une insupportable beauté.
La rose des temps aux effluves capiteux, à sa pureté fragile, saoule les couples en quête d’un amour incommensurable, l’amour leur va bien au teint.
Les amours innocents à la pureté des âmes sont les plus beaux, les plus grands à la noblesse des cœurs des jeunes gens.
A Louis Jouvet ou « Les amoureux sont seuls au monde » livrés à la rudesse et l’injustice du monde…
Qu’est-ce qu’un amour, un amour sincère dénué de tout intérêt ?
L’amour sacrificiel ou le dû au sexe faible, l’ingénue sacrificielle, la dette de l’amour ou la dette de cœur.
L’amour ou souffrir, le bonheur serait alors insupportable ! L’amant au cœur épris, dit je t’aime, et ne sais dire que cela, le cœur s’enflamme…
L’amour et comme le hasard, il garde ses secrets…
Les amours de madame de Maintenon épouse d’un illustre roi ou Saint-Cyr, offre aux oiselles, jeune fille pauvre de la noblesse, un amour désintéressé, inconditionnel à celles de femmes.
Les femmes ou l’amour fou, ou l’amour passionné des femmes…savent résister au désir de plaire…
Mary Shelley, l’empire de la beauté, ton amour ont des chaînes pour mon cœur, je rejoins les portes de l’enfer emporté par les vagues, aux ténèbres lointaines, quelque chose est à l’œuvre dans mon âme… Un mauvais, un étrange rêve, d’un autre monde ou la tragédie funeste, d’un sinistre jour ou le triste sort devenu réalité. Et Gustave Doré, d’outre-tombe, l’esprit de Dante réincarné… ou le génie en plus…
Aux grands hommes, des vers du Sieur Racine, aux belles choses de l’esprit… Prière d’apporter son âme, comme la musique, l’amour est une affaire de cœur, au bon sentiment de celui-ci a contrario de ceux qui en sont dépourvus, le plaisir est une histoire de passions du cœur.
« Les grandes manœuvres », Gérard Philippe, Michelle Morgan –
« Hôtel du Nord » ou Renée ou les amants perdus.
Les étoiles filantes ou les femmes…
Gérard Philippe séducteur incorrigible en Colonel de l’armée, aux aventures multiples des femmes pour de nouvelles conquêtes, ou un pari, séduire Michelle Morgan, qui tombe follement amoureuse de lui…
Les femmes au grand cœur courent à vive allure dans les astres comme des Étoiles filantes… Le cœur des amoureuses se consume au cœur alangui, impatient…
Et à l’hôtel du Nord… (Annabella : Renée, la fiancée de Pierre - Arletty : Mme Raymonde, la prostituée - Louis Jouvet : M. Edmond, le protecteur de Mme Raymonde - Jean-Pierre Aumont : Pierre, le fiancé de Renée).
Renée : « Je n’ai jamais autant aimé ce soir, je ne pourrais pas plus aimer… »
Pierre l’amant : « Je n’aurai pas eu envie d’être heureux. »
Renée : « On n’a que notre amour au monde et rien de plus… »
Pierre l’amant : « On sera heureux, on sera mort sous une bonne étoile… On sera loin de tout, et jamais l’on ne reviendra… »
Pierre l’amant : « Les autres n’ont pas d’amours, ils ont le reste… Jamais plus, on ne marchera dans la nuit pour gagner l’aube… Renée mon amour… Réponds-moi… ».
La mort supposée de Renée… à l’Hôtel du Nord.
Robert : « C’est la première fois que je suis timide, on m’a appelé Edmond, mon vrai nom est Robert. Je suis devenu un autre type, j’ai changé de peau, j’aime le linge propre…les costumes nets, les cravates impeccables, je ne peux plus voir la musique même en peinture, le sang ne m’impressionne plus, au contraire. C’est dur de se quitter à ce point-là… Et puis, j’étais fait pour être autre chose qu’Edmond ou Polo… La preuve, c’est que ce soir, c’est Robert qui vous parle… Vous pouvez l’écouter celui-là, il est propre, il n’a presque jamais servi… Voilà ! C’est tout ! C’est un cadeau, c’est un cadeau qui n’a l’air de rien, mais je l’ai payé cher… Je m’étais toujours dit que cette confidence-là, je la ferais à Renée un matin, le matin de notre première nuit, mais je me rends compte maintenant qu’on n’aura jamais de première nuit, tous les deux… C’est comme si on en l’avait eu d’ailleurs, puisque je me suis livré à vous… «
Renée : « J’aurais bien voulu vous donner quelque chose en échange, pour qu’on soit quitte, seulement moi je n’ai pas de secret… »
Robert : « Vous m’avez écouté, cela me suffit, et vous avez eu du mérite à m’écouter… Dame, oui, parce que le bonheur et vous, cela fait deux… Et mon histoire à côté de la vôtre... « Renée : « Oh, elle est finie mon histoire »
Robert : « Fini ?? »
Renée : « Oui et le plus drôle, et que je n’arrive pas à en sortir… Non, oublier et recommencer, cela ne dépend pas de Pierre, mais de moi… Et je ne m’y résigne pas ! J’avais tant d’espoir, tant de confiance… Il n’y avait que ça mon amour, alors vous comprenez ! On ne se résigne pas, à plus y croire ! On veut rester encore ! On adore ! Dans c’est circonstance-là, il faudrait quelqu’un qui vous oblige à partir… Comme au cimetière ou au théâtre… Quant à ceux qui restent plantés là, allez-vous-en, ont ferment les portes… ». Emmenez-moi, partons, on a failli couler, on a raté des tas de choses ! Ne restons pas là ! Il y a une autre vie pour nous quelque part… Ailleurs… Cela réussira peut-être, je n’attends plus rien de personne… Avec nos deux malheurs… On peut faire… »
Robert : « Une grande catastrophe !! »
Renée : « Emmenez-moi puisque de toute façon il faut partir… Emmenez-moi ! »
Robert : « Ce serait trop beau ! … »
Renée : « Au dernier moment le cœur m’a manqué. La Josiane est partie sans moi. »
Pierre l’amant : « Et l’autre ?... »
Renée : « Il a dû s’embarquer quand même… Et pourtant au départ, j’étais sincère, j’y croyais ! Je me voyais vivre à Port-Saïd, dégagé de tout avec des souvenirs tout neufs. Si je ne suis pas partie, c’est que je ne pouvais faire autrement, c’est que quelque chose de plus fort que moi me retenait… Toi ! »
Pierre l’amant : « Alors, ce n’était pas grand-chose ce quelque chose ! »
Renée : « Qu’est-ce que cela peut faire, j’ai fait tout ce que j’ai pu pour essayer de te détester, je n’y suis pas parvenue… Et même tiens, je ne comprends mieux à présent, oui, pour décider l’autre à m’emmener, à tout quitter, je lui ai parlé comme toi l’autre soir à l’Hôtel du Nord. Je me rends compte maintenant, je me suis servi de tes mots pour le convaincre… Mais quand, il a fallu tout lâcher, alors qu’il était déjà trop tard, alors j’ai eu peur moi aussi… Tu vois, on a tous les deux raté un train, on est quitte. »
Pierre l’amant : « Mais non ! Mais non ! L’autre tu n’as pas voulu le tuer, toi !»
Renée : « J’ai fait pire, je lui ai donné de l’espoir… »
Renée : « Pierre, dans deux jours ton non-lieu sera signé, où iras-tu ? Si je n’écouter personnes, si je m’obstine en vers et contre tous ! C’est peut-être par égoïsme…
Pierre, j’ai besoin de toi… »
Pierre l’amant : « Tu crois, tu crois que l’on pourrait vivre ensemble ? Être heureux ensemble ? »
Renée : « J’en suis sûr ! »
Pierre l’amant : « Comme avant ? »
Renée : « Comme avant ! Tu as des remords ? Eh bien moi je n’ai pas de remords… Je ne regrette pas que tu aies fui ! Je ne regrette pas d’être vivant ! Ose me dire en face, je suis navré de t’avoir raté ! Ose donc ! Tu vois bien que l’on peut revivre ensemble ! »
Patron de Café : « À quelle heure aviez-vous rendez-vous ? »
Renée : « Après le bal »
Patron de Café : « J’espère que cette fois, vous n’allez pas revenir vous tuer au 16… Hein ! Vous allez vous marier ? Bien entendu, enfin… Un beau mariage vaut mieux qu’un mauvais suicide !... »
La femme du Patron de Café : « Qu’est-ce que tu lui racontes ! »
Patron de Café : « Rien ! C’est des propos de 14 juillet, qu’en dites-vous Renée ?... »
La femme du Patron de Café : « Ma petite Renée, quand vous partirez, ne dites pas en revoir, faites comme si vous alliez faire une course… Comme ça le couvreur et moi, on pourra toujours croire que vous allez revenir d’un moment à l’autre… On vous aimez bien ! Enfin, c’est habituel. »
Patron de Café : « C’est comme si demain en revenant ici, je ne retrouve plus mon zing ! Ça me manquerait, eh bien, vous nous manquerez aussi ! Ah là là… »
Robert : « C’est beau, on se retrouve en musique ! Il est sorti ? Hein ? il a eu un non-lieu ? C’est ça ? Hein ? Il est sorti ? »
Renée : « Ce matin ! »
Robert : « Tu l’as revu ? Non ? Tu vas le revoir ? »
Renée : « Oui, après ! »
Robert : « Après quoi ? »
Renée : « Après le bal ! »
Robert : « Il t’attend ? »
Renée : « Oui. »
Robert : « Il a de la chance ! Renée je te remercie de m’avoir donné, comme ça, en passant trois jours de ta vie… »
Renée : « Il y a une chose comme ça qu’il faut croire ! Je t’ai pas menti, quand je t’ai demandé de m’emmener, j’avais vraiment l’intention d’aller jusqu’au bout du voyage… »
Robert : « J’en suis sûr ! On n’a pas été bien loin tous les deux, mais tu m’as quand même fait voir du pays ! Il n’y a pas de mal… »
Renée : « Tu ne vas pas monter dans ta chambre ? »
Robert : « Pourquoi ? «
Renée : « Deux hommes qui attendent ! Raymonde leur a dit qui tu étais ! «
Robert : « Ah oui ! À dieu Renée ! »
Renée : « À dieu »
Robert : « Je t’ai dit que je m’appelais Robert ! »
Renée : « À dieu, Robert »
Renée : « Le jour se lève, il va faire beau… ». «Viens maintenant, c’est fini… ».
Pierre l’amant : « Quoi dont ? ».
Renée : « L’hôtel du Nord » …
Fin… (Musique…)
« Libre, Libre encore… »
Covid et Autres…
Notre irrévérence, au pouvoir autoritaire.
Non à l’indignité, à l’autoritarisme, aux forces violentes dictatoriales aveuglées de pouvoir, ce pouvoir quelque qu’il soit, qu’il soit maudit, haï, honni, homme d’État à l’indignité au mépris outrageant.
Tirons notre révérence, sans allégeance… Non ! Non !
Allons vivre notre bonheur !!! Vivre libre, libre, libre encore…
Non à leur violence, à leur pouvoir subordonné, du summum de l’indécence…
Tirons leur notre révérence, soyons irrévérent, sans indulgence face à leur démence, nous en toute intransigeance. Disons, Non ! En toute intelligence.
Vivre libre, libre, libre encore… Sans allégeance, trafiquant de peur, de la peur sociale jusqu’à l’indécence ! Prenons la liberté ! Face à leur indignité ! Nous ne voulons pas de vos chaînes, et mentaux, tous désignés prisonniers.
Tirons-leur notre révérence, sans allégeance… Non ! Non !
Affirmons notre résistance, à leur scénario de leur démence sans indulgence, inhumaine…
Vivre libre, libre, libre encore… Ornons un bras d’honneur à cet état de la peur sans honneur, fascisant, aux hommes aux ordres, aux boucliers des forces de la tyrannie aveugle… Tenons-les à distance, ne soyons pas sans résistance, face à tant d’indécence, ils ont complètement perdu la raison.
Ne donnons pas nos libertés chéries à leurs indignités… Soyons sans indulgence !
Brisons, bravons leurs prisons, ils ont perdu la raison…
Tirons notre révérence, sans allégeance… Non ! Non ! Allons vivre notre bonheur !!! Vivre libre, libre, libre encore…
Tirons notre révérence, sans allégeance… Non ! Non ! Allons vivre notre bonheur !!! Vivre libre, libre, libre encore…
Ne soyons pas dociles, et soyons sans sagesse face à ces indignes, méprisant, à leurs richesses étalées impudiques aux accents de vulgarité de classe, ordonnée et propre, ces prédateurs aux griffes acérées, ces hommes soi-disant « honnête » aux véritables allures de mauvais et faux prophètes, sous le joug de ces despotes aliénant, mortel…
Allons vivre notre bonheur !!! Vivre libre, libre, libre encore…
Les amoureux éternels – « Quai des Brumes »
Michelle Morgan et Jean Gabin…
L’amour à ces rivages, que les amants fréquentent au bord de l’eau, sous les étoiles argentées, qui unissent les cœurs des amoureux éternels, les yeux dans les yeux, franchissent les étoiles pour ne jamais revenir, au cœur vainqueur brave l’éternel…
- Dialogues amoureux…
Jean : « Eh ben ? Qu’est-tu attends pour me dire bon appétit ? Toi ? Tu ne connais pas les convenances ? Non ? He ! Le clébard y a longtemps tu as peut-être faim aussi ? »
Nelly : « Il est à vous ? »
Jean : « Oui ! »
Nelly : « Il a une jolie tête ! »
Jean : « Toi aussi ! Tiens, t’es belle et tu me plais ! Sans blague ! Tu n’es pas épaisse, mais tu me plais ! Ta démarche aussi tu me plais, le coup de foudre ! Le coup de bambou, l’amour quoi ! Tu sais le mec avec ses ailes dans le dos et ses flèches ! Les cœurs sur les arbres, la romance puis les larmes ! Ah ! là là toujours pareil ! Vacherie ! Vacherie ! Vacherie ! Et compagnie ! »
Nelly : « Vous le pensez vraiment ? »
Jean : « Quoi ! »
Nelly : « Ce que vous dites ! L’amour ! »
Jean : « Ah ! Là là… Les gonzes c’est toujours pareil… Elle fait le turf ! Et c’est sentimental comme une carte postale ! »
Nelly : « Qu’est-ce que vous avez dit le turc ? »
Jean : « Oui ! Quoi ! Ça fait partie des langues vivantes ! Le Turf ! Le tapin !»
Nelly : « Pourquoi me parlez-vous comme ça ? »
Jean : « Tu ne vas pas me faire croire que t’es venu ici pour apporter une galette à ta vieille grand-mère ? Non ? T’es pas le petit chaperon rouge ! Dis donc je vais te dire c’est dommage parce que… Moi j’suis le grand méchant loup ! »
Nelly : « Pourquoi riez-vous tout le temps comme ça ? Ce n’est pas un vrai rire ! C’est un rire triste ! »
Jean : « Tu as vu une femme aimer un grifton, toi ? Hein ? C’est quand ils défilent au pas cadencé et dans la poussière ! Un homme et une femme ça ne peut pas s’entendre ! Ils ne parlent pas pareil ! Ils n’ont pas le même vocabulaire ! »
Nelly : « Ils ne peuvent pas s’entendre, mais ils peuvent s’aimer ! »
Jean : « Oh ! T’as déjà aimé quelqu’un toi ? Hein ? »
Nelly : « Non ! Pas vraiment ! »
Jean : « Ah ! Ben alors ! »
Jean : « C’est parce que l’on tire que tu as peur ? »
Nelly : « Non ! S’il y avait que ça ! »
Jean : « Qu’est-ce qu’il y a d’autres ? »
Nelly : « Mais, je ne peux pas vous le dire ! »
Jean : « Vous n’avez pas besoin d’avoir peur, puisque je suis là ! »
Nelly : « C’est gentil. »
Jean : « Comment tu t’appelles ? »
Nelly : « Nelly. »
Jean : « Moi, je m’appelle Jean… »
Nelly : « Chaque fois que le jour se lève, on croit qu’il va se passer quelque chose de nouveau, quelque chose de frais, et puis le soleil se couche puis on fait comme lui, c’est triste… »
Jean : « Ce que tu disais tout à l’heure, tu le pensais ? »
Nelly : « Quoi ? »
Jean : « L’amour ! »
Nelly : « Oui, sans ça, pourquoi l’aurais-je dit ? »
Jean : « Oh ! Je ne sais pas pourquoi ? Des salades, comme ça, pour attendrir le client, quoi ? »
Nelly : « Des clients ? »…
…
Jean : « T’es une drôle de fille quand même, c’est vrai, je n’ai qu’à te regarder, à t’écouter et pis tu me donnes envie de pleurer… » ; « T’as pas faim ? »
(En fond la musique… « Quai des Brumes… »)
Nelly : « Non, je n’ai envie de rien, je suis bien ! »
Jean : « C’est vrai ? T’es bien avec moi ? »
Nelly : « Oh ! Vous ne pouvez pas savoir, comment je suis bien avec vous ! Je respire, je suis vivante ! Ça doit être comme ça quand on est heureux ! »
Jean : « Tu ce que tu dis, ça ne tient pas en l’air ! Tu diras ça à un autre que moi, je trouverai ça idiot, mais je me dis comme ça à moi ! Ben c’est marrant, ça me fait plaisir ! »
Jean : « T’as de beaux yeux, tu sais ! … »
Nelly : « Embrasse-moi ! »…
Jean : « Nelly ! »
Nelly : « Embrasse-moi, encore ! »…
…
Jean : « Allons, allons, quoi ! Tu ne vas pas pleurer ! Hein ! Nelly ! »
Nelly : « Quand vous m’appelez comme ça, ‘Nelly !’, c’est comme si vous me cherchez très loin quand j’étais petite ! »
Jean : « Oh ! Tu n’es pas tellement grande, tu sais ! »
Nelly : « Si ! J’ai grandi trop vite ! J’ai vu trop de choses ! Alors je suis abîmé ! »
Jean : « Oh ! Abîmé ! Abîmés ! T’es la fille la plus fraîche que je n’ai jamais rencontrée, qu’est-ce que tu veux, une fille qui est belle, c’est comme un homme qui essaye d’être libre… Tout le monde est contre, comme une meute… »
Nelly : « C’est difficile de vivre ! »
Jean : « Oui ! On est seul ! Pourtant des fois tu vois, on rencontre des gens qu’on connaît à peine, qu’on verra peut-être jamais puis, ils vous rendent service ! On ne sait pas pourquoi ! »
Nelly : « C’est parce que les gens s’aiment ! »
Jean : « Non ! Les gens ne s’aiment pas ! Ils n’ont pas le temps !
Nelly : « Moi je vous aime Jean ! »
Jean : « Tais-toi ! Va ! Tu causes comme une enfant ! »
Nelly : « Si je suis sûr que je vous aime vraiment ! »
Jean : «Allons ! Allons »
Nelly : « Faut pas me laisser ! Et sans vous qu’est-ce que je deviendrai ! »
…
Nelly : « Si vous partez, peut-être que vous m'emmènerez ? »
Jean : « T’emmener ? »
Nelly : « Je ne vous plais pas ? Ah il faut me garder ! »
À l’hôtel…
Jean : « T’es belle ! Tu sais ! »
Nelly : « Tu te rappelles ? »
Jean : « Quoi ? »
Nelly : « Cette nuit ! Tu m’as réveillé et puis tu m’as parlé tout doucement ! Tu m’as dit que tu m’aimais ! »
Jean : « Moi je t’ai dit ça ? »
Nelly : « M Mmm »
Jean : « Oh ce n’est pas possible tu rêvé ? Oh les rêves, tu sais les rêves pour moi ? »
Nelly : « Tout le monde rêve ! »
…
Jean : « J’aurais pu te le dire hier soir, je te voyais tellement contente, tu riais et tu me plaisais tellement ! Alors je n’ai rien dit ! »
Nelly : « Tu as bien fait ! Puis les choses auraient été pareilles ! Tu sais ! »
Nelly : « Embrasse-moi ! »
Jean : « Et si tu veux ! Je peux t’expliquer, ce n’est pas compliqué ! Tu peux, tu peux avoir confiance en moi, je ne suis pas si mauvais que ça ! »
Nelly : « Bien sûr tu n’es pas mauvais puisque je t’aime, et puis qu’est-ce que ça fait ! Si tu étais mauvais peut-être que je t’aimerai quand même ! »
…
Nelly : « Alors il faut partir, j’ai étais heureuse avec toi et si je sais que tu es libre, je serai heureuse encore même si tu es loin… »
Jean : « Je ne t’oublierai pas Nelly »
Nelly : « C’est vrai ! »
Jean : « C’est vrai ! Si je peux m’en sortir, eh bien, je t’écrirais et tu viendras… »
Nelly : « Oui, je viendrai ! »
Jean : « Tu t’en vas et je m’en vais, quoi, c’est bête, hein ! On était si heureux tous les deux !»
Nelly : « Jean !"
Jean : « Tu ne peux pas savoir ce que tu me plais ! … Et cette nuit aussi, tu me plaisais ! »
Nelly : « Et maintenant ? »
Jean : « Et maintenant, tu me plais comme cette nuit ! … »
Ils s’embrassent…
« Les enfants des malheurs » ou la révolution annoncée en marche… ou en 2021 une Nation à réconcilier avec ses injustices…
Toutes injustices à son bras armé, sortons les baïonnettes, les temps des premières révolutions, celle de la commune de Paris ou communes insurrectionnelles de France en 1870-1871 ou l’injustice qui faisait loi face « aux enfants du malheur » ou « enfants des malheurs », ont été réprimés violemment avec sévérité par l’ordre imposé en place…
- Adolphe Thiers (1797-1877) Figure emblématique du libéralisme et du conservatisme français, Adolphe Thiers, d’abord avocat à Marseille, vient à Paris en 1821. Il se distingue comme historien et journaliste, partisan d’une monarchie parlementaire. En 1830, après la promulgation des ordonnances de Charles X abolissant la liberté de la presse et modifiant la loi électorale, Thiers rédige la protestation des journalistes et pousse Louis-Philippe sur le trône à l’issue de la révolution de juillet. Il devient conseiller d’État et député. Nommé ministre de l’Intérieur en 1832, il se montre inflexible face à l’agitation sociale, écrase les émeutes républicaines d’avril 1834 à Paris et à Lyon, provoquées par l’interdiction du droit d’association, et fait adopter la loi de septembre 1835… contre les délits de presse. Président du Conseil en 1836, puis en 1840, il doit démissionner au bout de quelques mois, le roi jugeant sa politique extérieure trop agressive. Thiers rejoint alors l’opposition. Aux côtés des républicains. (Extrait du Monde diplomatique - par Olivier Pironet)
La vie des gens en est ainsi, chaque époque ou société telle la société victorienne avec sa domesticité et locataire ou occupant avait ces injustices criantes, jusqu’à l’absolutisme. Ou l’absolutisme total de l’ancien régime en France dont la fin fut pour la Nation française extrêmement violente et conduite la France à une révolution totalitaire sanguinaire lors de l’épisode de la Terreur révolutionnaire du premier citoyen Maximilien de Robespierre.
Avocat et homme politique français né le 6 mai 1758 à Arras (Artois, aujourd'hui Pas-de-Calais) et mort guillotiné le 28 juillet 1794 (10 thermidor an II) à Paris, place de la Révolution (actuelle place de la Concorde). Il est l'une des principales figures de la Révolution française et demeure aussi l'un des personnages les plus controversés de cette révolution au goût de sang…
L’épisode tragique de la Terreur imposé par Robespierre à fait approximativement 50 000 morts parmi les Français et il y eut entre juillet 1792 et juillet 1794, 300 000 arrestations arbitraires…
- Le 26 août 1789 est signée la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, document constitutif essentiel du nouveau régime politique. Dans ce climat électrique, un banquet donné le 1er octobre suivant à l'Opéra royal de Versailles apparaît comme la dernière provocation de la monarchie et de ses représentants.
Les Gardes du corps ont décidé d'organiser un banquet en l'honneur de l'arrivée d'un nouveau régiment : celui de Flandre. Une table de 210 couverts est dressée au parterre de l'Opéra, le vin coule à flots. Des toasts sont portés à la famille royale qui est acclamée à son apparition. L'orchestre joue "Ô Richard, Ô mon roi" de l'opéra Richard Cœur de Lion de Grétry. Ces bruyantes démonstrations de fidélité monarchique provoquent la colère à Paris. Les gazettes transforment le banquet en orgie et avancent que la cocarde tricolore a été foulée au pied.
Certains l'auraient même retournée du côté blanc, symbole du roi. Organiser un banquet quand le peuple a faim, c'en est trop pour Marat, Danton et Desmoulins, qui appellent à marcher sur Versailles.
Le peuple se met en marche sur Versailles le 5 octobre 1789, un cortège de femmes, accompagné de quelques hommes, se rend à Versailles. Le roi, pendant ce temps, chasse à Meudon, et Marie-Antoinette se promène à Trianon.
La nouvelle de la marche se répand dans la ville. On ferme les grilles du Château. La reine, avertie, se retire dans ses appartements ; et le Roi retourne au Château.
Une délégation de femmes est reçue par le Roi, qui multiplie les promesses.
Bientôt, les femmes sont rejointes par de nombreux députés émeutiers, qui rendent compliquée la protection de la famille royale. Dans la cour royale, au pied du Château, la foule crie "À Paris ! À Paris !". (Extrait du texte du site de www.chateauversailles.fr)
De nos jours, nos sociétés en mutations de révolutions technologiques délaissent de plus en plus les moins nantis…
Et renonce au soutien des malheureux, des enfants du malheur…
Une révolution des esprits est attendue, pour une société plus apaisée et plus égalitaire, avec un respect de l’humain, allez vers l’humanisme, valeur précieuse en ces temps difficiles du COVID et de ces violences arbitraires…
Florence, au sang bleu,
rencontre amoureuse, le destin d’une vie…
Au pays éternel, d’une éternelle jeunesse, les amoureux sont au firmament.
Là, ils vivent une vie romantique, aux yeux d’amour, l’un contre l’autre, leur amour unit leurs esprits, soif de découverte et d’envie et d’espoir, l’un à l’autre…
Un regard suffit à leur amour naissant.
Une rencontre aux attraits de leur force, leur jeunesse et l’espoir en la vie pour un accomplissement du présent à vivre pleinement.
Une jeune femme au cœur curieux et aventureux surgit dans votre vie, pour l’éclaircir, en lumière de vie…
Au sang bleu, sans prétention quelconque, elle, sa façon d’être, ses habitudes de son quotidien ont l’attrait versaillais et par son éclat et tradition.
La vie versaillaise à ses embellissements de la vie d’un temps passé, au goût et l'envie d’une vie paisible de l’époque et confort, son environnement de l’esprit tout versaillais…
La vie versaillaise à ses charmes d’antan, paisible par ses atours, un goût esthétique vieille France, le temps s’écoule au fils des aiguilles pour former par ses jardins et l’attirance des lieux, un paradis, où chaque chose à son importance, de goût et d’appréciations d’un quotidien bourgeois, en toute simplicité de vie…
Cette vie à ces prérogatives de l’esthétique et du goût dans son milieu tout en subtilité.
Une vie en bleu, teinté d’un goût plus authentique, le plaisir de vivre sous les jardins aux tracés tout en perspectives infinies du maître des lieux André-Le-Nôtre, la poésie sous les lignes, là où les amours naissantes dans les parterres et bassins de Neptunes aux grandes heures de gloire…
Le plaisir de l’amour, fait jour, sous les feuilles, dans les prairies verdoyantes, au grand et somptueux grand canal, à la platitude apaisante de l’esprit du 18e siècle.
Les bacchanales de l’amour de jeunesse inassouvi…
La jeunesse d’esprit poétique des jeunes années est un bien inestimable, à ceux d’une vie tranquille à l’heure versaillaise, sous le soleil du monarque du Louis XIV à l’ombre de ses grands artistes…
Les mystères de l’âme féminine
ou l’être féminin, un supplément
d’âme joyeux
L’âme féminine est sensible, hyper sensible, le cœur attaché aux douces ou violentes affectations de L’âme, le cœur sont d’une sensibilité excessive et touchante. La vérité sort du cœur, ne peut l’étouffer, il surgit pour faire corps, prend tout son sens.
L’âme féminine ou sa douce affectation révèle l’âme féminine, son ambivalence, sa profondeur d’être, ses combats intérieurs, ses attentes pressantes, qui se font sentir et surgissent, interpelle l’âme, donne ces directives d’être, des tourments de l’âme, de ses impératifs qui font corps.
L’âme féminine est un tout, global, dans son être, en vérité avec soi, pour seule vérité, celle de l’âme.
Les femmes ont le cœur joyeux, aux légèretés de l’être, conjuguent ceux de la beauté d’esprit et du cœur, à ces trop plein de ceux-ci pour seul bonheur existentiel et l’amour des hommes, dans leur attachement.
La Valse des Amours, sentiment du jeune âge…
ou « Les Amants heureux » de Gustave Courbet et
« Les femmes d’Alger » d’Eugène Delacroix
Les
Amants heureux » ou « Les femmes d’Alger » sont un hymne à l’amour des femmes, du premier amour, une Ode au plaisir, à l’Amour charnel.
Hommage, envolée lyrique tout entière consacrée à la beauté féminine, à la féminité, à sa grâce, à ses voluptés généreuses, à l’esprit de la femme, à sa noblesse de cœur…
Les Amants heureux, aussi appelés Les Amants dans la campagne, l'un des premiers titres a été La Valse (Pavillon Courbet de 1855, Paris). La version conservée à Paris s'intitule : Les Amants dans la campagne. Sentiments du jeune âge…
Courbet évoque les amours de jeunesse de deux amoureux ou amants appuyés l'un contre l'autre dans le tourbillon d'une valse, la valse de l’amour…
Le modèle féminin pourrait être son premier grand amour de Gustave Courbet, Virginie Binet, une douce Dieppoise qui l’accompagna vers la gloire pendant plus de dix ans, et du fils qu’elle lui donna…
La peinture révèle les âmes, les atermoiements du cœur, de ses effusions douces ou révèlent les passions humaines avec la violence des sentiments éprouvés, du sens féminin et masculin, toute une histoire qui commença à l’orée de l’antiquité de ses premiers âges du monde, grecque, et des divinités de l’Olympe à celle chargée de l’histoire, des rois et de leurs courtisanes…
Celles-ci à l’image de Zeus qui enfanta des demi-dieux ou demi-homme, la femme est source éternelle et multiple d’inspirations et de vies…
L’homme par rapport à la féminité n’est que son pygmalion, qui décoche des flèches en plein cœur de l’être aimé pour éprouver ses passions qui excellent à sa finitude que peuvent être dans sa démonstration et son caractère et sa rareté exceptionnels qu’est peut-être l’art, le grand art.
Ce que peut-être un chef-d’œuvre, son essence, son luxe, son épure, sa valeur unique, que l’on ne peut dupliquer par son caractère très singulier, celui des êtres et de l’amour des femmes, de sa douce inclinaison à la beauté et à la grâce, à l’Amour, à l’amour des êtres…
« Le chant de la Poésie »
aux profondeurs de soi… une vie de joie
« La poétique du chant » vous enchante, illumine votre vie, la vie en rose aux harmonies fleuries des couleurs chatoyantes, au bleu teinté de rose poétise votre esprit, harmonie somptueuse au goût d’un bouquet d’arômes fruités explose, un délice sucré de la vie poétique.
Un nuage léger d’une confiserie cotonneuse bleu-rose succulente - cotton candy , fond en bouche instantanément, s’évanouit pour en révéler ses saveurs subtiles pétillantes…
Cette vie poétique, un rêve éveillé au roman d’amour, d’une vie, d’un amour, un épanouissement total, libre de sentiments romantiques profonds. Une vie érotisée des sens, éveillés, vous libère, à la pureté vraie, d’une sensualité épanouie, éclaire votre être, votre esprit libre, insoumis, une vie de joie.
Votre monde vous enchante, une vie naissante, vous renaissez, un monde neuf est à vous, telle Bonnie and Clyde ou Jules et Jim à la conquête irraisonnée de Kathe…
L’amour pour amie dans une vie aux accents poétiques.
Mounia Belle du jour
ou le désir, le vœu, le rêve, et l'espoir…
Mounia signifie le désir, le vœu, le rêve, et l'espoir…
Femme être d’imprévu, trésor caché aux facettes multiples, diamant d’exception tel est l’être féminin, on ne finit pas de le découvrir son être unique et multiple.
Ton sourire invite à prendre connaissance, sensibilité et générosité habillent ton regard mystérieux et rempli de séduction toute féminine, aux éclats brillants d’un soleil du sud chaleureux.
Ta joie de vivre empreint d’une gravité magnifie ta personne.
Femme être de passion, ou raisonne mille envies invitent au rêve, d’une terre lointaine, îlot dispersé au large des flots ou s’évanouit les rêves des voyageurs, caractère unique fait tinter une mélodie douce et joyeuse aux rêves les plus doux, au triomphe des âmes et cœurs conquérant.
Être de vie multiple ou rêve d’une source aux bienfaits salvatrice, esprit vif et curieux tel que cupidon vous touche au plein cœur, cœur rayonnant, soleil, soleil brille à l’horizon, irradie les êtres en quête de paradis joyeux…
Espoir, rêve, aux vœux multiples, irradie les cœurs.
Marilyn Monroe l’Ange Blanc -
Rêve de gloire d’un ange de l’innocence ou le tourment fatal d’une âme à la recherche de l’Amour.
Marilyn veut être une artiste… Une vraie… Pas Norma Jeane Baker…
Hollywood, le cinéma c’est prendre, encore prendre, la prise au cinéma… À qui appartenez-vous insista Greenson, j’appartiens à la peur, la peur d’être prise, à la peur de ne pas être prise… Première prise coupée, Deuxième prise coupée. Marilyn « Dernier », le clap de fin… Marilyn, je suis un être à prendre, elle paye de son âme…
Certaines Stars sont comme les Étoiles, leurs lumières nous parviennent encore, mais elles ont déjà cessés de briller, elles sont mortes…
Marilyn est finie… Fin de partie… Une vie passionnelle avec Ralph Greenson son psychanalyste… La tragédie de Marilyn, la beauté réincarnée en Ange aux multiples addictions de toutes sortes… Une peur des hommes, un désir de séduction, pour se livrer au premier venu…
Marilyne pleure ; « j’ai joué Marilyne Monroe, Marilyne, toujours Marilyne, je me parodie… Je rêvais de pouvoir m’éloigner de Marilyne Monroe, et je me retrouve en train de faire la même chose… Je veux sortir de là… »
Lorsqu’elle apprend le décès de Gable, elle n’en parle à personne, elle n’assiste pas aux obsèques. Elle confie à Greenson ; « je l’aimais avec passion quand je l’embrasse devant les caméras, je voulais simplement qu’il sache combien je l’aimais… J’aurais voulu qu’il soit mon père et qu’il me dise que j’étais la petite fille qu’il aimait… »
Après son internement… Elle appelle Joe DiMaggio, elle ne lui a pas parlé depuis six ans, il arrive aussitôt à son chevet. À la sortie de la Clinique quelques jours plus tard, elle affronte une nuée de journaliste et photographe, l’encercle et l’assaille de questions… Elle apparaît défaite, désorientée… Un cauchemar dont elle a peine à s’échapper…
Elle décide de revenir à Los Angeles de façon définitive, la ville où elle est née et où elle n’aurait pas voulu mourir pour rien au monde… La ville où elle mourra…
Le 1 juin 1960 à 35 ans, elle se dit pleine d’espoir, elle sait qu’elle ne sera jamais heureuse, mais au moins qu’elle peut être gaie…
De quoi vit-elle ces derniers mois, de quoi meure-t-elle ? Trop de sexe, trop de psychanalyse finalement comme une drogue dont elle ne peut pu se passer…
Greenson est effrayé par ses rencontres d’hommes aux hasards dans la ville… Il juge Marilyne perdue pour la psychanalyse… Il a peur de ne pas pouvoir la sauver… de précipiter sa fin… Comme un noyé qui entraîne son sauveur avec lui, elle attire Greenson vers le fond, toujours plus bas… vers le sombre, vers le vide…
Maintenant avec elle, il improvise… Il franchit presque toutes les limites… Il incite ses propres enfants à devenir ses amis, il la laisse l’appeler la nuit, la voie tout le temps…renonçant à ces autres patients, il l’héberge parfois chez lui. Le jeu s’affole, chacun démolit l’autre…
Greenson qui voit déjà Marilyne dans des séances de 4 heures d’affiler va désormais la recevoir aussi en soirée…
Mais si la fin allez venir d’un autre côté, les Kennedy, le Président et Boby son frère, le ministre de la Justice, marié et père de 7 enfants… C’est un type de comportement autodestructeur que Greenson souhaite lui faire abandonner…
Un tumulte, la mort d’une tragédie en suspens, qui la menace, elle sombrait dans le désespoir mortel… « Je sens la vie de plus en plus proche… Alost ce que je veux c’est mourir… » L’envie de mort, surgie de nulle part… Mourir, pourquoi, pour qui ?
La tragédie l’attendait au tournant, elle demandait à Greenson à quoi servait la nuit, sa réponse à elle était… « à attendre… » ; à dire à l’autre revient, l’autre n’était personne… il s’appelait librium, nembutal, et demerol…
Mais quand Greenson lui demande avec brutalité pourquoi avez-vous peur d’être filmé ? Et avez-vous tellement envie d’être photographié ?
Elle avait peur quand elle devait parler, dire des mots devant l’œil de la caméra…
Mais quand elle sentait, qu’elle sombrait, elle ne voulait qu’une chose, n’avait qu’un recours, se faire prendre en photos… En photo, on la prenait en silence, sans phrase…
Marilyne et le Président, la riposte, Edgard Hoover patron du FBI, mais en garde les Kennedy sur la dangereuse collusion à l’égard des amis Marilyne, la mafia, et eux… Car Marilyne est la maîtresse de John, et de son frère Boby… Et pour amant un scénariste de gauche José Bolaños… Edgard Hoover s’inquiète de la voir fréquenter des rouges… Elle est mise sur écoute… Elle reçoit des menaces, on lui fait savoir qu’elle ne doit plus s’occuper des frères Kennedy…Elle est au bord de la dépression…
En février 1962, Marilyne achète une maison dans le quartier de Brentwood, a mis distance des studios et de la villa de son Analyste… Elle veut maintenant une maison à elle, c’est la réplique de la maison de Ralph Greenson. « Cette maison sera l’enfant que vous n’aurez pas eu… Le mari dont vous avez divorcé… » Dit-il ?
Marilyne installe son piano blanc dans son salon, elle y revenait comme vers un ami perdu, elle aimait le caresser du bout des doigts, quand les gens devenaient sourds, et la vie invivable…
Un dernier film, la dernière maison pour faire plaisir à Greenson, ça fait un peu page tournée…
La Fox lui annonce qu’elle doit tourner « Quelque chose doit craquer ! » avec George Cukor, Greenson négocie pour elle un cachet important et pour lui un poste de conseiller spécial pour le film… C’est lui qui choisira les images pour le montage. Elle assiste à la cérémonie des Golden Globes awards, elle y apparaît en compagnie de son amant mexicain José Bolaños, pâle amaigrie, ivre et le dos dénudé pas une robe soie verte, beaucoup pense alors que Marilyne est finie… Fin de partie…
Greenson dit que la vie ressemble à un échiquier ou un coup mal joué oblige à donner la partie pour perdue…A cette différence, que dans la vie, il n’y a aucune possibilité de revanche… Au cours de ses dernières années de sa vie, leur relation devient passionnelle Greenson veut incarner le père qui lui a tant fait défaut, elle lui téléphone jour et nuit, pour discuter de ses rêves, de ses angoisses… Il craque et au mois de mai, il part pour l’Europe… Marilyne est décomposée, elle achète un magnétophone et s’enregistre chez elle dans le noir, dans la nuit. Elle veut faire entendre à Greenson une parole libre… Ce sont ces bandes que John Miner a transcrites et portées une quarantaine année plus tard au journaliste du Los Angeles Times…
Les débuts de « Quelque chose doit craquer » sont un vrai cauchemar, Marilyne est persuadée que Cukor la déteste et elle menace de se suicider… Elle quitte le studio en pleine prise de vue…
New York, 18 mai 1962, elle doit chanter au Madison Square Garden pour fêter les 45 ans du président des États-Unis, le studio menace de la renvoyer… Le soir de son arrivée, New York est une fête dont elle est la reine…
Un échiquier qu’elle domine par sa beauté, d’une tragédie annoncée, elle joue des coups imaginaires, le roi blanc absent, Gladys une mère reine noire, Maryline la reine blanche, Ralph Greenson cavalier blanc et noir, Les Kennedy deux fous noirs…
À son Hôtel, un télégramme de la Fox met fin à son contrat… Troublé elle assure difficilement les répétions… Elle a du mal à dire pour la 30e fois « Happy birds day to you !... » Le metteur en scène a peur de cette voie de peine qu’il entend monter d’elle, de se souffle éteint.
Marilyne Monroe est heureuse comme une enfant admise parmi les grandes personnes, une fille qui a passé sa jeunesse dans la misère est incapable de résister à l’honneur qui lui est fait, elle a payé mille dollars pour y assister…
Elle surgit du noir sur la scène du Madison square Garden, titubante, comme encombré de ses formes offertes dans une robe de tissus transparents… Le présentateur : « Monsieur le Président… The Late Marilyne Monroe ! ».
The Late Marilyne Monroe, signifie en retard, mais aussi décédé, elle a réalisé son vœu être en retard à son propre enterrement… Sa parole est une caresse de plaisir, son champ chargé de plus en plus chargé de sexe, donne à voir, et à entendre une parodie d’elle-même…
Après le spectacle, Boby Kennedy s’agite comme un papillon de nuit autour d’une flamme, mais au petit jour c’est John qui entraîne Marilyne directement dans sa suite à l’hôtel Carlyle…
Elle ne reverra jamais John Kennedy, après cette nuit, ils décident de rompre et de nier toutes les rumeurs… Les photos de la soirée sont saisies par le FBI…
Marilyne revient sur le plateau, et fait savoir à Cukor qu’elle est prête à tourner… Chacun réalise qu’elle est malade et qu’elle est épuisée…
Elle tourne la scène de la piscine, elle tourne nue, Cukor la laisse faire comprenant que pour la publicité du film, c’est une chance à ne pas rater…
Des photographies nues, elle en avait fait lorsqu’elle était starlette, ce n’est pas le corps qui lui fait honte, c’est la parole… Elle pense que c’est son visage qui exprime les mots qu’elle ne peut pas dire… La peur des mots… Comme si elle ne voulait pas les lâcher… Le 1er juin la production refuse que l’équipe lui souhaiter son anniversaire… passant outre à 5 heures du soir quelqu’un entonna bon anniversaire Marilyne, elle a 36 ans, il ne lui reste qu’un mois à vivre…
Elle reste des heures devant son miroir à guetter les signes de l’âge, elle a recours à des crèmes à base d’hormones, à des injections de produits de jouvences…
Il serait plus facile d’éviter la vieillesse et de mourir jeune, mais alors qui finira votre vie. Qui sera qui vous êtes, elle lui dit qu’elle n’y arrive pas, que sa psychanalyste ne l’aide pas, que son métier d’actrice n’est pas un problème, mais que c’est la seule solution qu’elle a trouvée pour résoudre les autres problèmes…
Elle lui dit qu’elle ne veut plus dépendre de lui… La dernière partie de Marilyne se joue maintenant…
Avec son psychanalyste, tout ne m’appartenait pas Marilyne, pas plus que je vous appartiens ! Réfléchissait à qui apparteniez-vous ? ; « J’appartiens à ceux qui veulent me prendre… »
Hoover, Kennedy, la Mafia pour un scandale avec le président, James Dougherty, Joe DiMaggio, Laurence Olivier, Tony Curtis, Yves Montand, Arthur Miller, Clark Gable, Marlon Brando, José Bolaños… au bord du précipice, de la dépression mortelle… Un meurtre… Le meurtre de Marilyn, cinéma, argent, politique, psychiatrie, sexe, drogue…
La partie d’échecs se termine sans vainqueur, tels sont les pièces d’un joueur qui s’appelle la mort… qui gagne toujours…
Maryline une enfance à côté, Gladys une mère sans amour… À l’époque, je disais qu’elle était morte, pour ne pas dire qu’elle était folle, Marilyne se raconte en pauvre petite fille assise devant le studio de la RKO, ou sa mère monteuse s’abîmait les yeux à regarder les visages des stars. La semaine Gladys, lui donné de quoi payé son ticket d’entrée dans les cinémas de Sun Set boulevard, le dimanche sa mère l’emmener faire le tour des palaces d’Hollywood, les palais de l’image ou Norma Jeane triompherait plus tard…
Manque d’amour, manque d’enfants… le mal est là…
À Los Angeles, « la cité des Anges », le 5 août 1962, vers trois heures du matin, l’ange déchu dans sa chute inexorable se meurt, d’un cocktail mortel d’un puissant barbiturique, la table de nuit parsemée de boîtes de comprimés, et là sur le pied du lit un flacon vide du poison mortel…
Le psychiatre Ralph Greenson alerté est arrivé là sur les lieux, Marilyne gisant sur son lit, là, immobilisé…
Telle une statue transformée en pierre par une gorgone poursuivant Persée ou s'élève des cris s'échappent, cri aigu, inhumain, c'est celui qu'outre-tombe font entendre les morts dans l'Hadès…
Jean Cocteau a déclaré que sa mort devrait être une terrible leçon pour tous ceux dont le travail consiste principalement à espionner et à tourmenter des stars de cinéma.
Los Angeles août 2005, Plus de 40 années plus tard le journaliste du Los Angeles Times, s’interrogeais toujours sur les révélations que John Miner venait de lui faire… Il savait que la vérité se trouvait dans ses contradictions, dans ses fragments de dialogues, ses faux raccords d’images. Il décida qu’il allait publier le récit de John Miner tel quel sans mettre en doute sa véracité, il n’était pas sûr du titre : « Maryline dernière séance… ».
Extrait Wikisource : Années 2000 - John Miner, Matthew Smith - les allégations de John Miner selon lesquelles la mort de Monroe n'était pas un suicide ont reçu plus de publicité dans les années 2000, lorsqu'il a publié des transcriptions qu'il prétendait avoir faites à partir de cassettes audio enregistrées par Monroe peu de temps avant sa mort. Miner à affirmer que Monroe avait donné les cassettes à son psychiatre Greenson, qui l'avait invité à les écouter après sa mort. Sur les bandes, Monroe a parlé de ses projets pour l'avenir, ce qui, selon Miner, est la preuve qu'elle n'aurait pas pu se suicider. Elle a également discuté de sa vie sexuelle et de l'utilisation des lavements; miné à alléguer que Monroe avait été tuée par un lavement administré par sa gouvernante. Les allégations de Miner ont été critiquées. Lors de l'examen officiel de l'affaire par le procureur de la République en 1982, il a informé les enquêteurs des enregistrements, mais n'a pas mentionné qu'il en avait des transcriptions. Miner a affirmé que c'était parce que Greenson l'avait juré de se taire. Les bandes elles-mêmes n'ont jamais été retrouvées et Miner reste la seule personne à affirmer qu'elles existaient. Greenson était déjà mort avant que Miner ne soit rendu public avec eux.
La biographe Lois Banner connaissait personnellement Miner parce qu'ils travaillaient tous les deux à l’Université de Californie du Sud ; elle a en outre contesté l'authenticité des transcriptions. Miner avait une fois perdu son permis de pratiquer le droit pendant plusieurs années, a menti à Banner sur le fait d'avoir travaillé pour l’Institut Kinsey, et avait fait faillite peu de temps avant de vendre les transcriptions présumées. Il avait d'abord tenté de vendre les transcriptions à Vanity Fair, mais lorsque le magazine lui avait demandé de les montrer à Anthony Summers pour les valider, il était devenu évident qu'il ne les avait pas. Les transcriptions, que Miner a finalement vendues à l'auteur britannique Matthew Smith, ont donc été rédigées plusieurs décennies après qu'il ait prétendu avoir écouté les bandes. L'affirmation de Miner selon laquelle la femme de ménage de Monroe était en fait son infirmière et lui administrait régulièrement des lavements n'est pas non plus étayée par des preuves.
Matthew Smith a publié les transcriptions dans le cadre de son livre Victime: les bandes secrètes de Marilyn Monroe (2003). Il a affirmé que Monroe avait été assassinée par la CIA en raison de son association avec Robert F.Kennedy, car l'agence voulait se venger de la façon dont les Kennedy avaient géré l’Invasion de la baie des Cochons. Smith avait déjà écrit sur le sujet dans son livre précédent, les hommes qui ont assassiné Marilyn (1996). Notant que Smith n'a inclus aucune note de bas de page dans son livre de 1996 et seulement huit dans Victime, Churchwell a qualifié son récit de «tissu de conjectures, de spéculations et de pure fiction comme fait documentaire» et «sans doute le moins factuel de toutes les vies de Marilyn». Les transcriptions de Miner ont également été discutées dans un 2005 Los Angeles Times article.
Les Yeux d’elle
Yeux d’amour, femme au regard épris, aux étoiles du cœur, aux goûts enchanteurs, rose d’amour, rose parfumée embaument les êtres amoureux en quête des cœurs…
Prunelle d’amour, au regard captivant.
L’âme et le cœur y reflètent, miroir de l’être ou l’amour vous accroche.
Les yeux ou le regard cristallin des femmes vous ouvrent les portes de l’âme féminine, sa légèreté, sa beauté, sa présence jusqu’aux pointes des longs cheveux de la coiffure romantique des femmes.
La douceur de l’âme, son être vous éclaire, vous attire, vous fascine, vous charme…
La présence féminine vous fait sensation, vous fait impression, une douce impression de l’être sensible vous éclaire, vous tiens sous son charme délicat, vous enflamme les passions.
Les yeux d’elle, d’amour, oiseau virevoltant de la passion des cœurs déchaînent les sentiments amoureux.
Locataire de nos vies,
au miroir de notre être…
Nous sommes locataires de nos vies, nous seuls sommes les messagers de nos vies, de passage dans ce monde des vivants.
Une vie bien pleine, bien remplie, suffit au bonheur de celle-ci, de sa plénitude, de son accomplissement de vie.
La vie pour seule raison et finitude… La vie à ses raisons, ses priorités et ses exigences et ses desseins qui prévalent, agrémentés une vie complète…
Le miroir de nos êtres est nos âmes où résonnent l’essence de nos êtres, la beauté de nos sentiments, de nos amitiés et amours, de notre gaieté de notre âme, seul héritage que l’on transmet pour seul bien, bien immatériel, d’une valeur inestimable…
Au miroir des âmes, nous voyageons dans ce monde, au travers du temps, sans limites de notre univers aux éclats des étoiles du ciel, porte d’un monde inexploré ou les âmes volent librement, des milliards d’étoiles sont leurs messagers ou l’humanité spectateur de cette incroyable beauté d’un univers immense au secret virginal…
« Le cristal temporel »
au monde quantique de l’informatique, à la Physique Fondamentale.
Révolution annoncée à l’orée avant-gardiste
d’un monde futuriste en marche…
« La poétique du monde » à celle d’un monde avant-gardiste futuriste inexploré…
Physique Quantique - « Un cristal temporel » est une structure périodique dans le temps et l'espace. Il étend l'idée de cristal dans la dimension temporelle, autrefois considéré comme impossible…
La science à ces contradictions qui défie les lois de la pensée, les lois du réel, les seules lois de la physique générale elle-même, de l’inconcevable, de l’impossible, de l’inattendue à l’existence réelle.
« Le cristal temporel » idée développée et révélée, son inventeur, ce type de cristal temporel avait été prédit par le prix Nobel de Physique théorique, Franck Wilczek en 2012.
Les cristaux de temps défient toute attente : c'est là qu'intervient le processeur quantique de Google, Sycamore. Il est bien connu pour avoir atteint la suprématie quantique, et les utilisateurs actuels cherchent maintenant une sorte d'application utile pour l'informatique quantique…
Les chercheurs estiment que cette découverte pourrait bien offrir un incroyable potentiel et que nous ne sommes qu'à l'origine de ce nouveau domaine…
Google affirme avoir créé un cristal temporel dans un ordinateur quantique par WILLIAM ZIMMER, le 6 août 2021.
Une phase unique de la matière appelée « cristal de temps », qui peut en théorie basculer entre deux configurations pour toujours sans apport d’énergie, a été créée dans un ordinateur quantique construit par Google.
L’équipe de Google serait parvenue à créer des « cristaux temporels » défiant les lois de la physique à l’aide de l’ordinateur quantique Sycamore de la société, selon une étude publiée chez ArXiv.
Les cristaux temporels ne sont rien de moins qu’une nouvelle « phase de la matière », selon les termes des chercheurs.
Celle-ci est théorisée depuis quelques années déjà comme un nouvel état qui pourrait potentiellement rejoindre les rangs des solides, des liquides, des gaz ou encore du plasma. Dans les quatre phases, les atomes sont bloqués dans l’état d’énergie le plus bas permis par la température ambiante, et ils ne changent pas avec le temps.
Les cristaux de temps sont les premiers objets jamais créés qui brisent spontanément la « symétrie de translation du temps »…
Jusqu’à présent, un objet stable se déplaçant dans le temps devait rester le même, mais ce n’est pas le cas des cristaux de temps.
Ils sont à la fois stables et en perpétuel changement…
Comment a fait Google pour créer un cristal temporel ?
Pour créer un cristal temporel, Google aurait utilisé son ordinateur quantique Sycamore. En 2019, cet ordinateur quantique avait accompli en 200 secondes une tâche qu’un ordinateur ordinaire aurait mis 10 000 ans à résoudre, grâce à un processeur de 53 qubits. Les chercheurs avaient indiqué que le service de cloud de Google aurait mis mille milliards d’années à effectuer un calcul identique.
Google affirme avoir pris un damier avec toutes les pièces rouges d’un côté et toutes les pièces noires de l’autre et avoir métaphoriquement frappé la table de manière à intervertir parfaitement les deux côtés sans dépenser la moindre énergie.
Pour l’instant, on ne sait pas exactement à quoi pourrait servir une telle technologie, mais devrait quoi qu’il arrive révolutionner notre société une fois qu’elle sera maîtrisée.
En physique pur ; pour comprendre pourquoi les cristaux temporels sont intéressants, il faut avoir quelques notions de physique. Et notamment connaître la deuxième loi de la thermodynamique. Elle stipule que les systèmes tendent naturellement vers un état ayant l'énergie la plus faible possible, également appelé équilibre thermique.
C'est pourquoi un glaçon fond dans un verre d'eau à température ambiante, par exemple. Cette tendance irrésistible à l'équilibre thermique, décrite dans la deuxième loi de la thermodynamique, reflète le fait que toutes les choses tendent à évoluer vers des états moins utiles et aléatoires. Au fil du temps, les systèmes dégénèrent inévitablement en chaos et en désordre, une notion connut sous le nom d'entropie.
Les cristaux de temps, en revanche, ne parviennent pas à s'installer en équilibre thermique. Au lieu de dégénérer lentement vers l'aléatoire, ils restent coincés dans deux configurations à haute énergie entre lesquelles ils passent - et ce processus de va-et-vient peut durer éternellement, dans ce que les scientifiques appellent le "mouvement perpétuel".
Les cristaux spatiaux, c'est-à-dire les cristaux au sens usuel brise la symétrie par translation spatiale : ce sont des arrangements périodiques d'atomes ou de molécules et ils ne sont pas invariants par translation ou rotation arbitraire, contrairement aux lois de la physique générales, et contrairement à la plupart des liquides ou gaz.
En octobre 2016, des chercheurs de l'université du Maryland déclarent avoir créé le premier cristal temporel discret (discrete time crystal, ou DTC) à partir d'une chaîne de dix ions Yb+ (ytterbium) dans un piège de Paul. Un des deux états de spin a été sélectionné par une paire de faisceaux laser. Les chercheurs ont observé des oscillations périodiques et synchronisées des spins étudiés.
À la différence des atomes de cristaux normaux, qui sont stables (c'est-à-dire résistants aux changements dans l'espace), les cristaux temporels ne peuvent exister à l'équilibre thermique (dans un système hors d'équilibre de type Floquet soumis à une excitation périodique qui donne des corrélations temporelles à des fréquences sous harmoniques de l'excitation) et donc nécessitent pour maintenir leurs oscillations un apport extérieur d'énergie qui fait apparaître les oscillations du cristal temporel, dans des conditions intrinsèques hors d'équilibre.
Cette découverte présente un intérêt pour l'informatique quantique.
La Singularité des Êtres,
l’essence des âmes ou l’Art
L’être est singulier de par son existence individuelle, son parcours de vie, par les traits de sa personnalité. Le monde est une multitude de singularités, d’appartenance à leur vie, à leur culture, à leurs âmes, à leur identité…
L’homme est multiculturel, à sa singularité très personnelle, ce qui fait la force des êtres tel « Crazy Horse » ( Chef indien Lacotas – Sioux ) seul chef indien qui bouscula et interpella dans sa singularité l’Amérique blanche de son époque.
Tel la musique, qui révèle l’âme des êtres jusqu’au tréfonds de leurs êtres, l’âme est une symphonie unique et universelle à la fois. Cette douce musique en révèle, son essence telle que peut faire l’art, qui est un et unique.
L’âme alors résonne au Très-Haut, pour en déceler sa quintessence, lumière puissante au fond des cieux qui révèle l’être.
Là dans l’obscurité du monde et son désordre anarchique brutal, c’est une lumière divine ou l’essence de l’esprit touche au plus profond, l’essence du divin, l’âme-esprit, qui voyage telle une mélodie, résonne dans les cœurs, vol de territoire en territoire, survole, sans frontière, sans espace clos, vol au grès des vents semer l’esprit consacré.
Dans son essence pure et noble, d’un blanc immaculé rayonne telle l’éclat, les scintillements des astres solaires d’un être surpuissant, éclatant dans sa vérité première, inaccessible au mortel, surnaturel, un territoire vierge aux frontières d’un monde inconnu…
L’âme divine, pure et naturelle ou l’art est révélé.
À la gloire de l’Olympe ou
l’âme sublimée du Poète
L’âme du créateur, de l’artiste, génie consacré, tutoie les anges, les esprits divins, frappés par les dieux, jusqu’au très haut pour être touchée par l’inspiration, vol parmi anges jusqu’aux cieux, au bleu d’azur, accroche les esprits créateurs pour égaler les esprits des cieux, l’inimaginable, le génie, toucher l’esprit céleste, le miraculeux, la poésie des dieux, là sous les arches du domaine des divinités, concurrencer la gloire de l’Olympe.
L’âme divine du poète éclaire les esprits, prend tous les risques, sans peur, intrépides, vol à tous les dangers, ne se résigne pas à la difficulté, affronte les importunités du moment pour les sublimer, les dépasser, convoquer les âmes maudites, au royaume d’Hadès, au tréfonds des enfers, au royaume des morts, fournaise infernale, insupportable, revenir des abîmes en vainqueur du pandémonium au-delà du styx.
Le poète est au panthéon des intellectuels en mal des contingences aliénantes du présent, de ces tyrannies, obligations, nécessités et servitudes de la vie qui vous oblige, qui vous aveugle.
Sublimer le présent art du séraphique, perfection hors de ce monde, de l’ordre archangélique, tutoyer les anges, rose oranger dans une explosion de couleur acidulée, extraite d’un opiacé, au voyage improbable vers les limbes, aux cieux, a l’Éden, aux champs Élyséens de l’empyrée, au royaume des cieux des esprits éthérés du divin.
Cher Fragonard ou
l'innocence de l'art galant
Ton temps des lumières est très inspirant, ou l’âme humaine est soulignée non sans ingéniosité à la légèreté d’être tu es sans pareil.
Tout en poésie légère, les sujets sont suggérés avec délicatesse, pour y voir la beauté et le côté léger de la scène sans y voir un sujet scabreux ou malsain qui éloignerait son esprit pétillant, et insolent. À l’image de la société du 18e siècle et l’amour galant, ou le goût des plaisirs et de l’esthétique de la nature.
Le goût charmant pour la gent féminine et ses plaisirs charnels dessinés avec goût et légèreté.
On y devine avec une malice non dissimulée les joies de l’amour galant.
Heureux, Comte et Comtesse où femmes de petite condition se livrent aux joies suggérées par des scènes légères inattendues, l’envie d’érotisme assumé en toute liberté ou règne une innocence tout angélique.
Un ange passe ou plutôt des angelots tout baroque pour souligner l’art du temps ou la préciosité de ce 18e siècle amoraliste et libertin.
Renoir fait hommage à ce cher frago dans ses tableaux avec cette liberté, et cette légèreté poétique dans les regards féminins ses attitudes subtiles et sensibles de l’âme féminine ainsi que Jean Renoir fils, réalisateur du cinéma français naissant, aux extraits des balançoires telles dans les tableaux galants majeurs de Fragonard de son art.
Ainsi que les peintres impressionnistes qui reconnaissent en Fragonard, l’un des premiers impressionnistes par sa facture et les rapides touchés de pinceaux.
Puis Jean-Jacques ROUSSEAU, le romantisme né en cette fin de 18e siècle où Fragonard s’engouffre, sa peinture évolue avec des tons plus évanescents aux couleurs subtiles évaporées, ses tableaux deviennent plus sérieux, avec des amoureux ou prévalent l’idée du mariage, des amants dans leurs plénitudes.
L'âme romantique exprime une sensibilité exacerbée, un mal de vivre, un goût prononcé pour la passion, le lyrisme, l’irrationnel, le mysticisme, le rêve, l’imagination.
Ou le romantisme n’est pas une école, mais un courant de sensibilité et de pensée qui va trouver son apogée dans son expression au 19e siècle.
Groupe de résistance FTP - MOI
« La France d’abord »
La Résistance à Vichy et Jean MOULIN
La résistance armée face aux envahisseurs et la « collaboration » active du gouvernement de Vichy avec la création des groupes de résistance organisés dans le Nord à Paris puis dans la Zone Sud par les FTP et l’AS (Armée Secrète) cher à Jean Moulin figure majeure de l’opposition de la collaboration de Vichy et à l’envahisseur ceci dès avril 1942.
« Nous ne sommes pas des héros. Il ne faut pas croire que nous n'avions pas peur. Nous avons résisté parce que nous en avions la possibilité : pas de famille, pas de travail. Et parce que nous aimions la France. Elle nous avait adoptés. Mais il faut imaginer dans quel état nous étions. Pour ma part, je ne mangeais pas. Je n'arrivais pas à avaler, j'avais comme une boule dans la gorge. Je ne dormais pas non plus et si, par épuisement, je finissais par sombrer, je ne faisais que des cauchemars. À la fin de la guerre, je faisais quarante kilos. » - Arsène Tchakarian.
« L’Appel du son du cor »
- À la résistance sous toutes ces formes face aux mépris, à la maltraitance, aux abus de toutes sortes, à l’esclavage de toutes sortes, à l’anéantissement social du peuple à son asservissement, ce qui vaux aux années de 1940 est réel maintenant, encore aujourd’hui, sous d’autres formes insidieuses de la soumission du peuple aux forces de l’argent et élite dirigeante économico-politique et social… Stop, dire non !!! …
L’envahisseur n’est plus, mais les collabos ou les instances de la soumission du peuple sont restés en place face aux forces économiques de l’argent roi…
Espoir, Désespoir
La vie en rose, de couleurs multiples, feu d’artifice, bleu, rose, magenta, violet, vous éclate comme un bouquet fleuri. Lumières jaillissantes, brillent de tout feu, diffusent une multitude d’impressions nuancées, oriflamme brûlante, irradie comme un arc-en-ciel de sensations émotionnelles fortes.
L’espoir vous accroche à la vie, fil de vie, sans fin, suit les aléas, les tumultes, les joies, les obstacles de tout genre, vous trébuchez, vous tombez, vous vous relevé mille fois encore, sans cesse, sans renoncer, la vie à tout prix, les mauvais faiseurs, acrobate, jongleur, équilibriste sur le fil de la vie, fait mentir les obséquieux outrageant, vil et servile, la liberté pour la vie, la vie à tout prendre, sans cesse, allez de l’avant, franchir les obstacles, jamais ne s’arrêter,
vivre enfin !!...
Désespoir, vie attachée clouée, emprisonnée, vie de renoncement oublier le bonheur, les forçats du bagne su leur labeur, la tâche n’en finit pas, ciel sombre, plombé de cumulonimbus, altocumulus, cumulus, stratocumulus de toutes sortes vous accablent, vous plongent dans l’obscurité, paysage monochrome charbonneux, aux tristesses de la vie qui coure, fil dans vos mains, glisse, s’échappe, vous fait un pied de nez, se rie de vous, vous maltraite, vous malmène, la vie se raille de vous, vous tourmente, tel l’orage annoncé.
Une accalmie se fait poindre à l’horizon, funeste destin, la vie est une comédie de joie et de pleurs, Casanova d’esprit, fuir les plombs de Venise.
La Valse du poète
La Valse du poète ou la course éperdue à l’amour, et des mots aussi, tel Cocteau l’Oiseau de feu à l’esprit de liberté de la poésie réincarnée, magicien aux pays fantastique, de l’irréelle, coure à l’amour philosophique, chante les mots, valses de la poésie, du monde enchanteur.
Les amoureux tragiques transformés en massif de pierre, à la rose du cœur embaume l’amour des êtres de fuites, aux cœurs perdus.
Le génie fantastique, au conte extraordinaire, à la vie poétique enchante une poésie surnaturelle ou la vie enchante, trompe la vie funeste des ensorcellements maléfiques aux héros tragiques.
Renée Fleeming – Une voix Dorée
Messiaen poème symphonique – Auditorium de Lyon
Une voix douce et dorée qui survole l’orchestre.
Le chef d’orchestre Alan GILBERT très en rythme, à la gymnastique cadencé audacieuse…
Alan GILBERT – Auditorium de Lyon
Symphonie n° 4 « Romantique » - Anton Bruckner
Bruckner la flamboyance et le velours, une musique très riche, pleine de contraste chaud, le chef d’orchestre magistral, tout en grande maîtrise de ses effets et rythmes, personnalités et respect de l’œuvre.
Bruckner un vrai voyage vers l’extraordinaire, un monde tout en relief, vertigineux en caractère, force et douceur veloutée. La puissance est là, joue subtilement en toute légèreté, riche, sucrée, soyeux en embellissement de grâce, les 1ers violons avec une très grande maîtrise, des rappels à l’œuvre saisissante aux ornementations d’or, le chef picore, donne en rythme, la cadence puissante. Les rappels de la mélodie agréable roulent sans faillir…
La chevauché cavale, traverse de voyage de paysage en paysage en progression fulgurante, le chef initie la puissance, l’intensité, la force, déploie toutes les harmoniques, mène son orchestre avec flamboyance et luxe de précision musical, il emmène les musiciens vers la plénitude de l’œuvre, c’est un voyage luxuriant qui nous fait traverser le chef, d’un coup harmonique, retenti, raisonne, éclate avec puissance et fermeté, attaque la mesure avec dynamisme, la mélodie devient romantique, puis change en éveil et alerte.
Le chef d’orchestre Alan GILBERT est au service de l’œuvre, survole la musique vers des hauteurs insoupçonnées, vers des envolées lyriques extraordinaires.
La culture un Luxe
indispensable et inestimable
pour l’Homme et la Femme
en ce monde désolé
Retranscrire les émotions... L'art un bien inestimable, le prix pour ce qu'il est, un mieux pour le bien être, un bien en un mot pour la Culture...
La culture est devenue une chose délaissée, non prioritaire alors que c'est une chose essentielle dans la vie des hommes et des femmes, pour leurs accomplissements, celle d’une vie.... Et ceci avant toute chose... De façon très prioritaire, au contraire…
La culture pour l'homme et la femme est une chose unique indispensable pour son bien-être...
Indissociable de l’humanité ou celle-ci alors promis toute l’humanité au chaos le plus terrible qui soit, une dictature la plus horrible qui soit, et alors, le préambule des portes des enfers… L’enfer de Dante réincarné en ce monde !
Ni bien, ni mal, pas de morales, pas de raisons, la vie pour seule chose ; « le chaos, la désolation, l’inhumanité, la monstruosité réincarnée, la réincarnation d’un monstre mythologique, biblique, la fin d’un monde de culture à celui de l’anéantissement le plus vil, le plus tragique qui soit, le non être, le mal incarné de tous les enfers, le destructeur de l’humanité, de sa civilisation, de sa survie, en un mot, une fin totale… »
La survie de l’humanité est à ce prix là… La vie et la Culture…
Les mots...
Les mots s’échappent des livres
pour ne plus jamais revenir…
Partent, je ne sais où ?
La force des mots nous éclaire, nous éblouit, nous interroge, nous étonne, nous transcende, nous transporte vers des lieux inexplorés, inconnus, vers des horizons fantastiques, extraordinaires chargés de poésies.
Les mots s’échappent des livres pour ne jamais plus revenir, partent, je ne sais où, ils sont des électrons libres, sans loi, ni attachent, n’appartiennent à personnes, volent dans les esprits, les séduits, les marques, courent d’esprit en esprit, insolent par nature, ne veulent se résigner, courent à qui sait les attraper, s’échappent, ils sont libres, ne mourront jamais…
Le poète des mots est un aventurier, sans peur, joue avec les mots pour les magnifier, une symphonie fantastique qui résonnent dans les esprits, une mélodie insolente, un air attachant qui chantent, nourri l’esprit, tombent amoureux des mots, les révèlent, les mots séduisent votre cœur, éveillent vos sens pour mieux les révéler, votre esprit s’étonne, s’attachent aux mots amoureux pour ne plus s’en défaire.
Les mots défient la vie, la vie est une musique folle qui ne veut s’arrêter, eux les mots, nous défient, nous interrogent.
Les mots sont des êtres poétiques forts, leurs légèretés sont de doux nuages cotonneux aux couleurs pastels, aux goûts sucré, acidulé comme des bonbons de notre enfance, nous enchantent, annonce des rêves enchanteurs d’un rosé charmeur, nous fait aimer la vie, nous réconcilie avec celle-ci, nous propose une senteur parfumée d’un doux romantisme fleuri.
Les roses d’amours sont des poèmes des amants, sont des mots d’amours qui chuchotent aux oreilles des amoureux, tel cupidon armé de son arc aux flèches poétiques empoisonné d’amours, les mots d’amours élixir puissant chavire les cœurs, les mots traversent les âmes, pour enchaîner les êtres à jamais, les mots sont irrévérencieux, coléreux, imprévisible, infidèle, détaché, libre...
L’Auditorium de Lyon
Lieu insaisissable, majestueux par sa grandeur des talents, palais des arts de la musique, lieu de passage, de mémoire, de rencontre.
Octobre 2021, ce jour-là une symphonie, celle de Bruckner, la Symphonie n° 4 « Romantique ».
L’orchestre se met en place, la hiérarchie toute militaire de l’organisation d’un ensemble de musiciens avec ses forces et reconnaissances de chacun tous est là, comme une société concentrée, à l’aboutissement et l’achèvement d’une œuvre, maître est la Alan GILBERT garant du bon déroulement, créateur de ce moment, cadencé en ordre de marche.
C’est un vrai voyage vers l’extraordinaire, un monde tout en relief, vertigineux en caractère, force et douceur veloutée. La puissance est là, joue subtilement en toute légèreté, riche, sucrée, soyeux en embellissement de grâce, les 1ers violons avec une très grande maîtrise, des rappels à l’œuvre saisissante aux ornementations d’or, le chef picore, donne en rythme, la cadence puissante. Les rappels de la mélodie agréable roulent sans faillir…
La chevaucher cavale, traverse de voyage de paysage en paysage en progression fulgurante, le chef initie la puissance, l’intensité, la force, déploie toutes les harmoniques, mène son orchestre avec flamboyance et luxe de précision musical, il emmène les musiciens vers la plénitude de l’œuvre, c’est un voyage luxuriant qui nous fait traverser le chef, d’un coup harmonique, retenti, raisonne, éclate avec puissance et fermeté, attaque la mesure avec dynamisme, la mélodie devient romantique, puis change en éveil et alerte.
Le chef survole la musique vers des hauteurs insoupçonnées, vers des envolées lyriques extraordinaires.
En première partie du concert était invité en personnalité avec une grande notoriété, la soprano, star américaine aux galons, Renée FLEEMING, cantatrice incontestée, dans la salle des musiciens joue le poème harmonique symphonique de Messiaen, tout d’un coup une voix douce et dorée survole l’orchestre, cette voix vous accompagne doucement, vous emmène vers le chemin poétique de la musique, le chef très en rythme, à la gymnastique cadencée audacieuse, dirige l’auditoire vers le merveilleux.
Un autre concertiste talentueux et d’une virtuosité extrême, de la flûte traversière Emmanuel PAHUD, flûtiste et professeur. Je l’ai rencontré un temps hors COVID, ou j’ai pris le plaisir de converser avec lui, spécialiste de son art, sur tous les hauts lieux des salles de concert dans le monde, il va de concert en concert, amoureux et puriste de la musique dite classique ou baroque, il se produit et réalise une performance digne d’un athlète olympique, il survole la musique, tutoie les dieux, au panthéon d’un bonheur inassouvie, l’art est bien exceptionnel dans une vie commune monochrome sans nuances colorées, sel de vie, flammes de l’âme des êtres.
Bleu à l’âme,
réveil d’un songe noir
Peine de cœur, blessure à l’âme, blessure profonde.
L’amour, maladie insidieuse aux doses imperceptibles d’un doux poison amer.
Fleur empoisonnée au parfum enchanteur vous enivre jusqu’à l’entêtement capiteux.
Au goût aigre-doux, mi-sucré, mi-salé, vous laisse interdit, comme un enchantement au réveil d’un songe noir, sortir d’un rêve sombre, magie noire qui vous emprisonne à ses sortilèges…
Au royaume des fées, les anges des passions délaissent les amours à leurs désillusions, aux tristes cœurs.
Les Sables du Temps
Les tempêtes de sable, grains argentés, aux mille facettes éclairent une vie aux couleurs démultipliées d’un Kaléidoscope.
Poésie du Temps, sablier de nos vies où s’écoule notre espérance grain après grain, de notre jeunesse à l’aube de notre vie, éclaire notre chemin vers un accomplissement de soi.
Sables de la vie
Je sais que la vie coure.
Je sais qu’elle court comme un fil du temps, galope, ne s'arrête jamais.
Je sais que l’homme est un être du temps, créateur des horloges et du temps, c’est de l’argent…
Je sais que tout est mis en ordre, avec une mesure chronométrique.
Je sais que le temps est insaisissable, nous file dans les doigts comme le sable de notre vie coure et fuit.
Les Yeux d’Amour
Regard de femme, regard d’amour.
Ton cœur parle, ton regard le dit tout haut.
Regard secret, interrogatif, le miroir de l’âme à cœur ouvert.
Dans tes yeux d’amour, je me plonge pour ne plus les quitter.
Regard, scintillement aux mille couleurs argentées, celle de l’âme, ton regard et tout est dit.
Ton silence passe par ton regard, pouvoir de femme, ou douceur du cœur d’amour.
Ton cœur dit l’amour, être femme, la sensibilité féminine au crépuscule du jour dévoile son être, femme, être de cœur aux mille paradoxes, celui de l’être aimé.
Cœur tendre dit les mots, ceux de l’amour que tu n’oses dire.
Cœur de femme, Oh ! Toi mon amour.
Aux jours des étoiles argentées,
au ciel des anges
Ton doux visage au regard étoilé et la tristesse de ces temps-ci remplissent mon cœur.
Toi mon ange inquiet au cœur fragile, tu soupires.
Que faire lorsque ton cœur que tout accable, attristé.
Tes sentiments sont un bouquet aux mille fleurs de couleurs arc-en-ciel flamboyant, tu t’interroges aux devenirs des jours incertains.
Ton âme pure souffre en pleurant des meilleurs jours, garde espoir.
Se battre pour gagner, vaincre, garder un bel espoir au cœur du soir, garder l’espérance.
Les jours sourient aux âmes pures, la bonne fée de l’étoile du soir fait briller l’espérance des cœurs.
Tu brilles d’amour, tu resplendis d’amour, ton âme légère accroche la beauté des cœurs évanescents au ciel doré des nuits étoilées, du doux soir de Noël, accroche ton espérance, au ciel maculé des anges.
Requiem de ton Cœur
Mélodie mozartienne des amours enchanteresse
À la recherche de ton cœur, cœur épris de ton âme.
Requiem de ton cœur, je t’aime, aux musiques sacrées de ton cœur, au plus haut des chœurs vibrants, tu es présente dans mon cœur, malgré ton absence.
Les chœurs vibrants touchent au plus haut, résonne dans mon cœur mon amour.
Tu n’es point disparue, je t’aime, comme une douce mélodie mozartienne, au violon ravageur, et mélodieux, aux touches du piano qui résonne à qui sait entendre, l’amour…
Toi mon cœur, je t’aime à ne plus en finir.
Ouvre ton cœur mon amour, voit au plus haut, à l’horizon des cœurs amoureux.
Je ferai la conquête de ton cœur, pour prouver mon amour, à la recherche de ton cœur, de ton âme souriante.
Oui, Oh toi mon amour, je t’aime.
La Liberté ou la tragédie annoncée,
de la Guerre, folie humaine.
De la Guerre, l’humanisme cher aux hommes de paix, la colombe au brin d’olivier chère à Picasso, symbole d’un renouveau de l’humanité dans sa tragédie d’une histoire sans fin de conflit meurtrier…
L’ombre noire de la guerre, envahie l’horizon, le monde au bord du gouffre, vacille, pour ne plus jamais revenir, à la pire heure noire des conflits mondiaux.
Deux facettes, de l’ombre à la lumière, le destin des hommes en devenir, pour une mutation positive, rêve utopiste, vu d’esprit ou vision optimiste éclairés d’une possibilité ou le bien finira par gagner, vaincre à la tragédie, sortir au fin fond des abîmes, au néant, renaître à la vie, vivre, vivre enfin libre ! Ou l’envol de l’humanité vers de nouveaux horizons lumineux, vers l’apaisement et la liberté chérie.
Voici une vision positive, que les apprentis dictateurs balayent d’un revers de main élabore de folles visions du monde, veulent écraser de leurs esprits la vie des hommes libres, du monde libre, sacrifier, anéantir les heures heureuses d’une humanité réconciliée.
La puissance des hommes d’État totalitaire imprime leurs vues, impose leurs angoisses, leurs délires conscient ou inconscient aux dépens de la vie de leur peuple trahi, aveuglé, la vie foulée sous le pied de la tyrannie monstrueuse, agression violente à la vie, au bonheur rose de l’insouciance de vivre.
La vie gagnante pour toujours, rendre aux ridicules les imposteurs de la vie en bleu, gagner encore, sans cesse, ne jamais renoncer, oui à la vie, au bonheur de vivre, à la vie des peuples libérés des didactes, oui vivre enfin, espoir en l’humanité réconciliée, libérée de ses chaînes, libre...
« Z »… Instinct de Guerre, crime de Guerre,
les Faiseurs de Mort ou la tragédie noire
« Z »… Crime de guerre… Machine de guerre, assassinée, promesse fausse au monde, faire peur, peur de l’holocauste nucléaire…
Des soldats en libérateurs ? Qui envahissent un pays ne sont pas accueillis en héros…
Un dictateur jusqu’au-boutiste à la guerre meurtrière, envahir un pays voisin, une guerre pour tout détruire totalement, la violence se déchaîne, anéantir jusqu’à l’homme.
Un dictateur nationaliste menteur, manipulateur, mauvais garçon de rue « enfant », la guerre ou le danger du nationalisme, la propagande, désinformer son peuple pour l’aveugler, « ils ne sont pas les envahisseurs, ils sont agressés par l’Ukraine, bombardée par l’Ukraine ? »
La vérité n’a plus de sens ? Un dictateur enfermé dans ses certitudes ? Quelle vérité ou l’Ukraine en feu, un peuple meurtri, affamé, assassiné, l’anéantissement pour seule vérité ! La guerre pour logique nationaliste de l’oppresseur, criminel.
17e jour de guerre, les chars tirent sur les immeubles de la ville d’Odéssa, tuer les civiles, les chars contre le peuple…
Oubliés les Peuples, conduire son Pays à la mort, en un mot se sont les desseins noirs que tissent tous les dictateurs dans leur Paranoïa ou folie exacerbée, leurs volontés de fer envers et contre tous, surtout contre même la seule raison, au-delà de la raison vers la déraison meurtrière sanguinaire ceci afin pour assouvir un seul objectif insensé, leur folie et idéologie criminelle noire aveugle, le tragique se dessine vers un drame violent extrême.
Terroriser par des armes inhumaines monstrueuses ? L’anéantissement total par la destruction.
Un peuple se lève, l’Ukraine. Une guerre pour la patrie. Une guerre contre l’Ukraine, une guerre contre l’Europe tout entière.
Un drame au bout de l’horreur ? Une guerre contre le monde, prêt à toutes les horreurs pour terroriser, éliminer les opposants, l’humain ?
L’Europe face à la guerre, un dictateur qui nous vole nos rêves, vole les rêves des enfants, un dictateur autocrate aveuglé capable de tout… Sans limites… ?
Le défi à l’occident du dictateur… La guerre…
9 mai 2015 - Le dictateur : « Pour la paix, pour la paix des états ? Hourra ! Hourra ! » – sur la place rouge devant le défilé militaire russe…
« Le bras de fer » de la guerre, guerre perdue d’avance, vers l’échec de la Russie face à la détermination du peuple ukrainien, une nation en arme, pour vaincre qui fait face à la guerre de l’envahisseur.
Survivre au jour le jour, tenir encore pour le jour qui viendra être là, dire non, résister, faire face alors à l’horreur, à l’indicible.
Négocier avec les envahisseurs, même avec un dictateur à la fin de la guerre pour préserver la paix, la vie, le monde…
Poésie de Guerre –
« La Liberté de l’esprit »
Le très célèbre « Que la Guerre est jolie » du Poète Guillaume Apollinaire emblématique de son œuvre nous dit son ressenti personnel sur son vécu de la guerre de 1914 dans les tranchées…
Ma poésie de Guerre, Guerre, bête assoiffée de sang, avide, rouge sang
à la couleur vif.
Préserver la Paix pour le bien de l’humanité, espoir au ciel azuré au bleu ciel de l’espoir et de la Liberté chérie.
Aux chants de rires des enfants de nos chers cours d’école, où les gentils garnements s’époumonent à cris de joie.
La joie insouciante et spontanée des enfants et la lueur d’espoir des peuples, la joie de vivre en famille, le bien être d’une société qui célèbre la vie, la tranquillité à vivre rose des cœurs.
Garder sa « Liberté de l’esprit » chers aux femmes et hommes libres, garder son indépendance d’esprit au ciel maculé de blanc de virginité et d’insouciance heureuse.
Un hymne à la paix célébré par les artistes de tous horizons, guerre trahison des êtres, bête monstrueuse des impies.
Guerre, trahison d’État, monstre, massacre des Innocents, meurtres organisés des civils, état guerrier cynique, tyrannique, vil, infâme, sordide.
Guerre des agresseurs, soif de mort, nos esprits libres sont inviolables ont soif de liberté, léger comme la colombe au brin d’olivier pour embrasser le monde libre…
« Au ciel de ton cœur »
Te retrouver mon amour
À la recherche de ton amour, pour toujours.
Toi mon amour au ciel de mon cœur, tu illumines mon être.
Au jour de ton cœur, je serai là, aimant, près de toi, près de ton cœur.
Le jour aimant, j’irais conquérir ton être, aux yeux de ton âme, aux joies de ton être.
Là, au ciel de mon âme, tu rayonnes à tout jamais près de mon cœur.
A cœur joyeux, tu es ma belle de jour, tu resplendis à jamais, tu brilles pour ne plus en finir, tu es la joie de mon cœur, mon amour.
Ton regard infini brille à l’horizon des âmes pures, tu embellis ma vie.
Là, une fleur aux pétales colorées s’ouvre au lever du jour, inonde un parfum d’amour, embrase les cœurs, être d’amour.
Alain Bonnefoit
« L’Art du Féminin »
« Envie de la Beauté »
Expo Paris-Moscou -
www.gartallery.com
Alain Bonnefoit, un art accompli, la quintessence de l’être féminin.
La sensualité à l’état pur, au parfum suave de la beauté du féminin, aux traits légèrement soulignés des courbes fines du corps sans fard, exulte la beauté révélée, à la légèreté de l’être et de l’érotisme.
Puissance évocatrice des corps en action qui disent plus que les mots.
Les corps sont magnifiés dans leur état pur, sans fausse pudeur, ce que le corps n’ose dire, l’art y est, d’une géniale réserve de moyen en toute simplicité.
La beauté des corps dans un éclat de couleurs.
Une pleine maîtrise de la sensualité féminine, un aboutissement de l’art qui célèbre le féminin, sans n’avoir jamais osé le dire…
« La légèreté d’âme »,
cœur de femme
Le cœur des femmes ou la légèreté de l’être, femme être passionné, au cœur aimant, soif de sentiments, d’amour, vous aimez sans retenu.
La légèreté d’aimer vous sourit, vous volez d’amour, à la recherche de l’être aimé tant espérer.
L’âme féminine est un cristal précieux qu’il faut protéger.
L’âme féminine vole très haut dans le ciel azuré d’un bleu profond, vous embrasse pour vous garder dans un éclat de rayons de soleil vif, là-haut au plus près des étoiles des âmes pures.
Tout là-haut, l’amour à ses lois, d’un amour grandissant, éclatant, lumineux d’espoir.
Femme être d’amour.
Paix des hommes, liberté
Passant souviens-toi…
L’appel à la résistance, France.
1939-1945 L’âge du malheur des hommes et son florilège de héros du quotidien à l’appel de la résistance, du soulèvement populaire de la nation libéré du joug de l’horreur nazie et de l’oppression, rappelez-vous.
« Passant souviens-toi… », une plaque commémorative sur la résistance et ici là à l'entrée de la commune de Limonest ( arrêt de bus du "Puy d'or"... à Limonest), à Lyon, deux résistants ont été prisonnier à La prison Montluc, ( 4, rue Jeanne-Hachette dans le 3ᵉ arrondissement de Lyon ) puis emmené ici, là à l'entrée de ce village et aussi deux personnes non identifier tuées gisant là, par la Gestapo en déroute au mois d'Août 1944... Hommage à la résistance de ces heures troubles…
Ce moment de l’histoire qui se reflète avec notre actualité urgente de la guerre de l’Ukraine de l’oppresseur et de ses horreurs pensé-t-on révolu en Europe à jamais…
Le destin d’un homme ou de quelques-uns, tel que le Général de Gaulle, Jean Moulin, Winston Churchill seul contre tous, voilà le destin des grands hommes qui font les tournants de l’histoire, s’opposer au destin accompli, à inéducable pour renverser, seul avec leurs croyances et leurs états d’âme et leurs personnalités hors du commun.
Refuser le tragique, renverser le fil du destin, ne pas croire au pire, dire Non !
Dire Non à l’injustice des hommes ! Croire en la paix et à la justice, à la liberté…
Les anges de la guerre
Ici-bas des combats fratricides, meurtriers, sans pitié, frappent…
Là-haut les anges de la guerre implorent la paix.
Les combats sont meurtriers, des dizaines de milliers de morts et blessés dans le camp de l’oppresseur, le malheur n’est pas seul ! Pourrait-on dire ?
La foudre, la fureur des hommes avides de pouvoir et de richesses tombent, là-haut les anges réprouvent le pouvoir de la guerre, sale et ténébreuse, «Hadès – Le maître
des Enfers », n’aurait pas fait mieux sous le règne du tragique…
Une lumière pointe au bout du jour, là-bas peut être un début de solutions de paix pour un apaisement attendu face à ce coup de poing assassin dramatique.
La délivrance au bout de l’horizon pour les hommes et les femmes qui n’aspirent qu’à la paix des âmes et des cœurs…
Les Angoisses du Monde
Aux écrivains qui se sont succédés, avec pour chacun d’eux, un trait commun, ils s’interrogent sur leurs préoccupations du Monde, de leurs sociétés et de leurs mœurs du temps présent. Voilà pour résumer, l’écriture, maladie.
Oh ! Combien, créatrice et salvatrice pour le corps et l’esprit des hommes, d’une société, les écrivains et poètes, porté à la littérature et la poésie, l’art des mots, pour une révolution des esprits…
La fin du 20e siècle débarrassée des horreurs et tragédies du monde ? Le monde n’a pas changé à l’aube du 21e siècle, d’une révolution annoncée des techniques nouvelles de l’IA, des révélations de la physique quantique dans tous les domaines, le monde s’ouvre sur des perspectives inédites extraordinaires, encore non évaluées technologiquement, sera-t-elle préserver de la tragédie de l’humanité, d’une issue fatale pour la vie écologique ou la destruction totale, nous pouvons résolument et nécessairement, nous interroger
sur ce fait !
Vers quoi ouvre ce 21e siècle espéré vers une pacification des esprits et des mœurs ?
Le malheur angoisse moderne, tragédie des hommes, écologique, attentat à la vie ?
Ou le 21e siècle ressuscitera t-il le monde, de ses maux planétaires et de ses alertes mortifères à la biodiversité, en un mot, une atteinte fatale définitive à la vie ?
De quoi en sera-t-il, nous sommes à un point de non-retour comme les interrogations soulignées qui font sens par un homme de science et penseur, Aurélien BARRAU – ( Astronome, physicien, professeur d'université, cosmologiste, philosophe, poète, astrophysicien, chercheur ).
Le monde au bord du gouffre ? L’humanité acculée à ses dernières extrémités ?
La destinée du monde, un flot continu de conflits, de batailles et de guerres sanglantes avenir, ou l’apaisement, une entente forcée pour une destinée obligée du monde, démocratique ou non, au salut des rescapés d’une humanité vacillante ?
Sensation
( Poème Eponge d’après Rimbaud )
Par les âmes profondes d’ivresse, j’erre dans les cœurs par les sentiments, gagner l’horizon azuré : léger, j’en aime la musique à mes passions. Je rêve le corps libre ma vie rose.
Je ne sais pas, je ne pense rien, mais l’orage envahi me foudroie dans l’infini et j’irai voler comme un papillon, par la beauté, des cœurs comme avec une sirène.
Après la vie
( Poème Éponge d’après Rimbaud )
Aussitôt par l’écœurement du conflit se réprouve tragiquement.
Un drame s’annonce dans les événements et les vies tragiques et frappe sa violence à meurtrie à travers la haine de l’autre.
Oh ! Les hommes guerriers armés les crimes se propagent et l’horreur gagne les morts se répètent et l’incommensurable tragique les mots vers la fin annoncée
là-haut comme sur les enfers.
Le mal envahit chez les esprits, aux odieux dans les cœurs, où le malheur de nos êtres les anéantit. Le sang et le meurtre gagnent.
Les vies éteintes. Les guerres viles dans les têtes.
Le droit au Bonheur
« Un autre monde est possible… »
Le droit au bonheur, « Oui nous avons tous droit au bonheur… »
En ce début d’année d’Avril 2022, jours prochains des élections, nous avons tous droit aux jours heureux, faut-il le répéter, une fois et encore une fois, à volonté pour que cela soit entendu…
Après les gilets jaunes, la période de 2 ans de malheurs du COVID imposé…
Oui, nous avons tous droit aux jours heureux, au bonheur…
Refuser ce que l’on veut nous imposer, rappelez-vous des restrictions imposées du COVID et de ses lois sanitaires Liberticides insupportables, ceci à coups d’amendes forfaitaires ou la prison en promesse, pour avoir eu envie de la Liberté chérie…
Restrictions sévères que l’on nous a imposées d’avance, sans nous demander notre avis ou quoi que ce soit, Non !!! ???
Non à ces lois Liberticide, a ce pouvoir autoritaire en France, un comble, la France, le pays dit « des droits de l’homme », foulés d’un coup de pied, d’un coup, fini le droit à la Liberté, Libre, Libre enfin, Libre de vivre pour nous jeunes ou âgées pas de prisons que l’on nous promet à la moindre incartade, obéissez les yeux fermés…, nous disons Non ! Juste le droit au bonheur, le droit aux jours heureux, et non par exemple : pour les retraités la promesse d’une vie malheureuse, la promesse des EHPAD…
Un comble Non ? Juste le droit au bonheur et aux jours heureux, pour toutes les catégories sociales et non pour une certaine classe, comme le disait Victor HUGO : "C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches"…
Que cela soit bien entendu dans les hautes sphères du pouvoir Jupitérien, ceci est dit et bien dit…
Merci… et Merci encore une fois pour tout…
Douceur féminine
La douceur de ta voix aux anges de ton cœur vole au ciel de ton âme.
Toi, femme douceur d’âme, et de cœur, je t’aime.
Ton âme est un arc-en-ciel multicolore de sentiments d’âme, et d’amour.
Au son de ta voix, ton âme résonne au couleur multiple.
J’aime ta voix dorée et sucrée, douceur féminine.
Au ciel de ton âme, j’irai voler à ton cœur.
Femmes de Lettres, une distinction toute française
à celui de ce cher Marcel Proust
Les belles lettres françaises au panthéon des talents et des mythes, avec l’honneur des femmes à travers les temps telles que Simone de Beauvoir, Colette, Duras, Sagan, Sand, Yourcenar, Madame de La Fayette ou Madame de Sévigné…
Hommage à la distinction française, l’hommage aux femmes dans leurs caractères et leurs diversités d’opinions, et d’être soi…
L’avantage des femmes, un autre point de vue du monde, d’esprit, et personnalité diverse atypique, le combat des femmes face à leur époque et à leurs sociétés.
Être femme est un combat en soi du point de vue d’une société d’hommes.
Être femme, un autre regard et sensibilité exacerbée, la société aux regards des femmes, un atout, un point de vue culturel français.
Ces femmes avec leur fantaisies sur la vie, comme celles de George Sand, Colette, Duras, Françoise Sagan.
Cette dernière à la personnalité et à la vie fantasque, tel un personnage de Marcel Proust dans la frivolité des choses et de l’être.
Être passionné à l’instar d’égéries d’à « La Recherche » avec Albertine, l’être insaisissable par excellence, le héros féminin dans tous ses attachements.
Ainsi de même que les autres grands personnages féminins de Proust, hauts en couleur et de distinction, de rang de la noblesse dorée, à celle des femmes un peu légères tel que « Les jeunes filles en Fleurs » de la plage de Balbec, le théâtre merveilleux, favori de ce cher Marcel ou des lieux moins fréquentés au goût du scandale du tenancier de maison ou de Monsieur de Charlus, « Jupien » au logeur du logement de la cours de l’hôtel de Guermante, au caractère parfois même insolent de Jupien vis-à-vis de Duc de Guermante, éminente famille de sang de la haute noblesse de cœur…
Anne-Frank « Le Journal de résistance » –
La vie face à Hitler
Une jeune fille dans les quartiers d’Amsterdam ou comme tout à chacun vit paisiblement, la vie suit son cours malgré ses années 40 ou la guerre en Europe a commencé avec le régime Nazie d’Hitler…
Anne-Frank jeune fille de son temps éveillée, voit qu’avec l’occupation allemande la peur est dans la rue, les juifs sont impitoyablement discriminés, ont peur pour leur vie. La vie à changer, l’insouciance de la vie d’avant n’a plus sa place.
Son père prévenant, avait prévu l’arrivée des Nazies, et avait prévu d’utiliser en cas de besoins les espaces non utilisés de la résidence, pour se cacher en cas de nécessité urgente.
Anne-Franck fit pleurer son père quand après la guerre, il put lire son journal et décida après mûre réflexion, de le faire connaître, à la portée du plus grand nombre malgré les critiques non dissimulés de sa fille envers sa mère et la vie quotidienne qui y est relatée, sans fausse pudeur.
Déjà lors des premières lignes de son journal Anne-Frank nous prévient, sur sa personne et sur les prétentions de ses écrits d’une jeune fille, à la maturité d’une adulte s’agissant de relater ses émotions et remarques sur sa vie d’adolescente de tous les jours, de ses joies et de ses peines :
Samedi 20 juin 1942 –
« C’est une sensation très étrange, pour quelqu’un dans mon genre, d’écrire un journal. Non seulement je n’ai jamais écrit, mais il me semble que plus tard, ni moi ni personne ne s’intéressera aux confidences d’une écolière de treize ans. Mais à vrai dire, cela n’a pas d’importance, j’ai envie d’écrire et bien plus encore de dire vraiment ce que j’ai sur le cœur une bonne fois pour toutes à propos d’un tas de choses. Le papier a plus de patience que les gens : ce dicton m’est venu à l’esprit par un de ces jours de légère mélancolie où je m’ennuyais, la tête dans les mains, en me demandant dans mon apathie s’il fallait sortir ou rester à la maison et où, au bout du compte, je restais plantée là à me morfondre. Oui, c’est vrai, le papier a de la patience, et comme je n’ai pas l’intention de jamais faire lire à qui que ce soit ce cahier cartonné paré du titre pompeux de "Journal", à moins de rencontrer une fois dans ma vie un ami ou une amie qui devienne l’ami ou l’amie avec un grand A, personne n’y verra probablement d’inconvénient. »
Son journal, dès que son père prit la décision de publier son journal, fut rapidement porté au public et eut d’emblée un succès important, où l’on s'émeut du destin de cette jeune fille à la plume déjà d’une stature d’une écrivaine.
Anne-Frank fut déportée avec sa sœur, son destin fût terrible, elle assista à la mort de sa sœur avant, elle succomba aussi dans les camps de l’horreur Nazie.
Horrible parcours de vie pour une jeune fille de bonne famille, à la vie tranquille qui lui était promise dès l'arrivée au pouvoir d’Hitler qui a assombri le destin des hommes et des femmes de l’Europe entière de ses années tragiques de la Seconde Guerre mondiale.
Fleurs des champs ou
le Bouton d’Or des amoureux au cœur vaillant
Ce jour heureux, je te donnerai ce bouton d’Or mon amour.
Accroché à ton cœur, j’irai te conquérir.
Aux joies de mon cœur heureux au jaune d’Or brillant sur ton visage d’amour.
Bouton d’Or de tes yeux d’Or d’amour et de cœur.
Mon amour d’Or, je te donnerai mon cœur vaillant.
Tes yeux brillants d’amour reflètent les rayons d’or du cœur.
Au grès des chemins de la belle campagne, j’irai cueillir l’or de ton cœur sur une fleur d’amour.
Vole comme un papillon, ton amour ira voler au plus haut dans le ciel brillant.
Fleur d’amour, je vole à ton cœur mon amour.
De Cœur et d’Amour Saphir
Mon cœur est à toi mon amour.
De cœur et d’amour, je t’aime à ne plus en finir.
De cœur et d’amour, tu remplis mon esprit de toi, de ta tendresse, de ton amour.
Amour du cœur, douceur du sentiment, vérité du cœur.
Jaillissement des effluves du cœur, volcan d’un amour profond, tu resplendis.
La chaleur des cœurs envahit les esprits amoureux des amants.
La vie est beauté des cœurs et des sentiments aux effluves des cœurs enivrés.
Que la joie demeure en toi, enivre ton cœur sacré, vérité des cœurs des amants enchaînés.
Tes yeux demeurent l’âme de ton cœur, épris de sentiments brûlants de ton âme.
Se condense au haut du ciel luxuriant de rouge saphir, des dieux de l’amour.
Lettre à Toi
Je t’écris pour te dire
Pour te dire des choses de l’amour
Pour te dire des choses, je t’aime
Pour te dire tes yeux d’amandes
Tes Cheveux soyeux
Ton arrivé au restaurant, tu étais là, arrivé là, avec ton foulard aux couleurs enchanteresses, ton chemisier noir aux dentelles ajourées et voiles transparents léger, tu es ma princesse, à l’Orient des Palais majestueux
Aussi pour te dire des mots, des mots de tendresses, qui coulent dans ton oreille, te bercer d’amour, tes yeux disent l’amour, toi, ta douces voix au monde sucré d’amour, tu es mon cœur
Je t’écris aussi pour te dire ta présence est magique, pour te dire les langueurs du temps qui passe auprès
de toi, tes chagrins, tes peines, ton cœur blessé, tes peurs, ton envie, ton envie des choses, toi, tu es là, j’aime tout de cela, tu es ma joie, tes peines sont les miennes, mon cœur grandissant
pour toi, aux doux nuages sucrés, roses, comme de la barbe à Papa, tu es mon paradis imaginaire du cœur et d’amour
Toi aux sourires et regards roses, je suis rose de toi, tu es ma rose d’amour au parfum capiteux rose des cœurs, je suis à toi, tu es la vie, la vie qui est là, devant soi, là, comme un chemin d’amour de roses, aux pétales pastel légères, un chemin qui part à l’horizon loi devant qui n’en finit pas de finir comme l’amour que j’ai pour toi
Les jours de Toi
Je me suis levé ce matin
J’ai pensé a toi
Tu occupes ma pensé et s’en est heureux
Les moments que l’on a passés dans la soirée m’enchantent
Je rêve de toi au fils des mots et de mon esprit
Tu es en moi
Ce matin, je pars au travail le cœur léger
Les jours qui attendent n’en sont plus qu’heureux
La mémoire du Passé
En ce lieu multicolore, au passé riche en mémoire, là dans ce domaine de maison du parc de Versailles, un homme aime à se retrouver.
Ce lieu aux arbres majestueux d’une nature triomphante là se trouve les maisons rustiques du domaine de Versailles.
Maisons à la façade en pierre au toit bien charpenté et ses yeux de bœuf typique de Versailles au style bien marqué qui résonnent au passé de ce lieu emblématique qu’est le domaine de Versailles.
C’est ici que cet homme vient là, ce jour est un jour comme de nombreux jours en début d’année à Versailles, pluvieux, cela réveille la nature de ces lieux.
Une odeur d’humus, de terre de bruyère envahit ses lieux, une brume légère le matin est là pour vous accueillir.
Non loin de là se trouve le grand Trianon cher à Napoléon ou à De Gaulle ou celui-ci avait installé son bureau de travail, en retrait de la vie mouvementée de la ville.
Ici la vie paraît plus lente, prend son temps, son aise, le temps retrouve son espace, pour y couler paisiblement.
Un havre de paix, loin du monde, aux violentes dérives du monde et de ses folies meurtrières.
L’amour Poète
L’amour poète, je t’aime, à toi ma belle enchantée par les jours heureux de la vie qui coule, fontaine d’amour.
Aux jours des amours des amants enchaînés, la vie en rose au ciel du jour.
Rose d’amour pour toi mon amour, je te chéris, à la vie qui s’offre à nous.
Les joies et les peines ne sont que des épreuves, aux joies des jours heureux passés et futur.
Défile le fils de la vie, fontaine de jouvence, aux fruits d’amour.
Comme au premier jour d'Adam et Eve qui ont croqué le fruit d’amour.
Aux amours des êtres qui s’aiment d’amour et d’eau fraîche.
L’amour poète vous enchante, aux yeux de ton âme rayonnante, brille dans l’azur du ciel des amoureux.
Mon amour, je te chéris.
Être soi,
un désir accompli
Vivre, être soi, la route devant vous est multiple avec ses aléas, accidents de la vie, empêchements et autres en tout genre, malgré ses vicissitudes, il faut être en respect avec soi, garder ses goûts et ses savoirs ou valeurs ne pas transiger avec les empêchements de vivre, ces imbéciles de la vie, rester sur son cap et quoi qu’il peut arriver, suivre sa nature profonde, aller vers son chemin, vers soi, droit devant cette longue route qui nous est promise.
Rester positif en toute situation, c’est l’intellect qui vous sauvera, respecter ses idées, elles vous sauveront des malheurs de la vie.
La vie vous sourira, quand le moment sera venu, vivre en paix et en sérénité avec les joies simples de la vie.
C’est en cela que l’on pourrait nommer en un mot galvaudé : « Le bonheur », la joie de vivre.
Rester soi-même est se respecter, vivre en paix avec soi et les autres, c’est accomplir un désir profond, être soi et être aimé pour ce que l’on est, pas plus… ni moins…
L’âme Féminine
Cheveux aux vents, le regard au loin tendu vers son amoureux…
L’âme féminine est poétique et légère, c’est une chose simple, comme la vie en somme et le bonheur de vivre, qui tient en un mot, l’amour.
En amour tout est accompli.
La femme est un trésor de tendresse et d’amour, si la vie sourit, la vie des êtres est accomplie.
Une femme heureuse à l’âme libérée, vie ses joies et bonheurs.
Dans son attitude tout est grâce et beauté.
A la joie d’avoir des enfants qui prolonge notre bonheur de vivre.
Une reconnaissance de notre vie.
La famille une joie de vivre à cultiver.
L’âme féminine, dans sa pureté, est une poésie de la vie…
Amour, Haine, Détestation
de l’autre Céline
La guerre et ses lois, la politique, que penses les gens biens pensant, des directives et ordre de l'après-guerre, le grand renouveau, l’épuration, la collaboration…
Céline l’homme honni, aux pamphlets délétères et acides.
Nous, la France d’après-guerre avec nos errements et lâchetés collectives.
Pourquoi cette haine ?
Non ! Céline n’a pas sa place auprès de nos académiciens, non ??
Non, Monsieur, il n’a pas sa place !
Comment Monsieur ?
Alors, notre France sous le régime de l’occupation ses trahisons, quand est-il de ce cher Docteur Destouches, ou connu sous le nom du romancier Céline, que dire ?
Non, il est peu honorable, vaut mieux l’oublier ? Il n’est pas l’honneur de la France, grand auteur du Voyage… Non ! Avant ! Plus maintenant ! Honte à lui. Que dire de plus ?
Croyez-vous que cet homme n’as peu d’intérêt ?
Eh bien ! Non ! Il en a et à très fort titre, justement, il dit beaucoup de nous, de ce que l’on veut cacher ! Oublier ! Mettre sous le tapis…
Céline est un révélateur de nos ambiguïtés, pas tout à fait « mauvais », du bon et du mauvais, comme cette France occupée par un ordre Nazi écrasant sans rémissions, jusqu'au-boutiste, idéologie de mort, sous le symbole de la croix gammée…
De quoi cet homme, Céline, nous dit tout de nous, ou d’une partie de nous et encore aujourd’hui de notre présent et état d’esprit actuel…
Céline est un empêcheur de tourner en rond, il trahit la vérité de nos âmes perverties, ou celles qui ont dérivées…
Qui croire de l’idée politique avec Céline, c’est un grand chambardement de nos âmes, sans politiquement correct, sans far, il le dit sans détour, sans filtres…
La parole de Céline ne serait pas consensuelle, justement c’est parce qu’elle ne l’est pas qu’elle a sa part de vérité.
Céline est un causeur dit-on, pour les mauvais esprits, juste un causeur…
Il maugrée, grogne, se fâche, dénonce, il est de mauvaise humeur, proteste à haute voix, c’est Céline…
Il dit beaucoup de nous, des Français de cette époque, de l’esprit de l’époque, de ces mentalités et idées fausses de ces temps-là, de ses erreurs et errements, quelques-uns ont dit non ! C’est tout à leur honneur, mais la majorité silencieuse, elle, est Célinienne…
Oui, ce que l’on ose voir et dire tout haut, se cacher derrière de bons ressentiments, se voiler la face à cette France de la trahison…
Céline est en nous, amoureux des belles choses, des femmes, et de la grâce.
Nous fait rire avec son attachement viscéral aux animaux et son chat « Bébert » impérial…
Versailles
Versailles feu d’été
Aux oriflammes du Roi de ces lieux
Majesté, musique Royale
Brille, nuit dorée de la cour
Aux tambours du roi du grand siècle
Bord de Plage
aux Jeunes filles de Balbec
Soleil brûlant.
Sable fin, file aux espadrilles, glisse, empreinte le long du bord de l’eau.
Cheveux longs au bas du dos, maillot multicolore, peau bronzée.
Amours au soleil, musiques, danses, les états des amoureux d’un soir d’été.
Maillot de bain, tante de plage du long des plages de Balbec, au rendez-vous d’Andrée, Gisèle…
Un amour des jeunes filles aux plaisirs et délices de Monsieur Proust.
L’amour à ses lois, au ciel des plages de nos rêves à l’oisiveté des vacances d’été amoureuses.
Variations sur les Proverbes…
- La Semaine Perpétuelle
- Aux profréteurs des âmes pures, l’horreur au bout du chemin
- Croire naïvement en la vertu, entrée au royaume d'Hadès
- La vérité n’a pas d’âme
- Justice n’est pas synonyme d’équité
- Vivre heureux et dans le bonheur, est suspect, ou jalousé
- Ne pas croire n’est pas citoyen ou religieux
- Revendiquer, critiquer n’est pas politiquement correct
- Les idées sont dangereuses, il faut suivre les idées préconçues ou être comme tout le monde
La vie en Rose, soif d’idéal,
foule sentimentale, Vivre libre.
La vie en Rose, soif d’idéal, foule sentimentale, Vivre libre.
La vie en Rose, soif d’idéal, que la vie rêvée des anges, soit.
Que la vie tant espérée vous éclaire de ses feux, d’amour et de volupté.
Que la vie rêvée des anges illumine nos cœurs.
Foule sentimentale, nos rêves sont là, devant nous, que nos rêves nous illuminent, touché au plus haut de nos espérances et idéales rêvés, vivre, vivre au bleu de nos âmes.
Foule sentimentale, soif d’idéal, à la douceur de la vie, loin de tout ce que l’on nous propose, plein les rayons, nos rêves au plus haut de nos âmes, la vie à soif d’idéal.
Soif d’idéal, nous, nous sommes uniques, loin de la perversion du monde, et de ses attributs aux symboles dorés, que nos âmes pures, nous préserve, que la blancheur incandescente aux doux rêves de nos âmes, s’envole jusqu’au ciel des anges, éclairent nos esprits épris de liberté.
Vivre, vivre libre, au vol de la blanche colombe, éclaire nos âmes pures.
La part du diable aux couleurs scintillantes, nos âmes ne sont pas à vendre.
La part rêvée des anges
ou l’âme du diable
Où Ulysse livré aux dieux mi-ange, mi-démon, trouve son chemin, livré aux tentations les vils démons incarnés, ou serviteurs noirs de l’ombre.
À l’orée des enfers aux noirs desseins, les démons sous toutes ses formes tissent leurs toiles, à l’affût d’une proie.
Le démon aux mille facettes présente au meilleur jour de sa part des anges, vous inonde de ses paroles, mielleuse, servile, et calculateurs afin d’évaluer sa proie attirante, aux mille items.
Le serviteur du mal vous poursuit de ses intentions maléfiques aux mille visages.
Le Diable à ses attraits cachés derrière un masque déformant, vous hypnotise de ses pouvoirs ensorcelants, irradie dans les noires vapeurs une odeur des tréfonds étouffante, le mal incarné tel un fantôme est la devant vous, vous attire aux portes des antres des démons incandescents de rouge et noir, brûlant au regard acéré et perfide.
La part du diable, des ténèbres résonne en vous, dans l’antre des enfers, vous écrase de chaleur, essaye de vous enchaîner au bruit métallique, pour vous rendre en esclavage.
La part du ciel des anges bleu azure rayonne en vous, le maléfice jeté du regard rouge brûlant des enfers, vous observe prêt à vous enfermer, au plus profond dans les entrailles du mal obscures.
Vous préparant aux mille supplices de ce serviteur noir des enfers aux mille maléfices.
La part rêvée des anges vous sublime éclaire votre chemin, vous envolez vers les cieux de la liberté chérie, des âmes pures.
La vie rêvée des anges, ou les hommes sur terre se battent pour posséder les âmes pures, la part des anges pouvoir contre le mal et la noirceur des maléfices, les anges balayent, irradie le mal, la noirceur des âmes perverties.
La part de la noirceur des âmes, aux symboles ou brille les métaux dorés, soif d’argent et de pouvoir maléfique, le regard noir trahi leur âmes perfides rongés par le mal les stigmates du diable les transforment, suinte de mille maux, le corps déformé de haine, embrase son esprit et son âme brûle aux mille feux de l’enfer.
Crie sa haine, brûle d’impatience, vous tyrannise de son être brûlant.
Les anges sont là protecteurs, vous extirpe des griffes du mal incarné, désespéré au projet, vil et d’emprise et de destruction incarné.
Les enfers ou le paradis ne sont pas de veine idée oubliée, elles sont là présentent en vous, le mal est là incarné avec ses démons et serviteurs sous toutes ses formes maléfiques.
Au doux rêve des anges, libérateur, aux couleurs douces, de bonnes âmes, en champ de fleurs au mille teintes chatoyantes, heureux, plein de vie, au parfum alléchant, vous emmène au plus haut des cœurs, vous fait vibrer de douceur et d’âmes pures pour vivre en paix loin du mal.
L’ange dans sa blancheur incarné, à l’âme pure combat la noirceur des âmes perfides maléfiques, combat du siècle de notre temps et civilisations sans âmes au symbole de l’argent et du pouvoir.
Symboles et pouvoirs sont les armes du diable incarnées dans les êtres, des esprits vils et maléfiques.
Les rêves heureux, les joies de la pensée,
au réel des plaisirs
Les rêves heureux, mon doux cœur, tes pensées sont des rêves à accomplir, léger comme des nuages roses s’envolent dans le bleu azuré du ciel pour poétiser le monde.
Les joies de la pensée vous envahissent, ces rêves des douces pensées vont au réel des plaisirs, leurs accomplissements sont aux bons plaisirs de la vie, la vie rêvée, la vie heureuse.
Toi au ciel des anges, tu vas dans mon cœur amoureux de tes yeux pleins de charme.
Au plaisir du cœur, mon cœur amoureux s’envole dans tes bras pour t’aimer encore et toujours, au réel des plaisirs, ton cœur remplit mon âme de ton amour, aux joies de la vie, la vie est plaisir d’amour.
Amour et Haine
Les jours des désamours, raisonne au vide des jours présents.
Femme, haine, ou trahison que dire de ces jours vides.
Qu’as-tu laissé ou offert, les jours tristes son arrivée au déplaisir de la vie.
Aux jours empressés, des mille envies et promesses que reste-t-il ?
Haines ou amours sont aux diapasons de ta vie, les terres arides et brûlées de ton mépris assèchent nos vies, la lumière en toi est une lueur qui va éteindre les feux de l’amour, amour et haine t’habite.
Ton cœur assombri les jours prochains.
Les déserts arides aux vents ténébreux s’éloignent pour mourir loin des cœurs.
Ton cœur aux désamours s’efface, qu’as-tu rêvé ?
Que fais-tu ? Haine ou trahison, une vie sans fin, la souffrance de ton amour, ton désamour tragique aux lois de ton cœur.
Mille pensés envahissent ton cœur qui déraisonne, à tes mille envies de vivre, brûlent tes ailes des anges de l’amour, cupidon n’est plu, la vie rêvée des anges n’est qu’un leurre, la trahison fais loi.
Un goût amer d’incompréhension submerge en ce ciel obscurci de haines et de caprices.
Que la vie t’ait réservé pour avoir ces fantômes des malheurs de la vie, la tristesse est en toi, qui es-tu ?
Trop de peur et de haine envahit ton cœur, prisonnière d’une vie triste mille ressentiments de haines et d’amours.
La vie passe, les âmes aimantent se réconcilie de la vie triste.
Aux champs des âmes pures, un jour viendra dans les blés mûrs dorés au soleil brûlant une âme qui traversera les brins riches de ses blés, laissera un chemin dans cette nature flamboyante accrocher un cœur aux temples des amours des cœurs triomphants, le monde des amours rouge cœur.
Calella la belle
aux étoiles de mer
Au bord de ton sable chaud.
Ville de bord de mer accueillante aux mille envies.
Calella, tu souris de ton charme ibérique.
Ville rieuse de tes maisons de maître au style méditerranéen, toi la charmeuse tu nous ébahis de tes mille charmes.
Au soleil brûlant tu as mille vies, aux charmes de ses habitants aux heures espagnoles.
Toi la maison des cactus tu étonnes.
Aux mille charmes espagnols, tu séduis tes visiteurs aux attraits de tes rues qui n’en finissent pas.
A la Riera, cher « Ramon », cher espagnol aux mille sourires, tu rayonnes dans ton pays de soleil, apporte ton âme chaleureuse, longue vie à toi.
À Barcelone la fourmilière à tes écrins et le long des Ramblas, un artiste de cœur aux œuvres en couleurs d’aquarelle fantastique.
Calella ton phare aux soirs veille sur la ville aux feux étincelant des âmes des marins.
La Maison au Cactus
ou souvenir de jeunesse
Au souvenir de jeunesse, la Maison au Cactus, symbole de Calella la ville bercée au soleil ibérique de la vie tranquille.
Maison ancienne au balcon et fenêtre au fer forgé traditionnel peint en vert au style des maisons méditerranéennes habillées d’une multitude de divers cactus.
Maison située dans une petite ruelle au bord de mer le long de la voie de chemin de fer, qui fait la belle surprise aux touristes indolents qui passe là par hasard au coin d’une ruelle.
Ton souvenir m’enchante, Calella la belle tu sais surprendre et séduire tes visiteurs aux mille émerveillements.
Calella la belle, tu nous étonnes, et nous sommes amoureux de ton souvenir au soleil brûlant des après-midis d’été, toi la magnifique.
Toi Calella tu brûles de mille désirs et nous charmes de tes plages accueillantes au sable chaud.
Les femmes
ou les cœurs de leurs âmes
« A la recherche de la beauté féminine, c'est à dire de son esprit et de son âme... »
Aux fonds du cœur des âmes des femmes, née le cœur sauvegardé de l’âme d’une petite fille, aux yeux d’enfance pour y voir la vie en bleue, ou la paix des cœurs d’une enfance préservée, un jardin multicolore originel magnifique d’un cœur authentique d’une jeunesse ravivée.
Les cœurs des femmes sont d’une authenticité d’âme, à la pureté immaculée d’un ciel fuyant l’horizon.
Telles les symphonies mozartiennes de « l'enlèvement au sérail » empreint de joie et de peine, rassemblé là tout à la fois, de cœurs et d’âmes, toutes féminines, au héros féminin.
Le héros à la recherche éperdument de la sauvegarde d’une âme pure, pour se protéger et s’y réfugier, à la tranquillité des âmes intranquille ou la paix retrouvée de l’amour.
Tel Mozart, ce héros malgré lui, le héros des femmes, le héros des amours éperdus aux mélodies voluptueuses et somptueuses de douceur des âmes toutes féminines d’un être à la candeur d’une âme pure au paradis perdu de l’enfance.
Au ciel du soir brille une étoile incandescente au firmament où règne sans loi l’esprit des femmes ou celle de Mozart ressuscité, de l’enfant prodige et turbulent ou rien ne résiste à son génie et à celui-ci envers l’âme des femmes et de ses désirs, femmes toutes ingénues d’un esprit aux traits vif comme l’éclair.
Vivre de bonheur et de joie et d’enfance.
Les Lieux abandonnés
de la mémoire, celles de nos vies
Les beaux jours de la vie sont les mémoires des heures heureuses, bien remplies, les bonheurs d’une vie, sont à jamais gravées aux cœurs des hommes, à tout autre chose n’a peu de valeur en soi d’une vie réussie, aux richesses d’une vie heureuse sans prix non monnayable.
Le fond de la mémoire resurgit aux aléas et des épreuves de la vie, nous fait douter de la vie et de son sens profond, nous sommes un roc aux fragilités d’un pied d’argile, la vie fait loi, nous en suivons sans détour tous ses termes jusqu’à son achèvement, sa fin.
La vie est-elle un doux rêve comme une légère aquarelle aux couleurs translucides au glacis délavé éclairci, la vie ne serait qu’un songe d’une mémoire abandonnée de nos lieux de nos vies chaotiques, bosselés par les multiples épreuves répétitives, une vie faite d’un chemin non linéaire, fait de divers renoncements, de diverses réussites et échec de tout genre, la vie est résiliente à nos dépens.
La vie courre comme l’eau vive d’un ruisseau qui grossie les fleuves pour aller s’engouffrer aux embouchures des mers et océans, c’est ainsi que va la vie par d’innombrables embranchements qui nous relie au réel de nos vies, un parcours de vie, un chemin d’une valeur spirituelle en quelque sorte ou notre vie d’un fil va au grès des joies et douleurs, un chemin, celui de notre vie.
Notre mémoire humaine est faite d’impressions diverses et variées qui touchent au cœur et à l’âme, l’âme de nos vies, ou le ciel de nos vies tel un ciel d’été lumineux des astres éclairés aux nombres incalculable, fait ressurgir la valeur d’une vie aussi minuscule qu’elle paraisse face aux grandeurs de notre espace de notre univers céleste aux limites inconnues.
Nos vies sont le reflet de nos âmes teinté des couleurs de la vie.
La joie et le bonheur sont les seules valeurs aux prix incalculables qui nous font avancer face au renoncement des aléas de nos vies, les lieux abandonnés de la mémoire font ressurgir toute la valeur de la vie, sa quintessence au goût inconnu d’un paradis terrestre seul qui est à notre portée de main.
Le rêve d’amour ou
Versailles du jour doré
Au jour doré à Versailles, un jour d’amour, près du cœur, une jeune femme aux yeux d’amour et d’âme, un amour naissant, une vague, un amour profond de jeunesse.
Toi aux éclats de rire, les milliers de roses de mon amour, aux éclats de tes yeux au sourire charmeur inimitable, au trésor de mon doux amour.
Tes yeux enflamment les passions, de cœur et d’amour, en un mot, je t’ai aimé sans retenue, d’un amour sans limites aux yeux de ton cœur, aux joies de ton cœur, aux éclats de tes rires, Florence, aux amours perdus.
Florence, comme une icône, Florence, ton âme flotte au fond des amours perdus, ton âme résonne dans ma mémoire, aux amours de jeunesse, au paradis perdu des amours rempli de mélancolie, d’un passé doré, au jour de Versailles, d’amour et de cœur, Florence.
La Dame d’Automne
ou Versailles et Vivaldi
Arrive l’été musical tel Vivaldi, cette Venise lointaine, des horizons de lumières aux tableaux de Tiepolo maître des arts du quattrocento flamboyant.
La renaissance et les beaux-arts et ces mille étoffes aux couleurs ambre et cristallines.
Une jeune femme au jardin de Versailles, aux bosquets du roi, là devant le Grand Canal proche du bassin de Neptune, marche là dans l’herbe verte envahit pas les feuilles brun rouge des feuilles d’Automne à la musique de Vivaldi, tombent, foule de ses pieds le tapis de feuilles éparses qui se déroule là devant.
Tableau d’Automne rouge vif aux éclaires des symphonies des opéras de Vivaldi riche aux grandes heures de ses lieux d’histoire raisonne en nous, les trompettes de l’amour sonnent, au souvenir d’un jour de Versailles et Vivaldi…
Au jour doré à Versailles, la dame d’Automne, musique de cœur des quatre saisons à l'accent de Vivaldi, un jour d’amour, près du cœur, une jeune femme aux yeux d’amour et d’âme, un amour naissant, une vague, un amour profond de jeunesse.
Toi aux éclats de rire, les milliers de roses de mon amour, aux éclats de tes yeux au sourire charmeur inimitable, au trésor de mon doux amour.
Tes yeux enflamment les passions, de cœur et d’amour, en un mot, je t’ai aimé sans retenue, d’un amour sans limites aux yeux de ton cœur, aux joies de ton cœur, aux éclats de tes rires, Florence, aux amours perdus.
Florence, comme une icône, Florence, ton âme flotte au fond des amours perdus, ton âme résonne dans ma mémoire, aux amours de jeunesse, au paradis perdu des amours rempli de mélancolie, d’un passé doré, au jour d’Automne de Versailles, d’amour et de cœur, Florence.
Venise la mystérieuse
d’art et de musique
Sonne les 4 saisons avec l’été qui raisonne de Vivaldi.
Aux grandes heures de l’histoire de cette république de Venise aux accents d’art, de musique et de pouvoirs jusqu’aux personnages flamboyant d’un Don Giovanni de Mozart séduisant à celui d’un Casanova de « l’histoire de ma vie », vie multiple de ses lieux, vie cachée des masques, aux tumultes des longues fêtes troubles de cette Venise Baroque qui sonne la fin de ces temps insaisissables à notre époque de raison.
Aux heures de gloire d’une Venise musicale du grand maître de cérémonie Vivaldi aux premières heures du premier opéra ou de sa naissance précisément avec l’Orféo de Monteverdi œuvre majeure de l’art occidental.
Aux œuvres des grands maîtres de l’art pictural italien des Tiepolo, du Giorgione, puis du Titien, Tintoret et Véronèse jusqu’à Canaletto de ces paysages grandioses aux ciels d’un bleu inimitable aux accents du grand canal, lumineux et magistral.
Cette Renaissance vénitienne de tous les débordements culturels et des mœurs de cette époque, une ville aux milles intrigues amoureuses, des princes ; un mythe, une légende, cette Venise riche de son passé, une fierté de la vie et de l’art occidental que l’on aimerait découvrir et voir se dévoiler sous nos yeux.
Chère Amour,
Amour pour toujours
Mon amour, aux oiseaux amoureux, je vole dans tes bras pour te chuchoter des mots doux.
Mon amour, je t'aime à ne plus en finir, tu es mon amour pour toujours.
Ton doux regard, tes yeux illuminent ton âme, aux secrets d’amours.
Toi mon amour, tu interroges mon cœur.
Tes rêves remplis d’étoiles, au ciel d’été éclairé de mille feux.
Tes espoirs dans ton cœur envahi ton esprit, aux doux espoirs, les rêves finissent par s’accomplir, les anges protecteurs y pourvoirons et plus encore, les angelots de l’amour gardent ta douce âme.
Aux anges du soir, courent tes doux rêves, la vie coule comme l’eau vive, joie et bonheur sont promis aux êtres qui ont soif de vivre en paix, réconcilié des peines…
Les âmes légères volent au ciel des anges pour embrasser la plénitude, un bonheur simple des cœurs.
Amours des feintes…
Femme d’élégance – Jane, femme aux amours éternels.
Amour de femme, idole de féminité ou la légèreté d’être.
Amour cruel, amour des amants éternel, jamais ne meurt.
Jeunesses insolentes cries sa désinvolture d’être.
Amour charnel, tu as épousé la langue française, de sa robe étincelante.
Femme libre au sourire éternel, nos amours rouge sang, jamais ne nous quittent.
Courent nos amours, aux illusions perdues, nos êtres illuminent, ta lumière éternelle.
Aux amours naissantes, la gloire de nos années de jeunesses accomplies.
Femme, femme, tu aimes et tu oublies, légèreté de l’être, femme aux passions d’amours.
Femme, de nos rêves éternels reste toujours dans nos cœurs.
À nos amours de la vie et de ses désillusions quand tu nous quittes, oh ! Gloire éternelle de l’amour.
Epilogue
Hommage à Marcel PROUST
Extrait Roman "A la recherche du temps perdu " de Marcel Proust
- Le temps retrouvé -
"La vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie, par conséquent, réellement vécue, cette vie qui, en un sens, habite à chaque instant chez tous les hommes aussi bien que chez l'artiste. Mais ils ne la voient pas, parce qu'ils ne cherchent pas à l'éclaircir. Et ainsi leur passé est encombré d'innombrables clichés qui restent inutiles parce que l'intelligence ne les a pas « développés ». Ressaisir notre vie ; et aussi la vie des autres ; car le style, pour l'écrivain aussi bien que pour le peintre, est une question non de technique, mais de vision. Il est la révélation, qui serait impossible par des moyens directs et conscients, de la différence qualitative qu'il y a dans la façon dont nous apparaît le monde, différence qui, s'il n'y avait pas l'art, resterait le secret éternel de chacun. Par l'art seulement, nous pouvons sortir de nous, savoir ce que voit un autre de cet univers qui n'est pas le même que le nôtre et dont les paysages nous seraient restés aussi inconnus que ceux qu'il peut y avoir dans la lune. Grâce à l'art, au lieu de voir un seul monde, le nôtre, nous le voyons se multiplier, et autant qu'il y a d'artistes originaux, autant nous avons de mondes à notre disposition, plus différente les unes des autres que ceux qui roulent dans l'infini, et qui bien des siècles après qu'est éteint le foyer dont ils émanaient, qu'il s'appelât Rembrandt ou Ver Meer, nous envoient leur rayon spécial."
Marcel Proust
Le temps retrouvé
« Arts, Idées, Vies, Pensées & Poésies »
- RENAISSANCE -
-=- Table des matières -=-
Mon envie est l’écriture, la poésie... les idées, une pensée vers la Philosophie de l’esprit...
Prologue 6
Introduction / Art & Pensées 8
- Au jardin du Roi, amour Versaillais 9
- Le Poète / Le Rêve 10
Mon Art « Le monde de mon Art » 12-17
- La Rose 12
- Le Nu ou les courbes ou Désire artistique 13
- Matisse un art génial de simplicité et de grâce 13
- La femme éternelle, d’une éternelle jeunesse 13
LIVRE - I 18
- Un jour à Paris 22
- Florence, ma belle amie 24
- À toi, cher Lionel 26
- L’être mélancolique 27
- Vaincre, un but à atteindre 27
- Qu’est-ce qu’une vérité, et les lois... 27
- Un havre de paix 28
- La Liberté 28
- La femme être d’émotion 28
- L’enfance le temps romantique 29
- Le sourire des portraits de Jean-Marc Nattier ou Adélaïde la fille de Louis XV 30
- Balthus, le peintre à la douceur féminine, d’un temps perdu 30
- L’Être révélé ou l’inconscient 31
- La Poésie ou « le Peintre de Vénus » 32
- Portrait d’une jeune femme 32
- Ma langue maternelle, le Français 33
- MODIGLIANI ou le regard sacré 34
- Hubert Robert (1733-1808) Peintre de l’ancien régime
à la magnificence du goût à la française 35
- Le charme féminin 36
- Résistance 36
- Le réveil ou la peur 36
- Être soi 37
- 1860 Frédéric Bazille – Source de l’impressionnisme aux portes de la peinture moderne 37
- L’Esprit est peuplé d’enfer (ou le monde caché de nos incertitudes) 38
LIVRE -II 40
- L’Esprit est peuplé d’enfer / La beauté invite à la perfection. / L’art est une douce violence 43
- Le Peintre du sentiment 45
- La Vérité des Êtres - L’alchimie de l’âme ou le peintre du Sentiment 46
- La Vérité est dans la Perfection 47
- Avec l’inconscient - vers de nouveaux horizons 48
- La beauté des femmes, elles marchent - comme des Chefs d’œuvres 49
- Le Langage des Fleurs ou « Les Boréades » ou Alphise et Borée 50
- La Vérité des êtres 50
- L’être féminin 51
- Les Femmes douces ou les cheveux triomphants 51
- Le Luxe à la Française 52
- Le miroir vide aux idoles 53
- Création et génie 54
- Monsieur D ou la peinture resurgit ou Degas danse Dessin 55
- Rêve d’une jeune fille 56
- Ne pas céder à la médiocrité toujours aller de l’avant 56
- Le Nu ou les courbes ou Désire artistique 57
- Le Sentiment des mots 57
- L’effet papillon 58
- La couleur ou la poésie des sens 59
- Le Songe d’Ossian, Poème ou l’œuvre peinte d’Ingres 59
- L’Absolu du Romantisme par Girodet ou « Atala au tombeau » - 1808 60
- Être Poétique Pure 61
- Rêve au féminin 61
- Tendre amour 62
- Le jardin de ton amour 63
- L’œil du Destin 64
- L’Envie à l’esprit de ton être 65
- La Littérature 65
- Doux amour, douce amoureuse 66
- Genève la séductrice cachée aux rivages dorés 67
- Les mariés de l’an II ou mon amour 68
- Ma Passion le Dessin 68
- Les voyageurs du Temps 69
- L’être aimé 70
- Au bord du gouffre 71
- L’Amour retrouvé ou à la recherche de l’être aimé 72
- L’Être et le Néant 73
- L’Esprit quantique à la différence de la « conscience » dite « quantique » 74
- Amour et Désolation 75
- Le Spleen et la Poésie 76
- L’instant Noir 77
- Une rencontre idéale 78
- L’Amour 79
- La vie 80
- Je t’aime 80
- Le Mystère de l’être féminin 81
- L’Art et la Vie 82
- Rêve de toi 83
- Gérard GAROUSTE ou la Peinture retrouvée 84
- Le Temps de l’enfance, souvenir ou temps présent 85
- Ange ou Démon 86
- Les amants maudits ou les amants magnifiques 87
- L’Impossibilité du Cœur 88
- Le Jardin des déplaisirs 89
- Le voyageur imaginaire 90
- L’Ivresse des Plaisirs 91
- Le Langage des Fleurs, Aux Étoiles de Cocteau 92
- Femme 93
- La Poétique du beau 94
- Aux origines de la peinture ou Pieter Bruegel l’Ancien 95
- La Rose ou l’amour des femmes 97
- Une âme en peine 97
- Amour 98
LIVRE -III 100
- Écologie, notre chère TERRE, « Un Crime » ou
l’Homme Assassin et la nature… 102
- Le tumulte 103
- Hors cadre – À la recherche de soi… 104
- Qu’est-ce que l’amour ? 104
- Le droit au bonheur 105
- Le sexe des anges ou les anges ont-ils un sexe 106
- Femmes 107
- Françoise Blanc Dupasquier - Femme artiste peintre 107
- Jusqu’au sublime... 108
- L’Ennemi intérieur 109
- Une femme à aimer 110
- Écologie ? Ou la vie ou l’homme pris de folie, surpuissant, la voie sans retour... et nous ? 111
- La part du Rêve ou le génie de l’artiste 112
- Poésie du rêve 113
- Le jour d’après.... 114
- La préciosité du temps des marquises ou le temps des précieux, Madame de La Pommeraye,
Monsieur le Marquis des Arcis et Mademoiselle… 115
- Mon Amour Kennedy, force, violence et fureur… Le destin des Kennedy, Mythe, destin brisé de l’Amérique
ou le don des Kennedy… 119
- La Politesse du Chat 120
- Christopher contre Enigma, le calculateur numérique –
Allan Turing le mal-aimé 121
- Matrix, Léo le combattant du mal 120
- Walt Disney, l’art en mouvement, le miracle de l’esprit
ou Disney, une nouvelle Amérique rêvée… 123
Tatischeff ou Jaques Tati –
- L’Illusionniste, film d’animation, la place au dessin, à l’imaginaire visuel, un magicien 126
- La légèreté de l’être, la vie Romantique ou le choix de l’art… 127
- La « couleur du handicap » - Violence brutale ou la Blessure 129
- L’Arcadie vue par Poussin ou le mythe des philosophes grecques 131
- Je cultive mon âme romanesque 132
- Ré-enchanté le monde ou l’écologie – « Recentrer l’humanité » pour une recréation
d’une « Nature Sauvage » 133
- La difficulté, les impossibilités du cœur, le malheur nourrissent l’œuvre de l’artiste 136
- À Wilmington, HOPE, « le rêve américain », pour l’âme de l’Amérique ou les ailes des Anges… 137
- Mon goût des choses… 140
- Le cœur d’une femme 141
- Passions de cœur, l’autre, la diversité des cultures, l’ultra-chic, l’amour suprême… 142
- Au jardin du Roi, amour Versaillais 143
- Yeux d’Amour, Perle d’amour 144
- L’élégance poétique de l’amour, l’amour Galland aux portes du romantisme 145
- L’autre, l’autre soi… 147
- Moi ou Céline, la part de l’ombre, le bien et le mal… 148
- « Un Dimanche à la Campagne » ou un dimanche de la fin d’été 1912 – L’arrivée d’une nouvelle Ère du 21e siècle 149
- L’âme poétique 151
- Mon cœur des Îles, La couleur exotique de la passion, fruit d’amour, Yasmina 152
- Notre temps, aujourd’hui ou la vie… 153
- Les passions et l’âme… 154
- L’ordre, La loi du Silence, le dictat… La soumission totale 155
- J’ai volé ton cœur… 156
- Les Misérables – Victor Hugo 157
- Aujourd’hui et la Rome antique – Maximus, le gladiateur, l’homme de combat… 158
- J’ai choisi la Poésie à la guerre… Osez dire non… ! Aux idées révolutionnaires des Sieurs Voltaire et Rousseau… 159
- Une rencontre, l’art révélé, un monde à part, La Peinture… Une artiste peintre Laure GRAGEZ 162
- L’écrivain, son attachement, l’amoureux de la Littérature… 163
- Versailles 164
- Désir d’écrire 165
- Libre, Liberté… Liberté chérie France Sans attendre, enfin libérons-nous… 170
- Sous l’œil de Vichy, la résistance ou la trahison… Le didact des hommes de l’ombre, Covid oblige… 172
- Un bonheur simple 174
- Lettre d’amour 175
- La déchirure 176
- Epilogue 179-181